Après les déboires engendrés par le départ explosif d'Eric Besson, le parti socialiste prend une nouvelle direction de campagne, une réorganisation complète, avec l'apport d'un équipe qui va rendre jaloux Bernard Laporte et le XV de France :
Ségolène Royal annonce l'intégration de Jospin, qui rejoint la campagne à un moment stratégique, dans un rôle pas encore défini.
Après DSK, Fabius et Martine Aubry, le PS fait union autour de sa candidate à l'élection; d'autres anciennes gloires viendront renforcer les rangs, dont Mauroy, Kouchner, Delanoë, Emmanuelli, etc …
Une équipe de choc, la campagne va prendre un tournant qui pourrait être décisif pour tenter d'influer sur l'indécision d'une grande partie de l'électorat français, et redonner du crédit à Ségolène Royal.
Le départ d'Eric Besson a servi d'électrochoc, lui qui demandait depuis le début de la campagne, le retour des pontes du parti. Cette nouvelle doit lui paraître bien incongrue; maintenant l'équipe formée doit faire ses preuves : cohésion, efficacité, et surtout laisser de coté les vieilles querelles et les rivalités qui risquent de donner lieu à des règlements de compte …