La vie réserve des surprises. Le hasard fait parfois en sorte que du jour au lendemain, votre vie soit transformée.
Tout le monde a déjà fantasmé sur les jackpots de la loterie. Tout le monde s’est déjà demandé comment il dépenserait son argent s’il était en possession d’une fortune. En donneriez-vous à une association caritative, en tant que bon gentleman ? Vous achèteriez-vous la voiture de vos rêves, ou une maison dans un coin de paradis où vous couleriez des jours heureux jusqu’à la fin de votre vie ? Ou bien, plus pragmatique, mettriez-vous cet argent de côté pour plus tard, éventuellement pour vos enfants ?
Mais, et tout le monde le sait également, les probabilités de gagner un jackpot sont infimes, voire inexistantes. Preuve : à l’Euro Millions, il a été calculé qu’un parieur lambda avait une chance sur… plus de 116 millions de tirer le jackpot. Simple comparaison : il y a plus de chance encore que vous mourriez foudroyé. Sympa.
Mais cette probabilité existe, et bien qu’elle n’ait pas eu lieu dans le cadre d’une loterie ou autre jeu de hasard, un artiste américain vient de gagner la bagatelle de 200 millions de dollars. Qu’a-t-il fait ? Comme son métier le lui oblige, il a décoré les murs d’une société. Oui, mais voilà, pas n’importe quelle société : dans les tout premiers bureaux de Facebook à Pao Alto, en Californie. En 2005. Un travail qui devait lui valoir quelques milliers d’euros. Un paiement qu’on lui a proposé soit sous forme de cash, soit sous forme de parts. C’est là qu’on se demande s’il a eu le nez fin, ou si c’est la chance qui lui pendait au nez. En tout cas le futur-millionnaire a choisi les parts. L’entrée en bourse de Facebook, sept années plus tard, s’annonce comme une des plus faramineuses jamais enregistrées. De simples employés de la Silicon Valley deviendront millionnaires. Et notre artiste David Choe deviendra multi-millionnaire. Une prime inédite pour un décorateur !
Le Figaro nous dévoile également que l’entreprise a pris soin de replacer l’œuvre, en différents morceaux, dans ses bureaux à travers le monde. Dorénavant, on comprend pourquoi : personne n’abandonne 200 millions d’euros derrière soi, aussi riche qu’il soit !
La vie nous reserve parfois de bonnes surprise voyez vous!