Voici les documents que j'ai reçus, précédés de l'introduction que j'ai écrite sur mon blog…Il manque des documents que j'ai mis en commentaires, sur mon blog, faute de place….http://r-sistons.over-blog.com

http://aspeta.blogspot.com

" L’accroissement incontrôlé de la population mondale peut très vite provoquer l’anéantissement de l’ensemble de l’humanité, mais la solution imaginée par " Big Brother " est certainement pire que le mal "

Comme je vous l'ai dit, je travaille beaucoup plusieurs sujets d'importance majeure; je vous avais annoncé, notamment, un " Rockefeller and Co, fossoyeurs de l'humanité "; j'allais aborder plusieurs thèmes, dont je vous ai entretenu ici ou là, comme l'eugénisme (vaccins qui stérilisent, par exemple, guerres de "civilisation" ou préventives, Monsanto conduisant à la ruine des centaines de milliers de paysans du Tiers Monde…). Et par exemple, j'ai esquissé la question dans certains chapitres : "Guerres d'extermination pour le confort d'une minorité"… etc

J'improvise cette publication après avoir reçu de nouveaux documents, je vous les joins en vous incitant à regarder ma dernière publication : La menace américaine…

L'heure est très grave. Je suis d'accord avec l'analyse ( en jaune pâle ) qui est faite de la situation : Et de la même façon, je souscris à la conclusion ( je surligne en jaune plus foncé ) : Lorsqu'on sait, comme je vous l'ai par exemple annoncé, que Rockefeller et d'autres n'hésitent pas à dire qu'il y a 95 % de l'humanité en trop, il reste une seule solution, en effet :

Faire circuler l'information au maximum, de sorte que nous puissions empêcher l'holocauste de l'humanité qui se prépare, et dont les apprentis-sorciers se préserveront dans une structure comme celle dont je vous ai dit deux mots, l' Arche de Zoé ou de Noé, comme vous voulez, en Norvège. Avec de quoi reconstituer une terre nouvelle, en particulier grâce aux semences préservées.

 


Voici ce que je viens de recevoir, en l'absence d'une autorisation, je ne citerai pas la source. Je prends l'initiative d'informer au moment où j'allais me coucher. L'heure est trop grave.

Ce n'est pas de la science-fiction. Tout va dans le même sens.

Il nous reste quelques mois pour agir. En octobre au plus tard, l'apocalypse sera déclenchée, et la France, avec un Président formé par les Américains et travaillant à leur service, sera aux premières loges. Au centre du conflit, si vous préférez.

Faisons circuler l'information, et empêchons les fous qui gouvernent le monde de mettre leurs projets machiavéliques à exécution !
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Voici la suite d’un essai personnel, suite au recoupement d’un certain nombre d’informations, dont beaucoup sont avérées et d’autres plus sujettes à caution, mais qui vont dans le sens de l’analyse suivante :

– Les néoconservateurs US ont depuis longtemps programmé une intervention musclée contre l’Iran, notamment, et probablement nucléaire.

– Ce qu’il faut bien appeler une guerre, devrait donc se déclancher en 2008, avant le départ de l’équipe en place à Washington, obligeant ainsi son (ou sa) successeur, à gérer l’affaire.

– Les conséquences seraient tellement énormes, qu’il n’est pas invraisemblable d’imaginer un embrasement généralisé.

 

Embrasement qu’il faudrait bien appeler 3e guerre mondiale.

Notamment, une confrontation « organisée » avec la Chine, n’est pas totalement à éliminer.

– Avec un président formé par les USA et aux ordres des néoconservateurs, cela placerait alors la France au cœur du conflit, ce que nous avons toujours craint et dénoncé.

– Ces événements pourraient bien entrer dans le cadre des projets secrets de réduction drastique de la population mondiale.

– Mettre cela sur la place publique ne serait-il pas le meilleur moyen pour tenter de neutraliser ces funestes projets ? S’il reste du temps aux infos, après les sujets amuses-cons habituels…

 

Ci-dessous, des éléments pour étayer cette analyse :

 

 

Rappel des premiers éléments déjà donnés (nouveaux éléments page 9)

Eugénisme et programmes de stérilisations forcées
FMI, Banque Mondiale, ONU et Usaid

Source: Article par Françoise Barthélemy du Monde Diplomatique de mai 2004 (pages 14 et 15)
http://www.monde-diplomatique.fr/2004/05/BARTHELEMY/11190

 

Au Pérou, le scandale majeur de l'administration de l’ancien président Alberto Fujimori demeure totalement occulté tant au Pérou qu’à l’étranger : une politique eugéniste qui a provoqué la stérilisation forcée de plus de 300 000 femmes.

Sous prétexte de les vacciner, on les met en salle d’opération. On les anesthésie. Elles ressortent, une par une, sonnées avec une opération du ventre. Plus tard, elles comprennent – choc terrible – qu’elles ont été stérilisées, qu’elles n’auront plus jamais d’enfants.

