Pour la plupart des être humains, avoir des enfants est un projet parental, un rêve que voudrait réaliser presque tous les couples. Cependant, chez certaines personnes, des facteurs auxquels la science trouverait des solutions de nos jours, interviennent et retardent et/ou bloquent le processus de reproduction.

Que faire donc si après diagnostic et traitement médical des infections et autres pathologies, le couple est toujours incapable de concevoir des enfants ? Doit-il se résigner et renoncer  à son droit d’être parent ?

La fécondation in vitro ou l’insémination artificielle est une solution si nos moyens nous le permettent, d’avoir nos propres enfants quand la nature nous joue des tours.

 Aujourd’hui, grâce à l’assistance médicale à la procréation, l’infertilité n’est plus une fatalité. Depuis le premier bébé éprouvette en 1978, la fécondation assistée n’a cessé d’augmenter. De plus en plus des couples qui souffraient d’infertilité ont vu leur rêve de tenir dans leurs bras leurs progénitures se réaliser. En France par exemple, en 26 ans de pratique, les 200 000 bébés issus d’une fécondation in vitro fond la joie et le bonheur de leurs parents. Ce sont des enfants normalement constitués, en parfaite santé physique et mentale surtout avec des traits de l’un ou des deux parents.

On devrait aller au delà de certaines considérations religieuses et voir en la procréation médicalement assistée non pas une manipulation de la vie dès son commencement, mais plutôt un coup de pousse, une solution. En effet, chacun des conjoints fait des examens afin d’établir les causes de l’infécondité. Ensuite, le médecin détecte le moment idéal de l’ovulation pour introduire les spermatozoïdes préalablement bien sélectionnés. Par ce geste simple, des foyers se solidifient, des ménages retrouvent l’harmonie. La procréation médicalement assistée donne l’occasion aux couples de toujours donner le meilleur d’eux-mêmes afin de faire plus tard la fierté  de ceux à qui ils viennent de donner le jour.

 Cependant, quelque chose doit être faite pour protéger les embryons non utilisés après fécondation car, comme toute œuvre humaine, l’insémination artificielle ou encore fécondation in vitro présente ses limites et ses failles.