Le 5 mars dernier paraissait dans le Nouvel observateur, un article autour de la violence conjugale, avec pour titre : "Violences faites aux femmes/ Les mots et les coups". S'en suivait la révélation d'une mission d'évaluation, commandée par Rachida Dati et qui serait en cours, pour cerner plus particulièrement les violences psychologique faites aux femmes. Le rapporteur de la mission, le député UMP Guy Geoffroy, s'y exprime : "Trop de femmes sont victimes de véritables entreprises de démolition de leur personne par des conjoints pervers narcissiques".
Le député Guy Geoffroy ne s'attendait certainement pas à recevoir, suite à ses déclarations dans le cadre de sa mission, des courriels sous forme de réclamations. Ils émanent simplement de mouvements impliqués dans la défense des hommes battus, que le député a tout l'air d'oublier. Car si le sujet fait volontiers rire, dans la réalité, et pour les victimes, ce n'est pas le cas.
Il va de soi qu'une prise de conscience autour du phénomène psychologique dans les violences conjugales est nécessaire. Une femme n'est pas battue du jour au lendemain par son compagnon. Cela passe par plusieurs phases, et tout d'abord par une véritable opération de manipulation, dans laquelle la femme sera dénigrée et sa personnalité démolie. Il s'agit d'abord d'un rapport de domination. La victime ne comprend pas de suite ce qui se passe. Elle est entrée dans un engrenage qu'elle n'avait pas prévu. Pour les victimes masculines, il en va de même.
Si dans cet article les violences faites aux femmes sont fort bien décrites, rien, absolument rien n'est dit des violences faites aux hommes, et pourtant, c'est bien là qu'est le véritable tabou. Ces violences sont mal connues et seraient, dit-on, particulièrement rares, à telle enseigne que rien n'est prévu, comme pour les femmes, pas de centre d'accueil et pas d'accompagnement dédié à cette violence. La situation est pourtant plus fréquente qu'il n'y parait, en témoignent les expériences québécoises, notamment, et elle se rapprocherait de celle des femmes assez sensiblement, y compris quantitativement.
L'origine du combat contre la violence conjugale émane des mouvements féministes et c'est à travers eux qu'il y eut d'abord une prise de conscience et partant une réelle organisation pour la combattre. A l'époque, la femme était parfaitement dépendante de l'homme, tout particulièrement au niveau financier et pour ces féministes, les hommes étaient trop souvent vus comme des ennemis de la femme, des ennemis intimes, à combattre, tout prêt à vouloir l'asservir à nouveau, la cantonnant aux taches ménagères et à la cuisine, lorsqu'ils ne profitaient pas de leur force physique pour la soumettre.
C'est peut-être pour cette raison que la cause des hommes n'est que très marginalement plaidée. L'homme est considéré comme un agresseur en puissance : il a la force physique pour lui, ce qui peut se révéler inutile face à un "adversaire" souvent plus "subtil". En effet, de tous les témoignages d'hommes battus, il ressort que les femmes qui les agressent ne sont pas différentes dans leur cheminement que les hommes violents. Tout commence par un dénigrement systématique de la virilité du compagnon. Critiqué en tant que mari, que père, qu'amant, bientôt c'est sa vie professionnelle et publique qui sera visée, il subira ensuite, généralement, un isolement familial.
La violence envers les hommes est plus souvent psychologique, mais pas uniquement, et une femme qui frappe son compagnon peut souvent le faire en sachant qu'il n'y aura pas de retour : un homme qui frappe une femme devient aussitôt la pire des ordures, et il le sait. Particularité consternante : les femmes violentes attendent le faux pas de leur compagnon, ceci après diverses intimidations et provocations, parfois après une série de gifles. Si l'homme répond de la même manière, elles s'empressent d'aller porter plainte et obtiennent souvent gain de cause, là où l'homme battu ne récoltera qu'un sourire narquois de l'officier de police qui le recevra, quand ce ne sera pas un bon gros rire bien gras.
Naturellement, ces femmes violentes vont grossir les statistiques des femmes battues, de par leur plainte… L' homme battu par sa femme a fatalement honte de lui-même. Il s'enferme dans une attitude de négation, s'il ne part pas aussitôt. Cela n'est pas venu seul et n'est pas plus risible que lorsqu'une femme reste auprès d'un homme violent, en espérant qu'il changera.
Comme les femmes, l'homme a peur pour ses enfants. Face à une personne déséquilibrée, il craint que toute cette violence ne rejaillisse sur eux (et de fait, les statistiques lui donnent raison : les enfants sont plus souvent maltraités par les mères que par les pères). La femme manipulatrice sait très bien ce qu'elle fait, elle n'ignore en rien que la loi sera de son côté, elle n'ignore pas que l'homme sera aussitôt jugé coupable. Elle agit en conséquence.
