De plus en plus de voix scientifiques s'élèvent contre les conclusions du GIEC, en utilisant les mêmes documents que ceux qui veulent rendre l'homme à tout prix responsable du réchauffement climatique, dont la corrélation entre les fameuses courbes de température et celles de quantités de CO2 présentes dans l'atmosphère… mais sans jamais préciser que si la quantité de CO2 varie avec la température, c'est avec un retard d'environ huit siècles !
Ce retard serait expliqué par l'action des premiers producteurs de CO2 de la planète, c'est-à-dire des océans, puisque plus les eaux d'un océan seront chaudes, plus celui-ci "libérera " de CO2. Or, comme les océans représentent d'énormes masses d'eau, il faut environ 800 ans pour que celles-ci se réchauffent et rejettent donc le fameux CO2. Ainsi, si les membres du GIEC utilisent bien les graphiques montrant que la courbe de production de CO2 suit l'augmentation de température, ils inverseraient la relation de cause à effet. Un peu comme si l'on accusait la fumée d'avoir provoqué l'incendie.
Pour répondre à ces critiques, les membres du GIEC – qui ne nient pas ce décalage de huit cents ans entre les deux courbes – arguent que les courbes sont imprécises et qu'il y a une marge d'erreur d'environ 1000 ans. Je veux bien l'admettre, mais dans ce cas personne ne pourrait affirmer si le CO2 provoque ou est la conséquence du réchauffement climatique, et ces courbes ne peuvent servir d'arguments ni aux tenants d'une théorie, ni à leurs adversaires. Et pourquoi accuser l'homme alors, qu'au pire, il serait actuellement responsable de 3 % des émissions de CO2 ?
De plus, tout le monde sait que le premier gaz à effet de serre est la vapeur d'eau, et là encore on imagine aisément l'importance des océans dans la production de ce gaz ainsi que la relation qui existe entre une augmentation des températures et une augmentation du rejet des vapeurs d'eau. Ainsi, les gaz à effet de serre viendraient renforcer le réchauffement climatique, mais n'en seraient pas la cause.
En conclusion, nous autres les profanes sommes ballottés entre des querelles d'experts, mais la climatologie est une science fort complexe et comme le souligne si bien l'Organisation mondiale de Météorologie : « le problème est débattu, mais aucune certitude n'existe vraiment… »
L’écologie, nouvelle tyrannie avec ses exigences, et ses interdits, son apocalypse aussi.
Et pendant que nous nous préoccupons à tort de savoir si nous allons tous sauter avec la planète, nous ne cherchons à regarder les problèmes tels qu’ils sont…
Bonjour.
C’est vrai qu’il s’agit là d’un sujet a polémique.
D’ailleurs sur mon blog je me suis posé cette question avec pour illustration une petite vidéo qui dit que le soleil est le responsable du réchauffement sans toute fois déresponsabiliser l’homme.
Voici le lien pour ceux qui désirent voire la vidéo.
http://jamservant.blog.mongenie.com/index.php?idblogp=497961
A
xxx
J’ai posté un article similaire il y a quelques jours, avec la vidéo dont parle Jam, et l’on m’a accusé de terrorisme intellectuel. Cette théorie ne sera pas acceptée par les nombreuses personnes sensibles à l’embrigadement médiatique qui accuse le CO2…
Malheureusement, vrai ou faux, les résultats sont là et ne vont faire que s’amplifier…
Joli article au passage.
origines des maux
« Car l’amour de l’argent est une racine de tous les maux »
1ere Epitre de Paul à Timothée ch 6 verse 10 : « La destruction systématique des ressources naturelles de la Terre a atteint un point où la viabilité des économies est en danger, et où la facture que nous laisserons à nos enfants pourrait être impossible à régler » : le constat est posé par Achim Steiner, directeur du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE). Présentant le rapport « GEO 4 – Avenir de l’environnement mondial », le 25 octobre à New York, il a souligné la vigueur du lien entre système économique et dégradation de l’environnement. « GEO 4 », résultat du travail de 1 400 scientifiques et experts, dresse un tableau alarmant de la situation écologique de la planète, mais souligne aussi combien son évolution dépend du choix des politiques économiques.
