Dans les médias, la crise fait quelques heureux. Journaux et sites Web économiques voient leurs ventes et consultations s'envoler.
La grave crise financière que traverse le monde fait au moins quelques heureux : les médias spécialisés dans l'économie. A commencer par les quotidiens. La direction du journal Les Echos se félicite ainsi d'un mois de septembre 2008 "record". Elle assure que le mois dernier, les ventes du journal ont augmenté de 21,5% par rapport à l'année précédente. L'autre quotidien économique, La Tribune, se félicite lui aussi d'"une véritable embellie", même si sa direction ne donne pas les chiffres des ventes. On connaît en revanche la fréquentation du portail Internet du journal, qui a dénombré 9,6 millions de pages vues en septembre 2008, contre 8,3 millions en septembre 2007.
Car la crise dope également les visites des sites Web spécialisés. Aux Etats-Unis, le record de deux millions de visiteurs en une seule journée enregistré récemment par le site référence du Wall Street Journal symbolise cet engouement. En France, on citera l'exemple de Boursorama, célèbre site d'information financière (et également banque en ligne), qui connaît lui aussi une augmentation de sa fréquentation. Et en parallèle, du côté des moteurs de recherche, on constate une recrudescence des recherches comprenant des mots clés liés à la finance (les recherches avec "actions" ont par exemple presque triplé en septembre sur Google).
Les hebdomadaires aussi en profitent. Interrogés par l'AFP, les directeurs des rédactions de La Vie financière et du Journal des Finances signalent de fortes progressions de leurs ventes et s'attendent à de nouveaux scores importants. La crise est pour ces journaux une occasion de relever la tête après des temps difficiles.
Enfin, du côté de la radio, les prochains chiffres arriveront en novembre, avec la publication d'une vague de sondage. On pourra se pencher particulièrement sur l'évolution des audiences de BFM, "la radio de l'éco".
Nous avons la solution!
En ce funeste anniversaire du Jeudi Noir de 1929. Le jour où la panique gagna les bourses de New York. Je préfère me rappeler de l’homme de la situation, Franklin Delano Roosevelt avec son New Deal puis son Bretton Woods.
Aujourd’hui, une fois encore, nous avons pu s’apercevoir que la crise n’est pas derrière nous. Nous sommes en plein dedans. La destruction de l’économie réelle s’accélère. Et avec les plans fous de renflouement du système, le risque d’une crise d’HYPERINFLATION augmente chaque jour! L’existence même des nations est mise en cause !
Hier, devant un parterre de dirigeants de Hedge Fund, Nouriel Roubini déclare que le pire est à venir.
La solution aujourd’hui! Dire stop à la folie de la tyrannie financière avec un VRAI Nouveau Bretton Woods!
Une bataille s’est engagée entre les dirigeants politique autour du contenu du sommet sur la crise financière qui se tiendra le 15 novembre 2008 à Washington.
La population doit s’accaparer le débat! A toi la Parole!
David C.
david.cabas.over-blog.fr