Sophie Torrent, diplômée du département social de l'université de Fribourg, a consacré un livre sur ce sujet : "Pour la majorité des gens, explique-t-elle, parler d'hommes battus est incroyable, pourtant, la triste réalité est qu'il existe des hommes battus. Sauf que ceux-ci n'en parlent pas et qu'ils ne peuvent, contrairement aux femmes compter sur des ressources communautaires pour les aider à sortit du cycle infernal de la violence conjugale".
Au Québec, une étude relativement récente, estime que 8% des femmes ont subi des violences conjugales, comme… 7 % des hommes. La violence est souvent psychologique, mais elle peut aussi être physique : les femmes sont moins fortes, mais elles utilisent des objets pour compenser, ce qui peut faire des dégâts considérables aussi bien physiquement que psychologiquement. L'on estime également que des suicides peuvent être dûs à le violence psychologique pratiquée par la compagne, bien qu'ici encore, il soit difficile d'émettre des statistiques fiables.
Au Québec, en Allemagne et en Suisses, des centres existent déjà pour accueillir les hommes battus, mais pas en France. Pourtant la situation n'a aucune raison d'être différente, le manque de statistiques réellement fiable est pour beaucoup lié au silence qui entoure cette problématique. D'autant que, puisque les mots manquent, il devient difficile pour les hommes de cerner la violence qui leur est faite.
En France, il n'existe aucun organisme pour les hommes battus et les organismes réservés aux femmes n'accueillent pas les hommes. Ils peuvent, dit-on, contacter le 3919. Une initiative isolée et non officielle existe toutefois :
SOS hommes battus, avec un numéro d'appel non surtaxé. La personne qui tient le blog (car il s'agit aussi d'un blog), recense les différents témoignages qui lui sont faits. Le site semble incontournable sur le sujet.
Même un homme corpulent peut être victime de cette violence, face à une personne déséquilibrée, dans tous les milieux et de toutes origines. C'est la raison pour laquelle il ne serait sans doute pas anodin d'écrire au député en charge de la mission d'évaluation (son adresse :
[email protected] ), pour que les personnes coupable de violence conjugale soient enfin prises pour ce qu'elles sont en dehors de leur "genre" : une femme aussi peut-être violente, notamment psychologiquement et il se trouve que c'est tout le sujet de l'évaluation.
————————————————-
– 80% des hommes vivant cette situation seraient pères, parmi eux, 12% sont séparés ou divorcés. Les femmes sont les plus souvent citées dans les violences envers les enfants.
– Selon
France soir, dans une enquête sur le sujet,
8 à 10 % d'hommes seraient victimes de violences conjugales.
En 2006, 31 d'entre eux sont décédés, soit un décès tous les 13 jours.
Par comparaison, 10 % des femmes se déclarent victimes de violences conjugales et une femme est tuée par son compagnon tous les 4 jours.
– Un
article de l'Express relate comment des anglais se réunissent dans un pub, avec tous la particularité d'être battus par leurs femmes.
L'article précise que : "Sur 341 victimes de violences domestiques, 45% sont des hommes et 17% des femmes, d'après les conclusions d'un groupe de médecins du Leicestershire, dans un rapport rendu public par le département britannique de la Santé."
– L'
Express a publié aussi un document sur les maris battus.
– une bonne
chronique sur un blog sur le sujet
Sophie Torrent a écrit "L'homme battu" et Yvon Dallaire "La violence faite aux hommes", deux livres qui traitent tous deux de ce sujet.
{youtube}LMgCB4GaeLQ{/youtube}
Bonsoir,
Je suis surprise des chiffres. 8 à 10% d’hommes battus! presqu’autant que de femmes battues? Et encore, puisqu’à ce sujet, il reste beaucoup de non-dits…
Il m’est arrivé de lire un témoignage d’homme sur un blog, c’est assez effrayant (ça l’est dans les deux sens d’ailleurs).
Bien cordialement
😉
Blaise vous nous signez un article très intéressant et espérons que cela aidera à une prise de conscience.
Il est sans doute probable que le nombre de femmes victimes de violences physiques est supérieur à celui des hommes, mais qu’en est il des violences psychologiques ou tout simplement verbales.
Les violences les plus communes que subissent les hommes sont les jugements de divorce qui le plus souvent accordent le droit de garde aux mères.
Bonsoir River,
Un premier commentaire et c’est celui d’une femme, c’est très bien ainsi.
En effet le chiffre semble fabuleux! Je n’ai fait que reprendre pour ce sujet les chiffres trouvés dans la presse.
Pour les témoignages, je vous rejoins parfaitement! Le blog sos hommes battus, en fourmille.
C’est par hasard que je l’ai trouvé, alors que je me moquais d’un ami qui se souciait de ne pas rentrer trop tard, afin de ne pas déplaire à sa femme.
Eh bien, cela ne m’a plus fait rire du tout! Le sujet est véritablement sérieux.
Et ça l’est dans les deux sens, vous avez parfaitement raison de le dire!!!
