L’Espagne… Championne d’Europe de Football

C'est fait. Pour la seconde fois seulement de l'histoire du ballon rond, l'Espagne remporte un titre international. Ce titre, c'est celui de championne d'Europe. C'est le seconde fois que les joueurs de la péninsule ibérique remportent ce prestigieux trophée. La première fois remonte à… 1964.

Face à la Mannschaft (surnonm de l'équipe d'Allemagne), les joueurs au T-shirt rouge et au short noir se sont imposés sur le score de 1 but à 0. Ce but a été inscrit au cours de la première période (33 ème minute de jeu), par Fernando Torres.

Ce match a été marqué par une domination importante des nouveaux champions, qui ont dominé une équipe allemande qui n'a pas joué son meilleur de la compétition, à l'image de son "leader" Michael Ballack, qui n'a été que l'ombre de lui même pendant la majeure partie du match.

Menant au score, ce sont carrément les espagnols qui ont dominé la fin de match, ne permettant quasiment pas à leurs adversaires de se créer de nouvelles occasions au cours des dernières minutes de jeu. L'Espagne aurait même pu inscrire un second but à plusieurs reprises.

Le championnat d'Europe des nations est considérée comme plus difficile à remporter que la Coupe du Monde. Pourtant, les espagnols n'ont pas consédé la moindre défaite lors du tournoi.

 

Allemagne – Espagne: 0 – 1

9 réflexions sur « L’Espagne… Championne d’Europe de Football »

  1. La Coupe du Monde est bien plus difficile a remporter.
    Ce sont juste les groupes de départ qui sont plus difficiles, vu le nombre restreint d’équipes : 16.
    Mais le Brésil, l’Argentine, les Africains, toujours une équipe surprise…A ce titre le championnat d’Europe va se retrouver à 24, rendant le premier tour bien plus abordable.
    Michel

  2. L’armada espagnole a de l’avenir!
    L’Espagne a conservé sans difficulté son titre de champion d’Europe des moins de 17 ans de l’UEFA en balayant la France 4-0 au Complexe sportif Mardan.

    Les émules de Bojan Krkić, qui avait marqué le but de la victoire en finale l’année dernière en Belgique contre l’Angleterre, ont offert le titre à leur sélectionneur Juan Santisteban qui observait du banc sa 13e finale (et peut-être à 71 ans sa dernière). Le mage espagnol en a remporté sept.

    😀

  3. Ce n’est pas un gage d’avenir.
    Les Portugais, depuis des lustres dominent bien souvent les catégories intermédiaires, et pourtant un palmarés au plus haut niveau, sans aucun titre.
    La précocité est une chose, confirmer en est une autre.
    L’Allemagne n’ a jamais brillé dans cette catégorie, et pourtant 3 coupes du Monde, 3 tiotres de champion d’Europe, se basant plus sur un football amateur sans équivalent en Europe

  4. @ Michel

    Bonjour,
    Effectivement la coupe du monde réuni également les équipes sud américaines qui sont toujours très difficiles à battre, ainsi que des équipes africaines qui peuvent toujours créer de grosses surprises. De même, il est certainement plus prestigieux de remporter la coupe du monde que le championnat d’Europe, mais l’Euro, du fait qu’il n’y ai que 16 équipes engagées fait que seules les meilleures du continent sont représentées. Pour ce qui est du mondial, les meilleures équipes asiatiques ou africaines sont malgré tout censées être moins fortes que leurs homologues européennes, ce qui rend la compétition, du moins au début, disons moins compliquée. Mais comme vous dites, heureusement que des équipes peuvent créer des surprises, sinon quel ennuis.

    Pour ce qui est du fait que l’Euro passe à 24 équipes à plus ou moins long terme, cela aura pour conséquence de qualifier plus de pays, ce qui n’est pas pour déplaire, mais le niveau s’en trouvera forcement diminué puisque ce ne seront plus les 16 meilleures, mais les 24 meilleures équipes qui seront qualifiées. Inversement cela permettra peut-être encore plus de surprises, ce qui sera positif.

    Je persiste donc à dire que l’Euro est plus difficile à gagner que le mondial, mais cela n’engage que moi. 😉

    jcd51

  5. Quelle idée de glorifier le football amateur allemand?
    On l’a échappé belle, la Maanschaft aurait gagné on aurait eu doigt a un article de « Miguel »

    J’ai l’impression que l’Espagne t’inspire moins que l’Allemagne…..

    BERLIN (AFP) – Des violences en marge d´un match de championnat amateur à Leipzig (est) ont mis en pleine lumière le problème du hooliganisme dans le football allemand, qui épargne le haut niveau mais sévit, teinté de néo-nazisme, dans de nombreux petits clubs, en particulier de l´ex-RDA.

