J’adore me rendre aux braderies organisées durant l’été, seul(e) ou en famille, vendeur ou acheteur, c’est un bon moyen de remplir un après-midi vide qui se promettait d’être ennuyeux.
Une braderie, ça n’est pas exactement un vide-grenier ni une brocante ou un marché, plutôt du shopping en plein air avec des prix plus que compétitifs. Même si c’est juste pour faire du ‘lèche-vitrine’, j’apprécie de pouvoir me promener, découvrir, regarder, me laisser envoûter par tel ou tel produit et même tenter de négocier les prix. On y trouve tout ce qu’on peut trouver en boutique, des parfums aux paires de chaussures, des vêtements aux bijoux, c’est un vrai centre commercial foisonnant.
Foisonnant, c’est le cas de le dire, parce que les prix bas attirent forcément beaucoup. Quand les rues sont trop petites, les étals trop grands, les clients trop importants et qu’une forte canicule s’impose pour couronner le tout, je peux affirmer qu’on étouffe littéralement et qu’on se jure qu’on ne s’y prendrait plus.
Mais l’année suivante la tentation est trop forte, l’envie prime, et d’un pas qui se veut décidé, on se résout à ne pas se laisser piétiner, pour éviter de se faire dérober sa place devant les étals intéressants…
Je vous ai délivré mon expérience qui résulte d’une certaine addiction aux braderies, et cette année encore je me rendrai dans celle organisée par ma ville…En espérant ne pas me faire marcher dessus par la foule.
Sauf que la plupart des vendeurs proposent des articles à la provenance douteuse et à la qualité discutable pour un prix assez élevé pour ce que c’est. Sans compter que le terrorisme est financé grâce à ces braderies (sauf quand ce sont les magasins locaux qui y participent): beaucoup de vendeurs sur les marchés paient un impôt qui sert à préparer les atrtentats en Europe, comme ce fut le cas il y a quelques années chez nous.
Le plus grave étant que les gens le savent parfaitement mais continuent à acheter!