Merci de votre passage
[b]Blaise,
pour moi, les violences conjugales, cela concerne
[i]- les femmes battues,
– les hommes battus ![/i]
Alors, je me trouve assez étonné qu’il subsiste un tabou au sujet de ces hommes battus, et, que nos députés, nos sénateurs, nos gouvernants, ne se soient pas penchés, avec la même rigueur sur ce problème, comme si
[i]- on ne devait parler que des femmes battues,
– on ne pouvait guère parler des hommes battus considérés comme des lâches,
– il y avait une sorte de « discrimination positive » dans les violences exercées contre des êtres humains ![/i]
Certes, il y a des combats à mener en faveur des femmes trop souvent violentées, massacrées, tuées, lapidées, violées… Mais, de grâce, il ne faut pas oublier non plus ces hommes trop souvent victimes de tabous en plus de violences !
Avec toute mon amitié,
Dominique[/b]
Tout à fait New reporter!
Dans les cas de séparations, les femmes sont généralement favorisées.
Je le pense aussi, il est plus facile (mais véritablement lâche) de s’en prendre physiquement à une femme pour un homme, les violences doivent être plus fréquentes de ce côté.
Pour les cas de séparations où les hommes peuvent être accusés de tout et de rien, il me semble important que cette prise de conscience se fasse.
Je vais je pense, dès demain, car je n’ai pas encore trouvé le temps, écrire à ce député, pour qu’il prenne en compte la situation dans son ensemble.
Merci de votre commentaire très constructif.
Oui Dominique!
La femme est perçu comme une victime de l’homme.
Je m’en suis aperçu en faisant mes recherches. il est rare de trouver une défense des hommes pour ce sujet, mais lorsque c’est le cas, dans les témoignages, la souffrance est palpable.
On devine alors aussitôt que cela découle d’une personnalité déséquilibrée chez la femme, comme chez l’homme qui s’abaisse à violenter sa compagne.
Le drame de tout cela, c’est que cela créé une mauvaise appréciation des rapports entre les sexes.
Face à une personne déséquilibrée, on ne sait jamais comment répondre…
Il y a quelques temps en Meuse, un notable qui était victime de violence de la part de son épouse n’a pas hésité à faire plusieurs dizaines de kilomètres pour aller déposer plainte dans une gendarmerie éloignée de chez lui.
Que lui était-il arrivé New reporter?
A-t-il été écouté pas les services de gendarmerie?
[b]Blaise,
les femmes victimes de violence sont, me semble-t-il, beaucoup plus nombreuses que les hommes victimes de violence !
Il n’empêche qu’il faut dénoncer ce phénomène des violences faites aux hommes…
En tous les cas, votre article a le mérite de mettre les points sur les « i »…
Cordialement,
Dominique[/b]
Je ne dis pas le contraire Dominique…
Mais les statistiques ne sont pas assez précises sur ce sujet pour que nous puissions apprécier réellement l’ampleur de la situation.
En même temps, je me dis que nous pouvons penser qu’il existe une proportion assez semblable de personnes mal équilibrées des deux côtés.
La force physique n’est pas la même non plus, c’est certain…
Je sais Blaise… Mais, il serait temps que ces statistiques soient effectuées, d’autant que des hommes ont le courage de porter plainte !
Donc, il faut lever ce tabou…
Je sais Blaise… Mais, il serait temps que ces statistiques soient effectuées, d’autant que des hommes ont le courage de porter plainte !
Donc, il faut lever ce tabou…
Comment pourrait il y avoir des statistiques fiables?
Le poids de la société est encore plus important sur les hommes concernant le sujet des violences.
Il y en a donc très peu qui déposent plainte.
Oui, New reporter, mais en Amérique, les études seraient plus complètes.
Une copie du site sos homme battu :
« Ces images sont véhiculées par les médias.
Il n’est pas rare dans un film de voir une femme frapper un homme parce que quelque chose ne lui plaît pas.
Dans la même situation, le scénario prévoira que l’homme doit sortir en claquant la porte, s’en aller.
Une étude américaine sur environ 1000 femmes sur une période de 5 ans, a montré que 20 % d’entre elles avouaient avoir agressé physiquement leur partenaire.
Les raisons principales en étaient :
– mon compagnon ne répond pas à mes besoins
– je le fais pour qu’il fasse plus attention à moi
– mon compagnon me m’écoute pas
Mais pourquoi passer à l’agression physique ?
Ces femmes ont répondu :
– que les hommes sont capables de se défendre eux mêmes donc que passer à la violence physique n’a pas d’importance (24%)
– qu’on a appris à la plupart des hommes à ne pas frapper une femme alors je n’attends pas de retour de sa part (19 %)
– les femmes et les hommes sont égaux, donc une femme doit pouvoir autant exprimer sa colère physiquement qu’un homme (13 %)
– j’ai appris dans mon enfance que je pouvais taper sur mon frère sans qu’il se rebiffe (12 %)
– exprimer ma colère physiquement m’excite sexuellement (8 %)
Ces femmes se permettaient d’être agressives avec leur compagnon et pas avec d’autres hommes, car elles disaient savoir qu’un autre homme n’hésiterait sans doute pas à leur rendre leurs coups, alors que leur compagnon ne le ferait pas. »
Consternant n’est-ce pas?