    Samedi 11 février, une rencontre de 5e division entre le Lokomotiv Leipzig, dont les supporteurs sont réputés parmi les plus violents d´Allemagne, et l´équipe réserve d´Aue, s´est finie en bataille rangée entre hooligans et policiers.

    Les affrontements ont fait une quarantaine de blessés et suscité une réaction sans précédent: l´annulation par la Ligue de football de l´Etat régional de Saxe d´une soixantaine de matches amateurs prévus ce week-end.

    Une mesure réclamée par le président de la Fédération allemande de football (DFB), Theo Zwanziger: « Nous ne pouvons pas permettre que des incidents à trois ou quatre endroits donnent l´impression que tout le football allemand est contaminé ».

    Le geste ne fait pas l´unanimité: « On veut montrer qu´on agit mais c´est une preuve d´impuissance », juge Gunter Pilz, sociologue de l´Université de Hanovre (nord), spécialiste des phénomènes de hooliganisme.

    « Le phénomène ne date pas d´hier. On sait depuis des années qu´il existe des groupes très violents, très influencés par l´extrême-droite, dans les clubs de l´est », au premier rang desquels le Lokomotiv Leipzig ou encore le Dynamo Dresde, poursuit-il, dans un entretien avec l´AFP.

    Mi-octobre, une rencontre opposant l´équipe réserve du Hertha Berlin au Dynamo Dresde s´était finie par un envahissement du terrain par des supporters. 22 personnes avaient été interpellées et 23 policiers blessés.

    Pour Gunter Pilz, le hooliganisme a pris de l´ampleur après la Réunification allemande, en 1990, avec la montée des problèmes économiques et sociaux: « Les violents, ce sont avant tout des jeunes sans avenir, qui expriment leur frustration dans les stades. »

    La violence qui entache les championnats amateurs semble en revanche complètement absente des matches de niveau professionnel en Allemagne.

    S´inspirant de la Grande-Bretagne et des Pays-Bas, le pays a mis en place en 1992 une cellule policière centrale chargée de collecter les informations sur les supporters violents (Zentrale Informationsstelle Sporteinsätze, ou ZIS).

    La surveillance a encore été renforcée après l´agression du gendarme David Nivel, laissé pour mort par des hooligans allemands lors du Mondial 1998 en France.

    « Nous avons recensé environ 10.500 supporters potentiellement violents », explique à l´AFP un porte-parole du ZIS, dont certains font l´objet de mesures de prévention particulières. « Notre système fonctionne, comme l´a prouvé le succès du Mondial (2006: ndlr) en Allemagne », juge-t-il.

    Mais « il ne reste rien du Mondial. Nous sommes revenus à la normalité », constate le directeur de la ZIS, Michael Endler, dans les pages du quotidien Tagesspiegel.

    Souvent montrées en exemple, les associations allemandes de supporters demandent plus de moyens financiers, surtout de la part des autorités locales: « Nous ne sommes pas des pompiers. On ne pense à nous que lorsque l´incendie est déclaré, mais il faudrait empêcher que le feu prenne », estime ainsi Torsten Rudolph, coordinateur du Fan-Projekt de Dresde.

    Plusieurs experts appellent aussi à ne pas stigmatiser les seuls clubs de l´ex-RDA: « Il y a aussi du racisme à l´Ouest, dans l´élite, mais plus insidieux », selon Gunter Pilz, qui rappelle que des cris de singe se sont déjà fait entendre dans les tribunes en Bundesliga, pour humilier des joueurs noirs.

    Le mensuel spécialisé Rund, qui consacre son dernier numéro au « Football empoisonné par les nazis », juge aussi que « l´extrême-droite n´est pas un phénomène de l´Est, pas plus que l´Ouest n´est un îlot d´amitié entre les peuples ».

    🙁

  6. non, mais cette finale s’est révélé terne,quelques éclairs espagnols, heureusement!
    Je ne suis pas un fan de la Mannschaft, c’est une équipe que je respecte et qui sait être présent quasiment à tous les rendez-vous importants, d’ou ce respect. J’aime le football, et ce qui m’importe ce n’est pas le maillot, mais la volonté, la technicité (qui a fait cruellement défaut a la Mannschaft)..

  7. Dans le fond le football n’est-il pas un jeu fondamentalement ennuyeux à part justement ces quelques éclairs?Et à part le mercato bien évidement….

    Libertus

  8. VIVA ESPANA !
    VIVE LES GAGNANTS !

    et pas de victimes de tirs au but… !!!

    que des perdants qui essaieront d’être gagnants la prochaine fois !

    VIVE LES PERDANTS AUSSI !

    je confirme : ce qui est bien c’est que quand le corps cesse de s’agiter dans tous les sens, le cerveau, lui, continue à s’activer… !

  9. Foot !
    Je suis très heureux que se sois un pays « Européen » qui a gagné et honneur aux perdent ! 😉

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