En juillet 2002, les enquêteurs nommés par le ministère de la santé Péruvien (Minsa) rendent public un « Rapport final » gros de 137 pages d’où il ressort que, entre 1995 et 2000, 331 600 femmes ont été stérilisées, tandis que 25 590 hommes subissaient une vasectomie. « Ces personnes ont été captées, souligne le rapport, soit à force de pressions, de chantages et de menaces, soit en se voyant offrir des aliments, sans qu’elles aient été dûment informées, ce qui les a empêchées de prendre leur décision en réelle connaissance de cause. »

 

Un an plus tard, ces données sont rassemblées dans un livre percutant, associé à un document vidéo, Nada personal (Rien de personnel). Il contient une révélation dramatique : ce qui apparaissait au début, de la part du gouvernement, comme des « objectifs à atteindre » en matière de stérilisations s’est vite transformé en « quotas à remplir », de manière obligatoire, par chaque professionnel et chaque établissement de santé. De bonnes performances entraînent des récompenses. Les mauvaises, des châtiments. Nada personal se réfère à une politique d’Etat froidement établie et vaudra à son auteur menaces et intimidations.

M. Juan Manuel Guillén a occupé la fonction de maire de la ville d'Arequipa jusqu’en 2003. Ses vigoureuses protestations ont obligé l’actuel président, M. Alejandro Toledo, à renoncer à privatiser deux sociétés d’électricité. « Il existe à mes yeux une relation étroite entre la politique néolibérale imposée au Pérou par le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale, et le plan de planification familiale manigancé par Fujimori, soutient-il. En échange de crédits et d’une renégociation de la dette, le FMI a exigé les privatisations – y compris dans le secteur de la santé – et l’ouverture au capital étranger, mais aussi un contrôle de la croissance démographique. Les secteurs pauvres, voire très pauvres, potentiellement "dangereux", sont visés.

 

Cela a violé les droits individuels, les droits des familles, et plus largement les principes éthiques sur lesquels devrait reposer la société. »

Qui a financé ces projets ? L’Agence américaine pour le développement international (Usaid) sera la principale source d’assistance technique et financière, en apportant une contribution de 36 millions de dollars, sept fois plus importante que le second donateur, le Fonds de population des Nations unies (UNFPA). L’Usaid a reçu le feu vert du Congrès américain à majorité républicaine et théoriquement hostile aux programmes de contrôle des naissances. On relève aussi l’apport d’environ 2 millions de dollars de la Nippon Zaidan (Fondation Japon).

Diverses organisations non gouvernementales (ONG), telles que l’américaine Pathfinder, reçoivent de l’argent, ainsi que l’organisation féministe péruvienne Manuela Ramos.

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18 novembre 2007 Crise au sein de l’état-major interarmes des Etats-Unis :
La Maison-Blanche sacrifiera-t-elle la Ve flotte pour justifier la destruction nucléaire de l’Iran ? par Michael Salla*

 

Le plan d’attaque de l’Iran par les États-Unis prévoit de sacrifier la Cinquième flotte afin de justifier une réplique nucléaire. Il ne s’agit pas là d’un scénario hypothétique, mais d’une option discutée au sein de l’état-major interarmes US. Selon nos informations, l’amiral William Fallon a fait savoir que si un tel ordre était donné, il refuserait de le suivre et présenterait sa démission, ainsi que celle de l’ensemble de l’état-major du Centcom. C’est pour le moment la résistance des officiers supérieurs de la Navy et de l’Army qui ont empêché les néoconservateurs et l’Air Force de lancer les opérations.

La suite ici :
http://www.voltairenet.org/article153012.html#article153012

 

Bush et l'Iran : une « guerre programmée »

Alexandre Sirois

La Presse

La question n'est plus de savoir si les États-Unis attaqueront l'Iran. Il est maintenant plus approprié de se demander: quand les Américains passeront-ils à l'attaque?

C'est ce qu'estime le journaliste français Éric Laurent, qui vient de publier un essai intitulé Bush, l'Iran et la bombe (Plon). Il y prédit l'imminence d'une « guerre programmée » entre Washington et Téhéran.

« Il y a une volonté de la part de l'administration Bush d'intervenir militairement contre l'Iran. Elle considère que le dossier nucléaire iranien est la plus grande menace pour la paix mondiale », dit-il.
« Tout ce qui concerne les frappes potentielles et les moyens militaires à utiliser a déjà été planifié depuis longtemps. Fin 2003 et début 2004, tout a été mis en place par le Pentagone », ajoute le journaliste, rencontré hier à Montréal.
Éric Laurent, mieux connu pour avoir exposé «le monde secret des Bush» dans un essai précédent, a cette fois décidé de se pencher sur les intentions de l'actuel président américain et de sa garde rapprochée dans le dossier iranien.
Il explique que les néo-conservateurs qui ont tant inspiré George W. Bush ces dernières années préparaient, en même temps que la guerre contre l'Irak, celle contre l'Iran.