En effet, consternant!
C’est bien navrant de constater toutes ces violences entre personnes, qui, à priori, se rencontrent, sont censées s’aimer, et décident de fonder un foyer ensemble. Comment tolérer que son propre conjoint, sur lequel on devrait pouvoir compter justement dans les moments difficiles, soit le pourvoyeur de tant de violences?
Cette violence vient-elle de violences subies dans l’enfance ? D’incompatibilité entre les deux conjoints qui n’ont pas été comprises dès le départ et qui en deviennent si insupportables qu’elles se traduisent par des gestes agressifs?
Ce serait intéressant de savoir si ces violences sont en progression, ou si c’est un phénomène nouveau.
[i] »j’ai appris dans mon enfance que je pouvais taper sur mon frère sans qu’il se rebiffe (12 %) »[/i]
Déjà vu! surtout quand le frère est plus grand! le pauvre entendra toujours « ne tape pas ta soeur! » quoiqu’elle lui ait fait, la petite peste… 😉
Bonne nuit.
que les hommes sont capables de se défendre eux mêmes donc que passer à la violence physique n’a pas d’importance.
Mais il arrive souvent que les hommes ne se défendent pas de crainte d’être accusés de violences.
Vive le couplisme
Mille mercis à Blaise Ca fait des années que j’attendais un article du genre
Peu importe les statistiques qui sont avec les petits et les gros mensonges les trois types de mensonges.
Les femmes réclament l’égalité de traitement. Alors, que celles qui rendent très malheureux leur compagnon réellement moins responsables qu’elle dans les dissensions du ménage soient aussi montrées du doigt, stipendiées, et condamnées aussi souvent que réellement mérités.
Le féminisme bourgeois, c’est dépassé. Vive le couplisme épanouissant et indispensable aux enfants, et aux enseignants et à la société plus généralement dans toutes les catégories sociales.
[b]Les Hommes battus ???[/b]
Un homme qui se laisse battre par sa femme ou sa compagne, est un pauvre homme, qui n’a pas de c…lles ???
Ou pas de travail, vivant sur le salaire de sa compagne….
Ou pas de courage…
Enfin pas un MEC, quoi!!
De toutes façons, à part au Canada, comme vous le dites Blaise, en France, je n’ai pas encore vu arriver en urgence, dans l’association dont je suis administratrice, d’hommes venant se mettre à l’abri des coups de leurs épouses!!
Pas d’hébergement d’urgence de prévu, pur ces Messieurs
par contre combien de femmes avec enfants pouvons nous reloger, en un mois!!
C’est de pire en pire…
Alors Messieurs, un peu de pudeur, et réglez vos problèmes en mettant de côté vos petites susceptibilités….
Les mots, sont à préférer aux Maux…
Un petit calin, une petite douceur, un petit cadeau, une fleur, un compliment, et HOP, on est « contente » NON ?
Ce n’est pas toujours l’homme qui rend la femme malheureuse.
Evidemment si on s’en tient au sens strict au mot « battu », on imagine difficilement un homme battu, sauf énorme différence decorpulence ou des force, ou avec l’aide de l’amant de sa femme peut-être ou du frère de sa femme.
Néanmoins si j’étais juré d’assises, je crois qu’a priori je ne ferais pas condamner un homme compagnon d’un femme non violente en gestes mais, ne voulant pas la quitter par attachement ou ne pouvant pas la quitter financièrement, qui, au bout de nombreuses années, n’a plus supporté toutes les déceptions que lui a occasionnées sa compagne et qui, dans l’exaspération d’une dispute de plus, l’a battue plus ou moins fort, voire dans un cas extrême, l’a tuée en la jetant plus ou moins involontaire sur un coin d’armoire ou même avec une arme
Ce n’est pas toujours l’homme qui rend la femme malheureuse.
Bonjour Sophy,
je ne pense pas qu’un homme demande à être protégé de sa compagne, ou alors dans de très rares cas.
En revanche, dans un même foyer, la situation peut être particulirèment génante, surtout s’il y a des enfants.
Je ne vous parle pas du jaf!
Voici un autre témoignage glané sur le site sos homme battu
« Bonjour
Je m’appelle Michel (*) j’ai subis pendant plusieurs annees du harcelement moral continuel de la part de mon ex compagne, qui est tres manipulatrice et perverse mais cela c’est revele uniquement apres la naissance de notre petit garcon.
