Qui n’a jamais utilisé un petit surnom tendre pour appeler son conjoint? Qui n’a jamais trouvé un surnom affectif pour appeler son meilleur ami ou sa meilleure amie?

Tout le monde le fait, tous les jours, ou presque!

 D’après une étude de la TNS Sofrès parue en 2009, les hommes seraient plus adeptes que les femmes à distiller des petits mots en forme de pseudo.

Dans le genre, il y a de tout, du plus classique au plus surprenant. Tous les goûts sont dans les pseudos. Le best-seller étant bien sûr:

"Ma chérie", "Ma puce", "Mon coeur", "Mon bébé", etc…

Un autre surnom est devenue la star des couples grâce à un divertissement télévisuelle, j’ai nommé "Chouchou" et "Loulou".

Voici d’autres pseudos que l’on pourraient ramasser à la pelle, comme les feuilles en automne. Exemples:

"Grenouille", "Lapin", "biquet", "Mon canard", "Mouche", "Choupinette", Ma caille en sucre", "Mon bichon", etc…

Pour ma part, j’ai parfois entendu des surnoms loufoques, pour ne pas dire bizarre.

"Bouli", "SniffSniff", "Titou", "Babane", "Poussie", "Barbe à papa", et j’en passe des meilleurs… et des pires!

 

Il faut bien l’avouer, les surnoms sont quelquefois à la limite du ridicule, surtout en public. Il faut éviter de les utiliser n’importe-où. Un surnom stupide ou nunuche peut vite devenir gênant dans la rue.

 

Heureusement, dans la plupart des cas, les surnoms ont un caractère sympathique, voir amusant. Il s’agit souvent d’une sorte de connivence entre deux êtres reliés par un lien affectif. Un privilège des sentiments, ni plus, ni moins!

 

Par contre, il arrive des fois que le surnom change de forme selon l’humeur de l’utilisateur, et en fonction du contexte. Un "petit lapinou’ peut vite devenir un "gros salopiou", lors d’une dispute par exemple.

 

Et vous, votre petit surnom c’est quoi?

Moi, c’est "Mon bichon". Je sais, c’est ridicule. Tant pis!