« Le bruit et la fureur, le tumulte et le fracas » (J.L.Mélenchon)

 

 Mieux qu’une photo : son discours du 18 mars à la Bastille

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Mélenchon, le tribun du peuple, le populiste, le communiste primaire, ne retient plus ses mots, et s’écoute parler, au son de l’Internationale reprise par tous ceux qui croient en ses bonnes paroles.

Mélenchon, l’inconscient qui ose dire que les « communistes n’ont pas de sang sur les mains »

Mélenchon qui le 6 mars, à Rouen, enterre sans vergogne les 100 millions de morts des régimes communistes russes et chinois.

Mélenchon qui scande qu’il sera le Robespierre du XXIème siècle. Celui qui réinventera la terreur Politique moderne, et pourquoi pas ressortira la machine de Monsieur Guillotin, pour mieux couper la tête à tous ces « capitalistes » qui sucent le sang des salariés.

Mélenchon, qui compare Marine Le Pen à une « bête malfaisante ».

L’homme Mélenchon a fait place aux coupeurs de têtes de 1789.

Mélenchon qui promet 35heures effectives, le droit à la retraite à 60 ans à taux plein, le Smic à 1700 euros et un salaire maximum dans les entreprises publiques et privées.

Mélenchon, qui régularisera, tout les « sans papiers », qui résident sur le territoire français.

Pour rappel :

Il est loin le temps (24 décembre 1980) où le maire communiste de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), Paul Mercieca, détruisait, aux commandes d’un bulldozer, un foyer destiné à accueillir, sur le territoire de sa commune, 300 travailleurs maliens.

Quelques jours avant Georges Marchais demandait solennellement à Valéry Giscard d’Estaing (à la tribune du comité central du PCF, le 6 janvier 1981) d’« arrêter l’immigration officielle et clandestine sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage ».

Le troisième homme comme aiment à le rappeler tous les sondeurs réunis est un danger public.

Vous avez peur de Marine Le Pen qui veut renvoyer tous les émigrés hors de nos frontières ?

Alors tremblez devant un Mélenchon qui veut instituer le communisme à la Staline, où les bobos « friqués »  passeront à la guillotine, s’il arrive au pouvoir suprême.

 

En conclusion, je dirai comme Éric Branca dans Valeurs Actuelles :

« Tant qu’il grignote le PS, il sert objectivement la droite. Mais à force de rendre populaires des solutions impossibles, il risque de donner du fil à retordre au vainqueur du 6 mai, qu’il s’appelle Hollande ou Sarkozy ! »

« Aux armes citoyens, dans les commentaires, bien sur ! »

Clip officiel de la campagne de Mélenchon

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