Avec mon ex compagne nous avons eus une autre enfant, mais mon ex compagne s’est dechainee et est devenue extremement agressive envers moi y compris lors de sa grossesse ou elle m’insultait des que je rentrait a la maison a t’elle point que j’en avais la peur au ventre. et alors que je lui parlais calmement elle m’a saute au cou et a tenter de m’etrangler.
j’ai depose ma plainte m’ai j’ai fait la betise de la retirer car a l’epoque elle allaitait notre bebe .
depuis elle a eus de nombreuses crises d’hysteries j’ai enregistre plusieurs de ses crises sur clefs MP3, j’ai essaye de la faire hospitaliser mais je n’y suis pas parvenu. ainsi elle m’insultait sans discontinuer le soir lorsque j’arrivais de mon travail vers 18:00 jusqu’a 1:00 voire 2:00 du matin sans raison et bien évidemment j’evitais a tous prix de lui repondre. la seule chose que je faisais c’etait de proteger mes enfants et de me proteger.
j’ai ecrit plusieurs fois au procureur de la republique, j’ai depose plusieurs mains courantes et plaintes.
nous nous sommes separes, je n’habite plus avec elle depuis un peu plus d’un an.
j’avais saisi le JAF mais mon ex a saisi le JAF quelques heures avant moi.
j’ai eus pas mal de temoignages mais le juge n’en a pas tenu compte et a prefere s’appuyer sur ceux de madame la presentant comme une bonne mere, ainsi que sur l’expertise psychiatrique que j’avais reclame et qui totalement edulcore le comportement de mon expliquant son attitude par une depression et m’accusant de denigrer la mere de mes enfants devant eux, ce qui est bien entendu faux.
elle a obtenu la garde des enfants et la residence meme si j’ai un droit de garde de 5 jours tous les 15 jours et la moitie de des vacances avec bien entendu une pension alimentaire.
heureusement, la semaine apres le prononce du jugement mon ex etait interpellee par la brigade protection des mineurs. puis par le juge des enfants. depuis il y aune mesure de protection des enfants : AEMO.
Le juge essaie de retourner la situation contre moi en disant qu’il n’existe aucun element probant de maltraitance de mes enfants.
j’ai egalement fait appel de la plainte que j’avais retiree concernant sa tentative de strangulation.
j’en ai un peu marre de savoir que ,la parole d’un homme et d’un pere n’a aucune valeur a l’oreille de la justice, c’est une justice a deux vitesses et pas equitable du tout et surtout qui met en danger l’equilibre des enfants.
(*) le prénom a été changé »
[b]Blaise,[/b]
Encore une fois je constate, dans l’exemple de « michel », que ce ne sont pas les « hommes qui trinquent, mais les enfants déchirés entre deux parents qui font scène sur scène, devant eux de préférences osant même parfois les prendre à témoins
Pitié pour EUX, Homme ou Femmes, vous êtes de adultes consentants ou pas, eux vos enfants, n’oublieront pas et quand il seront devenus eux aussi des adultes risquent fort d’avoir le même comportement que vous!!
Eh bien Sophy,
même article, d’autres commentaires, pour une fois je vais peut-être y répondre, car cela me touche :
« * @ l’auteur
c’est bien de rétablir l’équilibre…. la violence et l’agression ne sont
pas que des phénomènes essentiellement masculins !
j’ai un copain…. bien que… en instance de divorce, subit toujours et
quotidiennement les agressions de sa femme.
Pour sa part…. ayant eu une enfance difficile…son père étant mort
avant sa naissance, et ensuite un remariage de sa mère des plus
désastreux….. il voulait conjurer le » mauvais sort » et fonder une
vraie famille, il a eu 2 enfants qu’ils voulaient à tout prix équilibrés et
heureux…. tout ce que lui n’avait pas eu !
C’était sans compter sur son épouse qui avait trouvé son talon d’Achille
et l’a exploité à outrance….. elle a fait de lui…. une espèce
d’esclave…. le rabaissant à chaque fois que l’occasion se présentait.
Je n’ai vu cette mégère qu’une seule fois….. mais c’était si
impressionnant cette violence qu’elle avait à fleur de peau…. cette
emprise qu’elle avait sur lui…. devant elle….il était un autre….
terrorisé !
La violence est un rapport de force mental…. dans un couple, si celui ou
celle qui la subit la laisse perdurer, c’est bien souvent parce qu’il ou
elle croit à tort …. qu’en agissant ainsi…. il pourront préserver leurs
enfants ! »
Et encore un autre :
« Vous est-il venu à l’esprit qu’un homme battu est un homme qui a le
COURAGE de ne pas se défendre pour ne pas faire des orphelins de mère ? Que
la maîtrise de soi est une des composantes de la virilité ? ( « Je suis
maître de moi comme de l’Univers » )
Qu’un homme battu peut avoir le bon sens de ne pas souhaiter pour ses
enfants un père en prison et une mère au cimetière ?
Nous sommes très loin du pauvre type ou de la tapette…
J’ai connu plusieurs hommes battus dont un ceinture noire de judo, fils de
colonel, ayant suivi un entrainement de commando.