Vingt ans après le Rapport Brundtlan,d qui, en 1987, avait inventé le concept de développement durable, la majorité des indicateurs sont au rouge : climat (les concentrations de gaz carbonique dans l’atmosphère ont augmenté d’un tiers depuis vingt ans), biodiversité (les populations d’amphibiens ont été divisées par deux dans le même laps de temps), pollutions (celle de l’air est responsable de 500 000 morts par an, selon l’Organisation mondiale de la santé, l’OMS), artificialisation des sols (un étalement urbain « anarchique » en Amérique du Nord), etc…. »
N’importe quoi
Dans l’océan, il y a tout d’abord du plancton végétal, immense producteur d’oxygène. Ensuite, les coraux et les mollusques emprisonnent le CO2 pour en faire du carbonate de calcium qui constitue leur squelette. Ensuite, le CO2 de l’eau est en équilibre avec le CO2 de l’air ( loi de Dalton). Alors dire que l’océan est un producteur de CO2 c’est n’importe quoi !!!
Retournez à vos bouquins Nadinebio
L’erreur de votre commentaire est telle, qu’elle me force à venir vous répondre avant que ne le fasse mes collègues. La réaction que vous tentez maladroitement de décrire :
CO2 CO32- H2O ↔ 2HCO3-
est le processus par lequel les ions carbonates de l’océan capturent le dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Ce principe n’a absolument rien à voir avec la loi de Dalton, vous confondez. Il s’agit plutôt du Principe de Le Châtelier.
Le CO2 se dissout plus facilement dans une eau froide, or plus l’océan a une température chaude, moins il peut contenir du dioxyde de carbone qui retournera donc dans l’atmosphère, augmentant ainsi l’effet de serre.
Depuis quelques années, les scientifiques ont remarqué que l’activité du soleil a augmentée, ce qui provoque un réchauffement, non pas seulement planétaire, mais dans tout le système solaire ( Nox, vous en aviez déjà parlé n’est-ce pas ?). En augmentant la température des océans, par son activité accrue, le soleil empêche la dissolution du CO2 dans ceux-ci. Ce qui provoque le principe que je vous ai décrit plus haut.
Nul ne peut s’octroyer la prétention de dire comprendre ce qui se passe vraiment avec notre climat. Mais de grâce, ayons la décence d’écouter la contrepartie de la secte des apôtres de Kyoto (et de leur Dieu Al Gore) qui clament en faveur des accords climatiques mondiaux, sans en connaître tous les tenants et aboutissants. Parler contre Kyoto semble être devenu aussi tabou, dans la communauté scientifique, que ne l’était le fait de parler contre Dieu au Moyen-âge.
Dans kangourou il y a gourou….
Les pets écologiques des kangourous intéressent de plus en plus les scientifiques. En Australie, certains essaient de transplanter une bactérie propre aux kangourous dans l’estomac des moutons et des bovins afin que leurs flatulences ne contiennent plus de méthane. Un gaz qui favorise le réchauffement climatique.
Grâce à cette bactérie, les gaz des kangourous ne contiennent pas de méthane, à l’inverse des vaches et des moutons dont les flatulences peuvent représenter un fort pourcentage du volume total des émissions de gaz à effet de serre. « 14% des émissions de toutes origines en Australie proviennent des entrailles des bovins et des ovins », a affirmé jeudi Athol Klieve, un scientifique travaillant au sein d’un programme mis en place par le gouvernement de l’Etat du Queensland (nord-est). « Et si vous prenez le cas d’autres pays, comme la Nouvelle-Zélande où l’élevage est plus développé, le niveau atteint environ 50% », a-t-il déclaré à l’AFP.
Les chercheurs ont également affirmé que cette bactérie permettait une digestion des aliments plus efficace et pourrait potentiellement entraîner une économie de plusieurs millions de dollars en coût alimentaire pour les éleveurs. « Non seulement, les animaux n’émettront plus de méthane, mais en plus ils tireront 10 à 15% d’énergie supplémentaire de ce qu’ils mangent », a déclaré Athol Klieve. Mais les travaux n’en sont qu’à leurs balbutiements : l’isolement de cette bactérie devrait prendre environ trois ans avant de pouvoir commencer à élaborer une technique pour la transplanter chez les vaches et les moutons.
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