Les journaux télévisés et la presse écrite sont des mines d’informations pour les citoyens lambda que nous sommes… Parfois pour le meilleur, souvent pour le pire !

Les médias débitent l’information  pour annoncer les mauvaises nouvelles plutôt que les bonnes.

Eh, oui ! Neuf fois sur dix, les informations choisies sont de bien mauvaises nouvelles. Il faut dire que les faits divers tragiques sont légions dans ce monde cruel. Vols, cambriolages, viols, meurtres, assassinats, suicides, escroqueries, arnaques, etc, la liste des méfaits, malheureusement bien réels, alimentent quotidiennement les médias.

 

Si, par exemple, 99 trains arrivent sans le moindre problème en gare, il est certain que le déraillement du centième fera la Une des journaux. Surtout s’il y a des victimes !

Ces terribles nouvelles digne d’un film d’horreur ont de quoi semer la peur et la psychose dans les foyers. Et quand on sait que la peur est la plus mauvaise des conseillères, on imagine bien les publicitaires s’en inspirer pour rentrer directement dans les cerveaux humains disponibles..

 

D’après-vous, pourquoi les médias font le jeu des marchands d’armes ? Tout simplement parce qu’ils ont besoin de vendre leur produit. A force de répandre des mauvaises nouvelles pendant des mois et des années, on fabrique à coup sûr des arguments valables pour entretenir des conflits partout dans le monde.

 

 

Je ne vous apprendrai rien en vous disant qu’une bonne guerre qui démarre, c’est la croissance qui repart. C’est tristement une réalité, même si je pense, pour ma part, qu’il n’existe pas de bonne guerre. Une guerre est toujours néfaste, n’est-ce pas ?

Donc, tout le monde en profite. Les médias qui distillent des mauvaises nouvelles pour vendre plus, les marchands d’armes et les gouvernements. Tout le monde, sauf les victimes !

Alors quoi ? Cherchez plutôt des bonnes nouvelles faibles et honnêtes. Si, si, elles existent…

 

Faîtes une marche dans la nature ou du footing dans les bois pour aérer votre cerveau. Vous verrez comme nos meilleures amies, les endorphines, vont débouler.

Éteignez votre poste de télévision et sortez faire un tour !

Il ne s’agit pas de se mettre un bandeau sur les yeux mais de voir les choses autrement. Ne laissez plus les mauvaises nouvelles diriger vos actes et vous embobiner l’esprit. Gardez votre moral pour les bonnes nouvelles.

Je sais, c’est plus facile à dire qu’à faire. J’en suis bien conscient car je suis comme vous.

Mais il n’est pas interdit de faire un effort.

 

D’ailleurs, en 1968, on disait :

"Imaginons qu’ils organisent la guerre… Et que personne n’y va"

 

Moi : J’aime !