L'expressionnisme allemand nous a offert des chefs d'oeuvre. Du poète Friedich Wilhelm Murnau (Nosferatu), à l'architecte Fritz Lang (Mabuse, les Espions). Le Cabinet du Docteur Caligari, signé par Robert Wiene, en 1919, est certainement le film référence de l'expressionnisme, un film manifeste.
1927 METROPOLIS, certainement le film le plus essentiel, le plus visionnaire, le plus profond, sur l'Homme et sa vanité, jamais réalisé depuis l'invention du cinématographe.
La première fois ou j'ai découvert ce chef d'oeuvre du cinématographe, je me suis posé la question : Comment un homme a-t-il pu réalisé, en 1927, un long-métrage aussi visionnaire et toujours d'actualité, avec un génie novateur et des effets spéciaux époustouflants pour l'époque. METROPOLIS est incrit au registre Mémoires du Monde de l'Unesco. Il a été le premier film classé parmi les documentaires du patrimoine mondial.
La complexité d'un film "inachevé", au parcours tortueux à travers l'histoire du siècle dernier. Censuré, remonté…devenant le film de chevet de Goebbels et Hitler, qui pourraient s'en être inspiré pour la création des camps de concentration, au grand dam de Fritz Lang. Des 210 minutes initiales, le film fut amputé, massacré. La fondation Murnau, aprés un travail titanesque de restauration, de recherches, propose certainement la version la plus proche de l'original. Malheureusement le film restera "inachevé", et les minutes disparues le resteront à tout jamais.
Que représente METROPOLIS ?
Certains persistent a penser que le film préfigure l'arrivée du nazisme. Je ne le pense pas. L'oeuvre est bien plus profonde, et le sujet traité restant d'actualité et malheureusement sera toujours d'actualité demain. Il ne faut pas oublier que Fritz Lang était architecte de formation, l'élaboration de cette métropole futuriste tout en étant une réelle invention architecturale, trouve ses origines dans les grattes-ciel, que Lang avait découvert lors d'un voyage aux Etats-Unis. Plutôt que de voir une quelconque préfiguration du totalitarisme nazi, Fritz Lang dépeint finalement nos cités actuelles, d'ou son génie visionnaire.
METROPOLIS est avant tout une mise en garde contre le totalitarisme. L'exploitation de l'homme par l'homme. A la fin du film, une seule pensée m'habitait :
Définitivement, l'homme n'est qu'une bête prévisible, et l'artiste a pour fonction de l'esthétiser, de l'élever, à un statut qu'il n'aura jamais : une espèce emplie de sagesse !
Les puristes crieront au scandale, lorque Giorgio Moroder ressuscita METROPOLIS, avec une musique ou Queen avait la part belle. Contrairement aux puristes, même si cette version colorisée est une atteinte à l'oeuvre originale, elle aura tout de même rempli la fonction de faire redécouvrir ce chef d'oeuvre incontournable du cinéma muet.
Il est vrai, que pour ceux qui ont visionné le film dans sa version "originale'", sublimé par la musique de Gottfried Huppertz, véritable porteur d'un héritage Malherien, on peut crier au blasphéme.
METROPOLIS est tout simplement une oeuvre fondatrice du cinématographe, illustrant parfaitement le foisonnement novateur du cinéma allement des années 20. Il ne faut pas prendre peur des plus de 80 annnées qui nous séparent, METROPOLIS n'a pris aucune ride, le traité de la question sociale, celle des inégalités, vous explose en plein visage.
Le synopsis :
Des ouvriers travaillent dans les souterrains d'une fabuleuse métropole de l'an 2026. Ils assurent le bonheur des nantis, qui vivent dans les jardins suspendus de la ville. Un androïde méne les ouvriers vers la révolte (..).
Un film essentiel dans la vidéothéque, pour tout amateur du septième art.
Vous devez un peu trancher dans le monde de la route?
Mais le monde de la route n’a fait que parfaire et attiser mon sens de la curiosité.
Contrairement à des idées préconçues, dépeignant les routiers comme des piliers de comptoir, à la limite de la caricature grossiére et infamante..
Bien des chauffeurs au long cours, meublaient leurs soirées par des lectures et non pas de s’adonner à la dive bouteille,en clamant leur inculture.
Une image qui colle à la peau, et dont je n’ai même pas envie de débattre, je préfére laisser ces querelles de bastringue aux gens prétendus « savant » et qui dirigent nos sociétés vers le gouffe !
Amitiés Michel
C’était en fait une demie plaisanterie taquinerie, je connais un certain nombre de routiers. Certains font ce travail parce qu’il faut vivre et d’autres par gout de la liberté.
j’ai deux amis qui ne supporteraient pas d’avoir un patron sur le dos en permanence qui occupent cet emploi.
