médicaments dans le fleuve

Une chose est sûr, les océans sont grands et de plus en plus pollués. Le fleuve st-Laurent est un des plus grands fleuves à déboucher sur L’océan Atlantique. Une chose que la population qui vit sur les rives de ce fleuve ne savent pas,  est qu’il contribue énormément la pollution de  l’atlantique et ce, de plusieurs façon, mais surtout, avec sont taux de plus en plus important de médicaments. Dans ce qui suis, il sera question des résultats d’une  étude, qui a dévoilé que notre fleuve est bourré de médicament et de l’effet que cela peux avoir sur la nature et sur les hommes.

 

      Selon une étude menée à l’université de Montréal, le fleuve st-Laurent reçoit quotidiennement des médicaments de toute sortes.les chercheures on détecté des traces de bézafibrate (médicament pour le cholestérol), de méthtrexare et cyclophosphamide (pour certain cancer) dans les eaux usées acheminées à la station d'épuration de Montréal. Les quantités de médicament détectées dans les eaux usées, les eaux traitées et dans les eaux de surface à la sortie de la station d'épuration sont respectivement 50 nano grammes par litre, 35 ng/L et 8 ng/L pour le bézafibrate et de 280 ng/L, 240 ng L et 39 ng/L pour l'énalapril.


     Ces résidus  proviendraient des pilules anti-contraceptives, des pilules du lendemain et de certains antidépresseurs ainsi que plusieurs autres traitements. Un seul gramme d'hormones stéroïdes serait suffisant pour perturber le système des poissons et diminuer leur fertilité. Ceci est très dangereux pour les animaux et pour la nature mais aussi pour nous, car la majorité de ces médicaments échappent au traitement des eaux usées!

     

 

 

Il n'y a pas lieu de s'inquiéter pour la consommation d’eau même si 75 municipalités du Québec s'approvisionnent en eau à même le fleuve Saint-Laurent. Enfin, c'est ce que des chercheurs en biologie marine affirment. Une fois arrivés dans le fleuve et mélangés à l'eau salée, il ne resterait pour ainsi dire plus de traces de ces produits utilisés par la médecine. «Pour les résidants de Montréal ou en amont du déversoir, les risques pour leur santé est faible, parce que les molécules sont peu stables et vieillissent rapidement, surtout lorsqu'elles sont dans l'eau», dit le chercheur Émilien Pelletier, professeur en océanographie chimique. Mais si le risque est faible il est tout de même existant!

 

      En conclusion, certaines personnes pensent que la présence de ces produits dans l'eau  expliquerait certains problèmes de croissance chez les petites filles et des problèmes de fertilité chez les adultes. «Le problème provient du fait que le corps ne métabolise que très faiblement les médicaments qu'il ingère. Par exemple, dans le traitement du cancer, les médecins doivent administrer de très fortes doses pour espérer que seuls 5 % des molécules soient retenues par le corps. Ces fortes doses ne sont pas dommageables pour l'individu, mais leur rejet à travers l'urine va finir par causer un immense problème environnemental, complète le professeur Pelletier. Mais, puisque de plus en plus de soins de santé sont administrés en clinique externe avec des médicaments pris chez soi, il est impensable de vouloir contrôler ces rejets. C’est pour ses raison qu’un contrôle devrait être fait avant que la situation n’empire et  que nous soyons drogué a toute sorte de médicament a chaque fois que nous prenons un gorgé d’eau.