Et ce qui est loin d'être rassurant, c'est que ces stratèges semblent avoir commis les mêmes erreurs dans le dossier iranien que dans le dossier irakien. « Les services de renseignement américain sont d'un flou absolu et ont une méconnaissance totale des réalités iraniennes, dit-il. Notamment de l'ampleur du danger nucléaire iranien. »

La boîte de Pandore
Ce qui n'a pas empêché l'administration Bush de planifier une attaque contre le régime des mollahs dans les moindres détails. De décider, par exemple, qu'elle pourrait utiliser des armes nucléaires tactiques. Le meilleur moyen de détruire des installations profondément enfouies sous terre par les autorités iraniennes.
« Ce serait tout un symbole. Un interdit qui serait levé. La première fois depuis Hiroshima qu'on banaliserait l'utilisation de l'arme nucléaire. La boîte de Pandore serait ouverte », prévient le journaliste.

Éric Laurent s'est servi du travail de plusieurs reporters américains bien informés pour son essai. On n'y trouvera donc bien peu de matériel original quant à la nature de la préparation d'une intervention militaire américaine contre l'Iran.
Sa force est plutôt de mettre tous ces renseignements en contexte, entre autres à l'aide de nombreuses entrevues avec des sources – dont il préserve l'anonymat – proches de l'administration et de la famille Bush.

Même les démocrates !

Des contacts obtenus, explique-t-il en entrevue, à la suite d'un séjour d'un an et demi au sein d'un prestigieux institut de recherche à Washington, le Woodrow Wilson Center, au milieu des années 80.
Contacts qui, jumelés à sa solide connaissance de l'univers politique américain, lui font dire que si ce n'est pas Bush qui déclenche une série de frappes contre l'Iran, ce sera son successeur. Même s'il est démocrate.
Car un président des États-Unis ou une présidente – précise-t-il en faisant référence à une possible élection d'Hillary Clinton – qui ferait des concessions à l'Iran «perdrait la face».

« Il faudrait des concessions iraniennes. Que les Iraniens se mettent brusquement à changer de cap, à 180 degrés. Et ça me paraît extrêmement improbable, dit-il C'est un dossier extrêmement épineux qui ne pourra pas se résoudre, à mon avis, autrement que par la force. ».

 

 

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17/10/2007 – 21:42 page 3
Bush évoque une 3ième guerre mondiale
« Si l'Iran parvenait à acquérir l'arme nucléaire, le monde serait confronté à la menace d'une Troisième Guerre mondiale », a déclaré mercredi 17 octobre 2007, le président US George Bush (propos confirmés depuis par le vice président Dick Cheney).
La veille, Vladimir Poutine a affirmé à Téhéran que Moscou n'accepterait aucune attaque contre la république islamique…
En savoir plus sur Bush : http://esaie.free.fr:80/niveau1/bush.htm

 

 

Vent de rébellion dans les forces US

La presse anglo-saxonne bruisse de rumeurs selon lesquelles des officiers de l’US Air Force et des services de renseignement se seraient opposés à une tentative de déclencher une guerre contre l’Iran. Si ces imputations ne sont pas vérifiables dans le détail pour le moment, il ne fait aucun doute qu’aux États-Unis un vent de rébellion souffle dans les rangs.

Selon Newsweek et l’analyse de Wayne Madsen dans son Wayne Madsen Report, une forte opposition est née chez des cadres de l’Armée de l’air et des services secrets contre la folie belliciste néo-conservatrice. On peut en conclure qu’une opposition interne a empêché jusqu’à présent que l’administration Bush et le vice-président Dick Cheney en particulier ne commencent une guerre nucléaire au Proche-Orient. Selon ces informations, différents événements récents sont étroitement liés : l’étrange attaque d’Israël contre une prétendue installation nucléaire syrienne, le vol d’un B-52 armé de bombes nucléaires du Dakota du Nord vers la Louisiane et la menace de guerre du ministre des Affaires étrangères français Bernard Kouchner sur laquelle il est revenu plus tard.
Le bombardier B-52 et ses 6 bombes nucléaires

Wayne Madsen avait appris par des membres des services secrets états-uniens et étrangers que le bombardier B-52 qui avait transporté le 30 août 6 missiles de croisière (Stealth 129 Advanced Cruise Missiles) dont chacun était armé d’une ogive nucléaire W-80-1 était destiné au Proche-Orient, c’est-à-dire à l’Iran. « Des membres de l’Armée de l’air, soutenus par des agents des services secrets états-uniens, ont dévoilé avec succès la vraie destination des armes nucléaires et la mission a échoué grâce à l’opposition interne de l’Armée de l’air et des services secrets US. »

