A mon meilleur ami,
Qui m’a toujours soutenu,
A l’ami,
Dont on peut tous rêver.
A mon frère,
Qui a su m’écouter,
A tous les secrets confiés,
Que tu as su garder.
La huitième merveille du monde, ton amitié,
Ton éphémère présence, la constance de cette complicité,
Me montrent que je dois mettre à profit le jour présent,
Cette entente égoïste n’a pas besoin de consentement.
L’amitié indestructible n’a ni commencement ni cessation,
Je voudrais que l’on se confie sans indécision,
Et qu’aucun obstacle ne brise ce lien si précieux,
Je te considère comme un frère à mes yeux.
L’éloignement augmente le prestige, je crois,
Je me rends compte de ton importance lorsque tu es loin de moi,
Mais ne t’inquiète pas si, pour de bon, je m’en vais,
Cela voudra dire que la Terre s’est arrêtée de tourner …