Cette année un nouveau prodige a intégré le cercle très fermé des grands couturiers: Maxime Simoëns. On lui prédit le plus beau des avenirs.

Les collections printemps-été 2011 sont enfin dévoilées, et un nouveau créateur est devenu la nouvelle coqueluche des rédactrices de mode, c’est Maxime Simoëns. Il présente sa première collection printemps-été et ce fut un vrai succès, parrainé par le grand Jean-Jacques de Castelbajac, on lui prédit même un avenir professionnel qui ressemblerait à celui d’Yves Saint-Laurent, ce qui n’est pas rien! Sa collection est très féminine, aboutie, structurée, architecturale même, mais possède aussi beaucoup de personnalité, pour des modèles sublimes qui ont ébloui celles qui ont participé au défilé. Parmi ces égéries et fans, Mélanie Laurent, qui promeut le créateur avec ferveur.

Ce jeune créateur d’à peine 27 ans a déjà fait ses armes chez Dior, Balenciaga ou Jean-Paul Gauthier, apprenant la haute couture à la Française avec talent, et s’inspirant de différentes méthodes de travail. À l’origine Maxime Simoëns est surtout un artiste, et quand la passion de la couture l’a touché, il excella gagnant des premiers prix et sortant major de sa promotion à la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne. Talentueux, discret et passionné, il a la griffe d’un grand styliste, et cette première collection le prouve, avec des pièces d’une grande beauté dans lesquelles la femme se sent bien. Maxime Simoëns avoue être influencé par les années 20, et les années 80 avec le style Mugler. Il adore créer des robes « mille feuilles » en Organza, qui semble être son fil conducteur lors de ses collections.

Maxime Simoëns est sans aucun doute un styliste à suivre, qui démarre à peine, mais sur les chapeaux de roue. Il deviendra sans aucun doute une des références de la couture Française, tout en douceur et discrétion, dans un milieu où il a forcément sa place. Tout sourit à Maxime Simoëns, qui aura un bel avenir.