 

Ce que différents médias, comme le Washington Post, décrivaient comme une « défaillance » ou un « effondrement » du système de commande et de contrôle nucléaire d’une ampleur inouïe, était, selon Madsen « le résultat d’une rébellion de différents membres de l’Armée de l’air et des services secrets contre l’attaque états-unienne de l’Iran dans laquelle il était prévu d’utiliser des armes nucléaires et des armes classiques. » David Wurmser, conseiller pour le Proche- Orient de Dick Cheney, qui a démissionné récemment, avait, selon Newsweek, déclaré il y a quelques mois devant un groupe de conseillers que Cheney songeait à inciter Israël à attaquer les installations nucléaires iraniennes de Natanz avec des missiles.

 

Les représailles de l’Iran auraient fourni aux États-Unis des raisons suffisantes pour attaquer massivement l’Iran. « Cependant les plans d’attaque directe d’Israël contre l’Iran ont été modifiés au profit de l’attaque d’une prétendue installation nucléaire syro-irano-nord-coréenne dans le nord de la Syrie. » (Madsen) Une autre source fournit une explication possible de ce changement : L’attaque de l’armée israélienne aurait servi avant tout à tester le système antimissile de la Syrie qui lui a été fourni par la Russie. Apparemment, les chasseurs israéliens n’ont pas réussi à déjouer le système : le radar les ayant repérés, ils ont dû rebrousser chemin rapidement.

Le Project Checkmate
Dans le Times de Londres, l’analyste militaire Eric Margolis a montré que le Project Checkmate (Projet Echec et mat) élaboré par deux douzaines d’officiers de l’Armée de l’air prévoyait une guerre aérienne contre l’Iran. Selon Madsen, il incluait le contrôle des médias concernant l’Iran, la Syrie et la Corée du Nord. Le Project Checkmate et l’attaque israélienne auraient constitué le cadre d’une attaque préventive états-unienne contre l’Iran. Mais « des membres anonymes de l’Air Force en informèrent le Military Times le 5 septembre, un jour avant l’attaque israélienne contre la prétendue installation nucléaire en Syrie et les attaques simultanées états-uniennes contre l’Iran. » (Madsen) Autrement dit, des officiers de haut rang de l’Armée de l’air et des fonctionnaires des services secrets sont intervenus en coulisses et ont tiré la sonnette d’alarme, s’opposant à une clique de va-t-en-guerre ayant manifestement perdu les pédales.

 

« L’opposition à une attaque est plus consensuelle à Washington que la plupart des gens ne l’imaginent », écrit Newsweek, qui se fonde sur les propos d’agents des services secrets et sur un rapport desdits service, le National Intelligence Estimate, qui paraîtra prochainement. Ce rapport affirme que « l’Iran ne sera pas capable de construire une bombe nucléaire avant 2010 ou 2015 ». Et l’analyste militaire Eric Margolis écrit dans le Times que « des sources proches du gouvernement US font état d’une forte opposition à la guerre parmi les officiers supérieurs du Pentagone, les agents de haut rang de la CIA et des fonctionnaires des ministères des Finances et des Affaires étrangères. » Selon Madsen, outre Dick Cheney, le conseiller à la sécurité nationale Stephen Hadley, des membres de l’équipe du Project Checkmate, le ministre des Affaires étrangères britannique David Miliband, le premier ministre israélien Ehoud Olmert, le chef du Likoud Benjamin Netanyahou et le ministre des Affaires étrangères français Bernard Kouchner étaient au courant.

 

Ce dernier a, selon Madsen, contribué « à aggraver les tensions avec l’Iran en évoquant la possibilité d’une guerre contre l’Iran. Kouchner est revenu sur sa déclaration après que l’exécution du plan états-unien concernant l’Iran eut été empêchée. » Dans ce contexte, il est intéressant de relever la manière dont a été présentée la Résolution de la Conférence générale de l’AIEA, qui demande à Israël de soumettre son programme d’armes nucléaires aux contrôles de l’AIEA qui correspondent à ceux que les États-Unis veulent imposer à l’Iran et à la Corée du Nord. Cette Résolution demande également une zone dénucléarisée dans tout le Proche-Orient. Elle a été acceptée par 53 contre 2 (États-Unis et Israël) et 47 abstentions.

 

En effet, Reuters, Associated Press et l’Agence France Presse ont écrit que c’étaient des États arabes et islamiques qui avaient élaboré le texte. Parmi ceux qui y étaient favorables figuraient aussi la Chine, la Russie, l’Inde, l’Irlande et le Japon tandis que les alliés les plus proches de Washington – la Grande-Bretagne, la France, l’Australie, le Canada et la Géorgie – se sont abstenus. Il s’agissait manifestement de concentrer l’attention sur l’Iran et non sur le programme nucléaire israélien que visait la Résolution.
Traduction Horizons et débats. Source : Réseau Voltaire

 

Un physicien, haut fonctionnaire des Etats-Unis, a utilisé le pseudonyme d'Henry Deacon pour décrire l'incroyable technologie développée dans l'ombre par les "black programs" US.