Ces messieurs préféraient subir des assauts porcelainiers et cristalliers
( facture salée ! ) plutôt que de porter la main sur la mère de leurs
enfants. Il étaient naturellement capables de maîtriser leur « douce »
moitié mais avaient moins de chance pour intercepter les tirs
balistiques… Il y a eu des divorces.
C’est un des aspects des hommes battus. »
Je suis très heureux d’avoir écrit cet article, car je pense qu’il est utile et nécessaire de lever le voile sur ce tabou.
Même si je comprends votre réaction.
Il est quand même plus facile pour nous qui n’avons pas ce problème d’en parler comme cela je pense.
Bien à vous
« on imagine difficilement un homme battu sauf [b]énorme[/b] différence de corpulence ou de force » ? pourquoi pas? c’est étonnant comme réflexion! il ne me semble pas que toutes les femmes soient de faible gabarit avec un conjoint baraqué! loin s’en faut! J’ai quelques amis garçons qui ne sont guère plus grand que moi (moins d’1,70m), et sans doute, j’aurais facile de leur en mettre une sans qu’ils n’osent (ou puissent) me la rendre… Et pourtant de par le sens qu’ils ont donnés à leur vie, je les considére bien comme des hommes et me garderait bien de les juger « lâches ». [b]Ce ne sont pas des brutes tout simplement. [/b]
A chacune de voir ce que SOPHY, par exemple, appelle un « mec »!
Autant pour une femme, cela ne doit pas être facile d’avouer à sa famille ou ses amis – encore quand elle est crue ! – pour un homme, il est certain, que cela doit être encore plus pénible et mal perçu !
La vie dans de telles conditions ne peut que conduire à une détresse psychologique plus grave encore que les coups reçus.
Effrayant ce témoignage sur un des liens: cette femme qui « fesse » son conjoint parce qu’il regarde de jolies filles dans la rue ou seulement à la télé, et puis la situation qui se dégrade avec accroissement des coups…. (des jeux de gamins-amoureux devenus jeux interdits ?)
On retrouve exactement les mêmes témoignages que chez les femmes battues (processus qui part d’une jalousie maladive et/ou d’un besoin de domination malsain…):'(
[b]Donc oui! même combat contre la violence physique, quelqu’elle soit et d’où qu’elle vienne.[/b]
Dans l’étude américaine citée par Blaise, on lit:
« Les raisons principales en étaient :
– mon compagnon ne répond pas à mes besoins
– je le fais pour qu’il fasse plus attention à moi
– mon compagnon me m’écoute pas »
Si l’on doit se prendre un pain chaque fois que l’on regarde Georges CLOONEY ou en coller une à notre chéri dès qu’il détaille Angelina JOLIE au lieu de « faire attention à nous » et « de nous écouter »…. où va-t-on!! 😀
Mais c’est vrai que quand quelqu’un ne nous écoute pas, lui en coller une bonne, ça débouche les oreilles… pffff! 😀
Gros problèmes de communications tout ça – on vous l’a déjà répêté Messieurs (et Mesdames): il faut parler!
Et puis, calmer sa pas si douce moitié ne doit pas forcément et systèmatiquement conduire à faire des orphelins de mère… il y a peut-être une juste mesure! Du style, lui envoyer un seau d’eau glacée à travers la figure…
ENFIN, ce que j’en dis…. n’ai pas testé!!! 😀 😀
Mais pourquoi passer à l’agression physique ? :'(
[b] il ne serait sans doute pas anodin d’écrire au député en charge de la mission d’évaluation (son adresse : [email protected] )[b]
Ce 14 avril 2009 à DOLE dans le Jura avait lieu un colloque en direction des élus pour qu’ils prennent conscience de leur moyen d’action.
1 femme meurt tous les deux jours sous les coups de son compagnon.
Voir la vidéo dans le JT de france 3 (avancer la vidéo jusqu’à 10:10)
[url]http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=c25a_1214part1&video_number=2[/url]
Bien cordialement
Merci River, je le redis :
J’apprécie votre humour, votre finesse, ainsi que les éléments que vous savez toujours apporter.
Bien à vous
Mouais! surtout que le lien pour la vidéo n’est pas très efficace. Il faut prendre l’édition du JT régional [b]du 15 avril![/b]
(ah! la technique!! …. mais vous pouvez regarder tout le JT: patron voyou, [b]procès des deux bisontines arrêtées en République Dominicaine![/b],! la liste EUROPE ECOLOGIE en meeting a BESANCON avec Daniel COHN BENDIT,….)
