Décriées et mal considérées pendant de longues années par la majorité des Européens, les médecines douces reviennent en force. La preuve : thérapie manuelle, hypnose, sophrologie, acupressure, aromathérapie, auriculothérapie, thalassothérapie, etc.

Ces thérapies sont de plus en plus nombreuses et ont progressivement envahies notre vie quotidienne. Doucement mais sûrement, elles deviennent incontournables.

Aujourd’hui, même la Sécurité sociale rembourse l’homéopathie et l’acupuncture. Les mutuelles suivent et prennent parfois en charge quelques séances d’ostéopathie.
 
Les compléments alimentaires connaissent un succès grandissant. Cependant, une mise en garde est nécessaire : Il faut souvent se méfier de ceux vendus sur internet, d’après l’équipe de chercheurs de l’université Paul-Sabatier et du CNRS. Prudence donc !
 
Mais qu’est-ce qui déclenche cet engouement pour les médecines douces ?
Probablement grâce à la manière d’aborder la médecine sous un autre angle par des thérapeutes plus à l’écoute de leur patient. Parce que, avec les médecines douces, les effets indésirables sont souvent moins agressifs. Et puis le corps est considéré dans sa globalité, les organes étant inter-dépendants les uns des autres. 

 

Enfin, et c’est loin d’être négligeable, les thérapeutes des médecines douces ne considèrent pas les malades comme étant de simples numéros anonymes.
Dans une société déshumanisé et en perte de repère et de reconnaissance, les gens sont en quête de "mieux vivre et bien vivre". Cette évidence explique, en partie, les succès grandissant des thérapies multiples et des médecines douces.
 
Pour ma part, je pense que les médecines douces sont nécessaires et complémentaires à la médecine classique. Les opposer ne sert à rien, il serait plus utile et profitable pour nous tous de les utiliser en bonne intelligence.

 

J’ai testé les médecines douces plusieurs fois dans ma vie avec de bons résultats pour certains problèmes de santé. Il suffit de savoir les utiliser à bon escient.

 
Et vous, classique, douce, alternative… ou les deux ?