Tout un chacun est amené un jour à conduire un véhicule. Tout un chacun est amené un jour à consommer de l’essence et à faire le jeu des marchands d’or noir… et si tout cela devait cesser?
L’eau a coulé sous les ponts depuis les tous premiers modèles de voitures qui fonctionnaient à la vapeur, une énergie très écologique.
Avec le temps, le moteur à explosion a fait son trou pour une meilleure rentabilité des investisseurs automobiles, et le pétrole a remplacé la vapeur.
Le pétrole, véritable "or noir", capable d’attiser les convoitises les plus diverses, et de rendre millionnaire le propriétaire chanceux de résider sur cette huile de roche.
A l’image du personnage de "JR Ewing" dans la série "Dallas" (qui suscite l’admiration dans les années 80), les exploitants pétroliers sont aujourd’hui de richissimes hommes d’affaires, suite à l’exploitation de ce liquide souterrain, impératif à tout déplacement mondiaux.
Un besoin vitale?
L’Homme, c’est maintenant une certitude indéniable, à de manière grandissime besoin de ce produit côté au baril de 100 litres sur les meilleurs places boursières mondiales pour se déplacer, et pour travailler, afin de lui garantir un confort de vie quasi essentiel à notre époque,à sa survie.
Aujourd’hui, la construction même de ces moyens de locomotions, imposent l’apport de ressources pétrolières afin de faire fonctionner les machines. Une sorte de connivence entre les constructeurs et les « producteurs » de cette énergie naturelle (tout du moins à la base) dans le but de favoriser notamment un monopole énergétique diligenté par les institutions nationales.
Le cour boursier du baril de pétrole est l’une des constantes boursières les plus surveillées de la planète Terre dans le sens ou la moindre variation de coûts du baril peut avoir des conséquences grave sur l’économie des pays producteurs ou encore sur les consommateurs directement, notamment comme c’est le cas actuellement, dans le cas de crise financière.
Les années passent, les méthodes restent, mais malgré cela, de plus en plus de défenseurs de l’environnement entament des levées des boucliers, afin notamment de trouver de nouvelles ressources énergétiques plus enclins à protéger l’éco système naturel, car le pétrole certes favorise l’économie nationale de certains pays, notamment dans les pays du Golfe, mais il favorise aussi la destruction massive de la couche d’ozone suite aux émulsions en monoxyde de carbone qu’il dégage lors qu’il brûle.
Quelles sont les méthodes dîtes "verte"?
Au fur et à mesure des expériences tentées, de nouvelles ressources sont avancées pour permettre le fonctionnement des véhicules de locomotions comme notamment, la Canne à sucre, la Betterave ou encore le Maïs. Des ressources bio qui préservent en partie la couche d’ozone mais qui cependant au vu de la structure actuelle des véhicules sont difficiles à mettre en application sans des transformations artisanales des mécaniques.
Ces derniers jours, une nouvelle ressource potentielle est venue raviver la flamme des écologistes, à savoir l’essence Écossaise.
Mais qu’est ce que l’essence écossaise me direz vous?
Il s’agit de l’alcool du pays, véritable emblème de toute une nation et fait de gloire du pays des Higlands, en d’autres mots,le Whisky . Alors que les consommateurs de Whisky et le capitaine Haddock en tête se rassure, le vivier d’alcool n’est pas menacée par cette nouvelle initiative bio, et les millésimes ne seront pas sacrifié sur l’hôtel de l’énergie rentable, car ce sont les résidus de fabrications des distilleries qui seraient et seront utilisés pour les moteurs automobiles.
Les experts écossais après étude des diverses ressources du pays ont estimé, que cette ressource ne pourrait pour le moment être utilisée à grande échelle mais que les alambics (fond de cuve de whisky) pourraient servir à alimenter en énergie les stations services locales, d’autant plus que pour « rouler » au whisky, aucune modification de moteur n’est nécessaire, tout en sachant que « rouler » au whisky fait gagner 30% de rendement comparé au pétrole de voiture. Une vraie découverte, qui ne présente à première vue que des avantages mais pour laquelle les stocks sont infimes..Une idée à creuser sans modération?
La solution n’est pas dans la culture a outrance d’un produit.
Le brésil a détruit sa première économie (l’agriculture)en voulant fournir du l’énergie en échange de $$$$$…Merci le maïs et la betterave non consommés qui bouffent la quasi totalité de l’eau potable.
A croire que seuls les pyromanes de cité on compris la solution ;D ;D
Je ne sais pas si les pyromanes des cités ont trouvé la solution mais le cas échéant faut il encore que celle ci soit viable à terme et à grande échelle.sourires.
Concernant la culture à outrance je suis d’accord pour dire que les cultures de betteraves et Maïs ont largement contribué à l’appauvrissement des nappes phréatiques engendrant des pénuries d’eau potable par régions. L’argent est le véritable Leitomtiv de beaucoup d’homme et les nations émergentes comme notamment le Brésil privilégie de plus en plus l’agriculture à l’export que celle destinée aux marchés locales ayant pour but de rassasier sa population.
L’économie planétaire, est régit par le Dollar à outrance, et il est vrai que au rythme ou les choses vont, les dangers de l’exploitation massive sont à prendre avec beaucoup d’intérêt notamment par les risques qu’ils engendrent à long terme.
Merci en tous cas pour votre commentaire plus que pertinent Ben13