L’histoire du yoyo

Nous sommes à une époque où la plupart d’entre nous et surtout les femmes, vivent dans la hantise de la surcharge pondérale.

Sur le marché, il existe une multitude de méthodes pour perdre du poids , mais le plus dur n’est pas le régime en lui même, car les résultats sont là , que ce soit un kilo par semaine ou cinq. Nous nous sentons actif , mais le plus difficile dans un régime est de ne pas reprendre ses kilos perdus , c’est la stabilisation.

Un régime comporte un début et une fin. Prendant cet intervalle on n’accepte facilement  de faire un effort pour un résultat à la fois rapide et immédiatement visible .

Mais qu’est ce que l’effet yoyo au juste?

Pourquoi se lancer dans un régime? Pour qui?

Avant tout commencer un régime, est un travail sur soi même. Chaque kilo raconte une histoire, un vécu, des soucis, ou une période de déplaisir. Ceci a un impact sur la santé et par le faite cela peut expliquer une prise de poids.Il y a aussi l’histoire hormonale de chacun.

La stabilisation du poids après un régime n’est ni un dû ni un acquis.C’est une prise de conscience des raisons qui nous ont poussé à grossir, c’est un travail de tous les jours, ety  il ne faut pas oublier la notion de plaisir.

Pour cette phase qui est la stabilisation , il y a le début mais pas la fin, on doit faire un effort quotidien pour justement ne pas prendre de poids.On n’a l’impression de subir cette phase et de ne plus être actifs.

Aucun régime n’est définitif. Le tout est de comprendre ce qui a provoqué cette prise de poids et d’éviter d’être dans la même situation pour la phase de la stabilisation.

On entends souvent qu’à cause d’un régime trop privatif, je me suis jeté sur la nourriture. C’est toujours la faute de quelque chose et c’est tellement plus facile d’accuser un régime qui ne peut pas se défendre , au lieu de se remettre en question et chercher à savoir ce qui se passe.

Faire un régime  c’est entreprendre un travail pour avancer dans sa vie, il faut le vivre comme une aventure, celle de se retrouver enfin.

Sachez mesdames et messieurs que pour moi le poids normal, c’est un poids où vous sentez en phase avec vous même.

2 réflexions sur « L’histoire du yoyo »

  1. Ah zut, je croyais que le yoyo était celui débarqué sur l’île de Ré…
    Sinon, rien ne vaut le sport, pour le corps comme pour l’esprit ;D

  2. Churchill disait, lorsqu’on le questionnait sur sa longévité, « C’est à cause du sport » et il ajoutait: « Je n’en fais jamais ».
    A mon avis, il faut considérer le sport comme un divertissement, et les gens qui font de longue séances de jogging avec un air concentré, ne font que fatiguer leur cœur et abréger leur vie. Ce sont les américains qui ont lancé cette mode, je me souviens des films où j’ai vu cela pour la première fois.
    A 95 ans et en bonne santé physique et intellectuelle, je n’ai jamais fait de sport pour le sport, j’ai fait beaucoup de gymnastique quand j’étais jeune, j’ai fait du cheval, du ski, de la planche à voile, du bateau à voiles par ce que c’était agréable et amusant, mais pas en tant que sport.
    Il existe des gens dont le corps est ainsi fait qu’il exige des dépenses physiques importantes, mais tout le monde ne peut pas être sportif.
    « Connais toi, toi même », disait Socrate, c’est la première démarche à faire.

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