 

 

Nous proposons un extrait très expurgé de cette interview (sans les parties les plus « choquantes », et avec toutes les réserves d’usage, sur son contenu…

 

Henry Deacon : « Je suis fonctionnaire au sein d'un organisme gouvernemental bien connu dont le sigle se compose de trois lettres… Il se peut que je prenne un certain risque à vous parler, encore que je n'ai pas l'intention de vous communiquer des informations que j'estime classées secrètes ou relevant de la sécurité nationale. J'ai été impliqué dans de nombreux projets, au sein de nombreuses agences différentes et durant plusieurs années. ».

 

Quelle information importante estimez-vous avoir à donner au monde ?

H.D. : « Il y en a tant, je ne sais par où commencer. Par exemple, concernant le 11 septembre, j'étais au courant deux ans avant, pas en détail, mais dans les grandes lignes. On en parlait, il fallait un événement susceptible de changer la donne. Je sais qu'une guerre est prévue pour 2008 entre les États-Unis et la Chine. C'est de la géopolitique et cela n'a rien à voir avec les opérations secrètes [black ops]. Voilà deux sujets dont j'ai eu vent au passage, mais je n'ai pas d'information détaillée. » .

 

Vous voulez dire que les États-Unis et la Chine travaillent à un projet de guerre simulée ?

H.D. : « Le Pentagone s'y est mis dès 1998. Il vous faut savoir que les États-Unis et la Chine sont comme cul et chemise pour pratiquement tout ; cette guerre est une opération conjointe entre eux.

C'est d'ailleurs le cas de la plupart des guerres, et depuis longtemps.

Voulez-vous autre chose d'aussi désagréable à entendre ? J'ai parlé à quelqu'un qui était en service dans une unité d'essais de missiles dans le Pacifique et en Extrême-Orient. Les missiles étaient acheminés vers le site d'essais dans des conteneurs très soigneusement et hermétiquement scellés. Après les essais, les conteneurs étaient renvoyés, toujours aussi bien scellés, mais vides, ou supposés vides. Un jour, mon interlocuteur s'est trouvé près d'un conteneur au moment où il a été ouvert ; il n'était pas vide mais rempli de sacs de poudre blanche. ».

 

De la cocaïne ?

H.D. : « Je vous laisse conclure, mais je ne pense pas que c'était du sucre. Je me contenterais d'émettre, à titre personnel, l'hypothèse que, s'agissant de ce genre d'opération, ce modus operandi serait parfaitement concevable au plan logistique : ce serait la façon la plus sûre de contourner toutes les sécurités, les douanes, les frontières, tous les contrôles portuaires, etc. C'est parfait, de même que les armes et munitions ont toujours passé les frontières par courriers diplomatiques entre consulats. Cela se produit tout le temps. ».

 

Vous considérez-vous comme un physicien ?

H.D. : « Oui, tout en abordant aussi d'autres domaines, je suis spécialiste des systèmes. Je me sens bien à Livermore [Lawrence Livermore National Laboratory], tout le monde ici est très professionnel, on ne perd pas son temps avec des broutilles. ».

Qu'auriez-vous à dire de l'état de la physique au sein du complexe militaro-industriel ?

H.D. : « Ils ont des décennies d'avance sur la physique officielle publiée dans les revues spécialisées et accessibles au public. Certains programmes abordent des sujets qui dépassent ce qui est concevable pour des physiciens classiques ou compatible avec leur expérience et leur imagination… ».

 

Projets de dépeuplement page 5

Qu'avez-vous d'autre à nous raconter ?

H.D. : « Lisez "The Report from Iron Mountain". Il y a beaucoup de vrai là-dedans. En [….] je travaillais dans un groupe ; "ils" nous ont remis un rapport qui, curieusement, ne semblait avoir aucun lien avec nos activités ; c'est arrivé comme ça, personne ne s'y attendait. Je n'oublierai jamais ce que le type nous a dit; cela me semblait vraiment néfaste : « Il y a les loups et il y a les moutons, et nous sommes les loups. » "Ils" nous l'ont fait lire et puis c'est tout. Il n'y avait pas de choix et il n'y en a toujours pas. "Ils" considèrent que nous sommes trop nombreux et, vous savez, au fond "ils" n'ont pas tort. "Ils" cherchent donc des moyens de réduire le nombre ; mais il se trouve que je n'approuve pas leurs méthodes. C'est très simple : il existe des programmes de réduction de la population mondiale pour le bien de tous. Croyez-le ou non, l'intention est positive. Kennedy avait élaboré cela il y longtemps. La RAND Corporation était impliquée ainsi qu'un des Rockefeller…, Lawrence, je crois. ».