Pour DOLE et l’article sur les violences aux femmes, c’est à [b]10:06[/b] : explication aux élus que les violences faites aux femmes sont aussi leur affaire (mais, ok, valable également pour les hommes…)
[url]http://forum.aufeminin.com/forum/divenfants/__f17295_divenfants-Terrible-histoire-encore-cry.html[/url]
descendre jusqu’à la date du 12 avril 2009, pour un témoignage « Ils ne pleurnichent pas comme vous écrivez »:
« Les femmes violentes ne peuvent que nuire à l’ensemble des femmes parce que l’on est tenté de ne plus croire celles qui se plaignent puisqu’il y a beaucoup de mesonges autour de cela. Vous devriez commencer par faire le ménage entre le vrai et le faux et lutter contre la violence quelqu’en soit l’auteur. Notre société s’en porterait mieux. »
@ ++
Oui River,
Je pense que la personne violente est d’abord mal équilibrée. en effet, homme ou femme, cela ne change rien.
Cela doit être difficile de se faire un vrai jugement face à une personne qui manipule son monde!
Sur un autre fil, un homme raconte comment sa femme, qui le battait, l’a accusé de tous les maux, jusqu’aux pire! Il a été lavé de tout soupçon, elle n’a pas pu tenir son mensonge jusqu’au bout, elle a été démasqué. Mais combien réussissent?
Du côté des homme,s je ne vois pas pourquoi le mensonge ne serait pas aussi fréquent!
Le commentaire que reproduisez est tout à fait juste!
A bientôt!
Dans certains pays nordiques en pointe dans le social des avocates se sont spécialisées dans ce domaine. Les fausses accusations afin d’éloigner les enfants de leur père.
En effet un jeune enfant oublie relativement vite le parent qu’il ne voit pas. Il est facile pendant ce temps de fabriquer artificiellement des souvenirs à cet enfant.
soyons réaliste
je suis 1 homme, mais soyons réaliste la violence conjugale est baucoup plus grave quand ce sont les hommes qui sont violent!!! le nombre de tué par violence conjugale est quand même baucoup plus élevé chez la femme! et très souvent ces hommes soummis quand il pètent une durite à tord ou a raison ça ce termine très mal pour la femme.j’ai connu 1 homme soummi qui a tué ça femme et ces enfants il ses suicidé après.. Alors 1 conseil aux femmes violentes avec leur mari n’imitez surtout pas la violence des hommes!! parce que si vous faitent sortir le démond enfouit vous n’aurai peut être pas le temps d’appeler la police…
Très intéressant !
:)J’ai vu par hasard votre article…Je me rappelle que vous aviez réagi au mien ( marre des violences faites aux femmes ), vous disiez vouloir écrire sur ce sujet et je vous y ai encouragé…Bravo ! Je connaissais ce phénomène mais suis surprise de son ampleur ! Il faut parler de toutes les violences pour briser les tabous ! Bonne soirée !
Bonjour Zapi!
Je suis content de vous lire sous cet article. Oui, je crois que les deux actions doivent se rejoindre.
Très bientôt du nouveau sur ce sujet.
A bientôt
sergioreprezente bonjour
vous ne parlez que de la violence physique mais est ce toujours la plus grave.
Blaise en vacances, j’ai pensé à votre article.
Pour avoir une idée de la condition masculine, il suffirait peut être d’interroger des personnes (jeunes adultes) pour connaitre la façon dont leurs parents se comportaient ou se comportent (encore) l’un envers l’autre.
Cela nous donnerait peut être un état des violences faites aux hommes.
la violence morale
c’est vrai qu’il y a la violence morale, mais la femme n’a pas le monopole de la violence morale
celle de la femme n’est pas forcement pire que celle de l’homme, j’ai connu baucoup de femmes dans ma vie j’ai été élevé par une femme et j’ai 3 soeurs et bien 2 de mes soeurs on déjas été battus par leur mari je suis 1 coureur de jupon et jamais 1 seul fois 1 femme ne m’a jifflé ou ne m’a fait de chantage!! selon mes propres expériences les femmes fatals il n’y en a pas tant ke ca!! je ne dit pas que ca n’existe pas mais qu’il faut quand même ce méfier de la soumission de l’homme poussé à bout qui va tenir la tête de ca femme et le fracasser contre le mur par 1 exè de colère. La différence c ke l’homme quand il a disjoncté les dégas peuvent être considérable!!!
Y’a « hommes battus » et « hommes battus » !
[img]http://clerc.blog.mongenie.com/doc/usr/e/0/M/814199.jpg[/img]
[img]http://clerc.blog.mongenie.com/doc/usr/e/0/M/814199-2.jpg[/img]
Sorry, voici les légendes
1°) C’est drôle cette nuit, j’ai rêvé que je boxais pour le titre des demi-lourds.
2°) Voilà qu’il s’est mis dans la tête d’obtenir son indépendance!
Bonjour à tous,
Je viens d’écouter cette chanson (c’est très fort) (désolée je ne prends pas le temps de mettre les vidéos)
[url]http://www.youtube.com/watch?v=cMUpB_3Jdqk[/url]
Bien sûr, pour rester dans le sujet de l’article de BLAISE, ce morceau est pour toutes les femmes battues, et aussi les hommes battus, et CONTRE la violence.