Il est vrai que pendant les coupures il faut bien s’occuper.
Pourquoi ne pas lire? Je pense toutefois qu’une majorité préfère leur téléviseur.
Je me doute bien cher ami..
La route synonyme de liberté, un petit parfum d’aventure, de découverte, et surtout pas de contrainte, surtout la liberté de gérer son temps de travail.
La télévision dans son bahut (..), le lecteur DVD (…)
J’adore le cinéma mais je ne peux concevoir de le regarder ailleurs que dans une salle obscure. Je ne regarde jamais un film à la télévision, pour nombre de raisons.
La technologie permettant bien des folies, le vidéoprojecteur, qui nous donne déja un bel aperçu de l’image..
Mais malgré tout je privilégie le cinéma, la vo lorsque cela est possible.
La lecture faisant partie intégrante de ma vie…quel bonheur de voir ces mots voltigeaint, pour former des phrases, qui nous laisse parfois sans voix..
Michel
Les routiers étaient en quelques sortes les derniers hommes libres, avant lla généralisation du GPS et du portable.
Mais en l’excusant d’être un peu vulgaire, le routier lorsqu’il est dans sa cabine, il peut (s’il a envie roter ou pêter) il n’a pas un petit chef sur le dos en permanence.
[b]METROPOLIS EN REEL :[/b]
Le 27 janvier, toujours à l’UGC Cité Ciné des Halles, des policiers avaient débarqué pour débusquer un homme entré avec un sandwich acheté à l’extérieur. Une histoire similaire à celle de la cannette de Coca. Toutefois, Jean-Marie Dura, directeur général du réseau UGC, a indiqué à Rue89 que « la personne n’avait pas été en mesure de présenter son ticket à l’entrée de la salle ».
L’homme au sandwich avait fini par suivre les deux policiers, nous a raconté un spectateur présent dans la salle.
[b]METROPOLIS film de 1927 préfigurant le N.W.O actuel[/b]
N.W.O. =N.O.M. = NOUVEL ORDRE MONDIAL
METROPOLIS de Fritz Lang est réalisé en 1927 à l’époque du cinéma muet.
Ce film est à lui seul une véritable prophétie réalisée par des mages noirs
ou lucifer en personne.
[b]Il annonce parfaitement l’avènement du Gouvernement Mondial.[/b]
C’est le principe de la REVELATION de comprendre les messages codés
qui se cachent derrière les oeuvres cinématographiques.
On y retrouve :
– l’oeil d’horus franc-maçonnique, avec la vidéo surveillance et
la visio conférence (procédé qui anticipe la téléphonie portable)
– La pyramide illuminati symbôle récurrent de ce film.
– Le pintagramme inversé
– Les savants fous qui sont en réalité des magiciens occultes invoquant des démons
– la tyranie de l’oligarchie au sommet de la domination des multinationales
– le peuple exploité réduit à être l’appendice de la machine
– les classes sociales divisées en 2 groupes qui ne se rencontrent jamais : le peuple d’en haut et le peuple sous-terrain.
– la débauche dans les discothèque et la dégénérence des moeurs
(métropolis est aussi le nom d’une des plus grande discothèque
de la région parisienne dont le nom demeurait avant de voir
ce film étrange et énigmatique).
– Le mythe de la Tour de Babel (rappelant « étrangement » [b]l’architecture[/b]
du [b]Parlement européen[/b] et les tensions communautaire dans notre pays).
Avec cette phrase dans le film : « Comme la main d’oeuvre locale ne suffisait
pas pour construire METROPOLIS on a fait venir des masses gigantesques
d’esclaves issus de tous les peuples et tous les continents.
De sorte que les hommes parlaient la même langue mais ne se comprennaient pas. »
suite du commentaire précédent :
METROPOLIS c’est l’histoire de la construction d’une cité scientifique,
marchande et totalitaire.
[b]Un cauchemar qui préfigure l’avènement du Nouvel Ordre Mondial ![/b]
Cette cité se développe, jusqu’à ce qu’un pouvoir, la Bête de l’ Apocalypse,
arrive pour détruire l’humanité.
On remarquera aussi dans le film une scène faisant une référence au
Jugement de la grande prostituée,
Apocalypse chap 17 de Jean (le Juif) :
« v 3 Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, couverte de noms
blasphématoires, et qui avait sept têtes et dix cornes.
4 La femme, vêtue de pourpre et d’écarlate, étincelait d’or, de pierres
précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or pleine
d’abominations : les souillures de sa prostitution.
5 Sur son front un nom était écrit, mystérieux : Babylone la grande,
mère des prostituées et des abominations de la terre.
6 Et je vis la femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de
Jésus. A sa vue je restai confondu. »