En tuant les gens ?

H.D. : « En principe, oui. On a généré des virus artificiels, disséminés de manières diverses, qui sont difficiles à détecter, à identifier et impossibles à soigner. Le personnel médical ne peut comprendre ce qui se passe. ».

 

 

 

 

Mise à jour le 23 mars 2008
Le gouvernement fédéral US aurait plus de 100.000 (?) wagons de transport de prisonniers (en stock ou/et en commande). Voir post précédent

Quel est votre ressenti sur cette question ?

H.D. : « Très partagé. [Pause]. En tant qu'individu humain de chair et d'os, je suis épouvanté. En tant que scientifique entraîné à prendre du recul, à voir les choses d'un point de vue global, je dois avouer que je comprends la démarche logique. Comprenez-moi bien, je ne cherche ni à défendre, ni à ignorer cela ; mon commentaire procède d'un point de vue scientifique abstrait. Nous devons faire face, sur cette planète, à des problèmes si énormes que peu de gens possèdent la formation ou l'expérience permettant d'appréhender l'ensemble dans un même champ de vision.

 

La nature de mon travail m'a offert la chance de voir beaucoup de choses que la plupart des gens ne voient pas.

J'ai travaillé dans de nombreuses agences différentes et cela me donne une vue d'ensemble.

Savez-vous qu'il est légal d'essayer des agents chimiques et biologiques sur des citoyens américains ? C'est légal, il suffit d'obtenir l'approbation du maire d'une ville, ou de son équivalent n'importe où, ou d'un représentant officiel, Personne ne sait cela, mais vous pouvez vérifier. C'est bien caché dans la loi mais c'est du domaine public. ».

 

Quel est le message le plus important que vous aimeriez communiquer à la population ?

H.D. : « Je n'aime choquer personne, mais je ne suis pas optimiste. Les problèmes auxquels notre espèce doit faire face sur cette planète sont gigantesques. Je ne pense pas que la plupart des civils soient prêts et aptes à comprendre ni à en gérer la complexité. Ils ont tous assez de mal à s'occuper de leur vie quotidienne et ceci est d'un tout autre niveau. Le surpeuplement est une affaire très grave et tous les autres problèmes y sont liés. Je comprends que les militaires doivent prendre les choses en main. ».

Pensez-vous qu'une divulgation générale de tous les problèmes et de leurs solutions nous aiderait réellement ?

H.D. : « Probablement non, cela rendrait les choses encore plus compliquées. Cependant, en mon for intérieur, il me semble que les gens devraient au moins savoir ce que je viens de vous dire, sans quoi je ne vous aurais pas accordé cette interview.
Je voudrais terminer sur ce message essentiel : j'espère vraiment et je voudrais croire qu’en tant que peuple humain, nous puissions gérer tout cela, mais en me réveillant le matin, parfois j'en doute. Pourtant, profondément, je souhaite que les gens prennent conscience des choses importantes qui nous ont toujours été dissimulées. ».

Henry Deacon
interviewé par les responsables du Projet Camelot,
Bill Ryan et Kerry Cassidy

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L’IRAN ET LE NUCLEAIRE
Dominique Lorentz est l'auteur de révélations inédites sur la prolifération nucléaire.
Elle nous a fait découvrir que la dissémination des armes atomiques est le fruit d'une stratégie délibérée des grandes puissances visant à armer leurs alliés régionaux.
Cette jeune femme, a découvert des secrets sur la prolifération nucléaire. Or, bien que soutenue par le Colonel Bommier chargé d'étudier la contre-prolifération nucléaire, et de Généraux de l'armée, "on" lui a interdit de poursuivre son travail avec lui, pour avoir expliqué comment le nucléaire à précisément proliféré.
Contrairement à la légende, la France n'a pas trouvé seule les secrets nucléaires. Ce sont les USA qui les lui ont donné (les USA les ayant eux-mêmes reçu de transfuges allemands fuyant le régime nazi).
L'idée des USA était de ne pas assumer seuls cette dissuasion nucléaire, et donc de faire collaborer (de "mouiller" ?) ses alliers.
C'est ainsi, qu'après avoir "donné" ces secrets à la France et à l'Allemagne (de l'ouest), ils ont chargé ces 2 pays de les donnés à leur tour à d'autres pays (les USA n'y étant alors pour "rien"…).
La France les a notamment donné à Israël et… à l'Iran (au Shah à l'époque), et a même fait des accords importants avec ce pays, dans le cadre d'EURODIF.
C'est pour cela que la France a participé à l'hébergement de l’Ayatollah Khomeiny à Neuphle le Château, pour essayer de "garder la main".
Peine perdue, et la volonté de la France de ne pas honorer ses engagements lui a valu des attentats à Paris et des prises d'otages.
Alors, évidemment, les occidentaux ont "bonne mine" à présent de s'offusquer des "risques" de voir le régime Iranien aller vers le nucléaire militaire…
En tout, c'est 40 alliers qui ont bénéficiés de ces secrets, dont l'Egypte.