[i]Car c’est pour le meilleur et pour le pire….[/i]
Bien cordialement
[b]RIVER
En toute confiance, j’installe cette vidéo, je l’écouterai lorsqu’elle sera installée :
Puisse-t-elle faire revenir l’auteur de cet article sur son texte!!
Là, j’en doutes, mais bon……[/b]
{youtube}cMUpB_3Jdqk{/youtube}
[b]Terrible, cette chanson, enfin ce texte je vais enregistrer le lien au cas ou ???
BRAVO, RIVER
Sophy[/b]
Que les choses soient claires : 10% de personnes victimes de violences conjugales ne signifie pas 10% de personnes battues. Les violences physiques sont une part minoritaires des violences conjugales, qui sont essentiellement d’ordre psychologique (insultes, chantage, dénigrement, etc.)
Dommage qu’il y ait toujours cette imprécision.
J’ai entendu aussi (centre d’accueil SOS-Femmes) que 98% des victimes sont des femmes. Il s’agit bien sûr des appels à ce centre, dédié aux femmes. Que les hommes victimes n’appelleront pas.
Merci pour cet article,
notre pays a bien besoin d’être informé sur le sujet…voir formé.
Bonsoir,
je viens de lire l’article de Fata: [url]http://www.come4news.com/lhomme-est-un-loup-pour-la-femme-462059#pc_99162[/url]
j’en profite pour faire le tour des rédacteurs les plus « en vue ». Beaucoup à lire ici, très intéressant.
Vaste juste que la violence humaine. Un article utile certainement.
Terrible cette vidéo en commun par River et SOphy
Bravo!
« LES-HOMMES BATTUENT-j’en connais…les hommes subissent plus le cocufiages ce qui est une realiter de l’evolutions des moeurs les femmes sont devenuent plus masculines…
On entend partout, dans les médias, les Radios les Télé,… des campagnes de sensibilisations sur la violence conjugale commise par les hommes. On n’entend aussi que les plaintes des femmes battues. Mais jamais l’on entend quoi que ce soit au sujet de la violence faite aux hommes, mais aussi aux enfants e »t aux personnes âgées, où les femmes battent tous les records de violences !
L’auteur de cet article mentionne « Au Québec, en Allemagne et en Suisses, des centres existent déjà pour accueillir les hommes battus, mais pas en France. », ce qui n’est pas exact pour le Québec, comme en Belgique (en Allemagne et en Suisse, je l’ignore). Au Québec il n’y a aucune structure d’aides aux hommes battus. En Belgique il existe bien des Maison d’Accueil pour hommes en difficultés, mais ces structures n’apportent aucune aide aux hommes ayant subi des violences. Dans ces structures, il n’y a pas de psychologue, ni de juriste, contrairement où dans les Maison d’accueil pour femmes en difficultés (appelées abusivement « Maison pour femmes battues » où les accueillies bénéficient à la fois d’une psychologue, d’une juriste et d’une assistante sociale, lesquelles – systématiquement — conseillent les femmes de porter plainte contre leurs compagnons afin de demander la séparation et le divorce… avec tous les avantages compris : Bénéfice du logement et de tout son contenu ainsi que des pensions alimentaires généreusement bénéfiques pour elles mêmes.
La judiciarisation des problèmes de couples occasionne des dommages collatéraux considérables sur la santé et surtout sur la santé des enfants. Il y existe d’autres moyens plus pacifiques, plus économique et plus efficaces.
En effet, en privilégiant la médiation familiale, dans une dynamique de déjudiciarisation, on arriverait à la pacification des conflits.
L’on peut déjà éviter les conflits, donc la justice, et les frais exorbitants de procédures, en appliquant simplement la loi sur l’hébergement égalitaire !
De plus, l’application, par les appareils judiciaires, de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE), l’application de la loi sur l’hébergement égalitaire, le recours à la Médiation Familiale conventionnelle hors champs et marchés judiciaires, conformément à la directive du Conseil de l’Europe datant de 1992, la déjudiciarisation des relations familiales conflictuelles, la pacification des relations parents enfants, le soutien de la parentalité, et de la coresponsabilité parentale permettrait, par exemple, à l’État Québécois d’économiser entre 330 millions et 1 milliard de $ chaque année !!!…
On se demande pour quelles raisons l’on ne choisit que la « justice » pour les problèmes de conflits ? L’une des raisons est bien simple à comprendre : faire autrement, serait alors retirer la croûte de pain de la bouche de ces avocats divorcistes… qui s’en mettent plein les poches et qui encombrent les cours des tribunaux des familles avec leurs dossiers conflictualisés de séparations / divorces conflictuels, leurs dossiers de pensions alimentaires, et autres conflits qui n’en finissent plus… jusqu’à durer des décennies…
Stop à l’industrie des conflits familiaux et parentaux !!!
Notre association organise son premier colloque sur le thème « couples : hommes victimes, femmes violentes » le 22 octobre 2011 à Montrouge (92)
Infos et inscription sur notre site http://soshommesbattus.over-blog.com