Les moyens pour organiser cette prolifération "contrôlée" et secrète, tout en criant à la non-prolifération ?
Eh bien, c'est en jouant sur "nucléaire civil" (énergie), et "nucléaire militaire", compte tenu de la facilité qu'il y a à passer de l'un à l'autre, quoique les états en disent officiellement.

L'organisme pour gérer tout cela ?
C'est l'AIEA, l'Agence Internationale de l'Energie Atomique, eh oui, celle précisément officiellement chargée de veiller à la non-prolifération nucléaire !
Cocasse non ? Ces gens sont pleins d'humour, et plus encore, l'AIEA n'a-t-elle pas reçu le prix Noble de la paix ?

Qui est Mahmoud Ahmadinejad ? page 7
C’est le Président de la République Islamique d’Iran.
Il est l’autre grand épouvantail agité par l’équipe Bush, avec Oussama Ben Laden*
Seulement, ce qu’il faut savoir et que l’on se garde bien de nous dire, c’est qu’en Iran, le Président n’est que le 5e personnage de l’Etat…
Pour comparer (approximativement), voici l’ordre protocolaire français :
1) Président de la République
2) Premier Ministre
3) Président du Sénat
4) Président de l’Assemblée Nationale
5) Anciens Présidents de la République, dans l’ordre de préséance déterminé par l’ancienneté de leur prise de fonction
(donc VGE, oui, cela prête à rire…).

*Nous avons montré que ce n’était qu’un pantin de la CIA, d’ailleurs, alors que Bush met en garde ses concitoyens contre le danger « d’Al-Qaïda en Irak », qui formerait des cellules pour attaquer les États-Unis, des officiers supérieurs états-uniens ont admis que cette organisation n’existait pas. Les généraux Casey et Kimmitt ont reconnu qu’Al-Zarkaoui

était une fabrication de leurs services de guerre psychologique et le général Bergner a déclaré que son successeur,

Al-Baghdadi, était un acteur.

PAR AILLEURS :
Propagande : CNN, pris sur le fait, s’excuse auprès de l’Iran
La chaîne de télévision états-unienne CNN s’est excusée auprès de la république islamique d’Iran pour avoir, lors d’une conférence de presse du président Mahmoud Ahmadinejad, retransmise en direct le 14 janvier 2006, falsifié les propos du président iranien.
L’interprète de CNN lui avait fait dire : « nous croyons que toutes les nations doivent être autorisés à posséder les armes nucléaires » et que l’Occident ne devrait pas « empêcher l’Iran d’avoir des armes nucléaires », alors que ce dernier avait déclaré que « l’Iran a le droit à l’énergie nucléaire ». Le président iranien avait pourtant bien précisé que l’Iran était une nation suffisamment « riche culturellement et historiquement » pour ne pas avoir à se doter d’armes nucléaires. La chaîne de télévision estime cependant qu’il s’agit d’une simple "erreur de traduction".
Les États-Unis tentent de persuader la communauté internationale que l’Iran cherche à se doter secrètement de l’arme nucléaire, mais les inspecteurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) attestent qu’aucun élément concret ne corrobore cette accusation. La communauté chiite d’Iran s’est toujours opposée au développement, à la détention et à l’usage de la bombe atomique qui est, selon elle, contraire à l’Islam.

20 octobre 2005, le service de traduction de l’ONU participe à une autre intox US :
On ne change pas les bonnes recettes. Lorsque les États-Unis lancèrent leur campagne d’intoxication à propos du prétendu programme nucléaire militaire iranien, ils fabriquèrent de fausses confirmations officielles iraniennes de leur mensonge. Ainsi, le 14 janvier 2006, CNN inventa une déclaration du président Ahmadinejad, qui fit le tour de la planète, avant d’être discrètement démentie ; la chaîne d’Atlanta reconnaissant qu’il s’agissait d’une "erreur" de traduction.
Cette fois, il s’agit d’attribuer à la Syrie un programme nucléaire militaire. La fausse déclaration a été attribuée à un diplomate syrien à l’ONU. Lors d’une réunion de la Commission du désarmement de l’Assemblée générale, mardi 9 octobre 2007 à New York, celui-ci aurait reconnu que l’action entreprise dans son pays par l’armée de l’air israélienne en septembre avait pour objet de bombarder un réacteur nucléaire. Là encore, on découvrit une "erreur". L’administration de l’ONU, qui se targue d’avoir le meilleur service de traduction au monde, a présenté ses excuses à Damas le mercredi 17 octobre et le traducteur fautif a reçu un avertissement. Il aura fallu 8 jours pour vérifier les enregistrements et rétablir la vérité, pendant ce temps, l’intox a été diffusée par le Jerusalem Post et le New York Times, puis reprise dans le monde entier, et bien peu de gens auront connaissance du démenti.
Que l’on juge de "l’erreur" ! Le diplomate avait déclaré : « Israël est le quatrième exportateur d’armes au monde (…) il viole l’espace aérien d’États souverains et mène des agressions militaires contre eux, telle celle survenue le 6 septembre dernier contre mon pays ». Sa phrase fut traduite "par inadvertance" : « Le 6 septembre dernier, Israël a violé l’espace aérien de mon pays et bombardé un de nos réacteurs nucléaires ».Rappelons que la Syrie, un petit pays pauvre (50 milliards d’euros de PIB), n’a pas les moyens de financer un programme nucléaire militaire. Rappelons également que le raid aérien du 6 septembre 2007 avait pour but de tester les nouvelles défenses anti-aériennes du pays et que le retour précipité des avions israéliens a montré la fin de la dominance de l’État hébreu en la matière.

Et l’opinion française ?
Problème, très gros problème, car si elle a bien voté pour le bon Président (candidat aidé par les néoconservateurs, et non sans avoir utilisé des méthodes disons… « particulières »), l’opinion française n’est absolument pas prête à cautionner une guerre, et encore moins à y participer activement.
Mais les états-uniens étaient-ils prêts à accepter toutes ces guerres avant le 11 septembre 2001… ?
Eh oui, l’opinion publique se manipule, et aux grands objectifs, les grands moyens.
Que faudrait-il pour retourner l’opinion publique française ?
Un grand, un très grand choc ! Madrid et Londres y ont eu droit, à qui le tour ?
Mais pour la France, il faudra plus, et un choc qui frappera le Monde entier, si l’on veut que l’opinion internationale accepte un bombardement de l’Iran avec des missiles nucléaires.
Alors, à partir de là, toutes les suppositions sont possibles, à vous d’imaginer ce que ces grands stratèges de la manipulation pourront bien trouver.
Rappelons qu'il a été démontré que l'attentat contre Jean-Paul II n'était pas le fait de la Bulgarie, comme on a voulu le faire croire, mais organisé à l'époque par la CIA pour jeter le discrédit sur les pays de l'Est…

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Karen Hughes reconnaît que Nicolas Sarkozy a été formé par le département d’État US

Évoquant les résultats des programmes d’influence des États-unis, lors d’une cérémonie officielle le 25 octobre 2007, Karen Hugues, sous-secrétaire d’État chargée de la Diplomatie publique (propagande) et des Affaires publiques (relations publiques), a déclaré : « Plus de 130 participants à nos programmes depuis 1945] sont devenus les leaders de leurs pays, y compris l’actuel Premier ministre de la Grande-Bretagne (Gordon Brown), le président de la France (Nicolas Sarkozy) et le président de la Turquie (Abdullah Gül) ».
Si la biographie de M. Brown est connue, c’est la première fois qu’un officiel états-unien reconnaît que MM. Sarkozy et Gül ont été formés par le département d’État, ce que les intéressés ont toujours cherché à masquer.

La colonisation US du ministère
français de l’Économie

Après que Le Canard enchaîné eut révélé dans son édition du 10 octobre 2007 que le ministre de l’Économie, des Finances et de l’Emploi, Christine Lagarde, rédige et fait rédiger en anglais les notes qu’elle échange avec ses collaborateurs, le député de Seine-Saint-Denis Jean-Pierre Brard, l’a apostrophée en anglais lors de la séances de questions de l’Assemblée nationale, mardi 16/10.
L’incident a été prestement tourné en dérision par la presse française, qui s’est efforcée de n’y voir qu’une plaisanterie, tandis que la présidence de l’Assemblée nationale a décidé de le retirer du compte-rendu au motif que seul le Français est langue officielle de la République.
En réalité, le fond de la question posée par M. Brard est des plus sérieux : comme nous l’avions révélé dans nos colonnes, Christine Lagarde —proche de Dick Cheney et de Zbigniew Brzezinski— est une ancienne responsable du Center for Strategic & International Studies (CSIS). Elle représente les intérêts industriels états-uniens à l’intérieur même du gouvernement français
et fait travailler son cabinet ministériel en anglais pour faciliter la subordination de l’administration française à ces intérêts.

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Toujours en eaux troubles :
les liaisons dangereuses du gouvernement français

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SUITE à COMMENTAIRES

– Robert Gates assure que des attentats dévasteront l’Europe si elle ne soutient pas l’OTAN

– Mais il semble que le message soit passé, car la France va envoyer des renforts en Afghanistan

– Selon l'Otan, une attaque nucléaire préventive est une option-clé