Quantité inépuisable qu’il nous faut pour l’avenir.
Cette énergie est largement utilisée dans les pays musulmans ou le soleil est abondant. Pourquoi s’en priverait-on d’autant que les capteurs existent et que des systèmes de régulation permettent, non seulement de satisfaire les besoins domestiques mais d’en délivrer au réseau d’électricité. C’est le bienfait du soleil, vital pour notre vie, qui peut être nous sauvera du pétrole et de la nocivité de sa combustion polluant notre atmosphère, mais aussi de celle du nucléaire, si sournoise et si utile, qui est développée dans les prochains dossiers.
Cette énergie solaire est potentielle d’un développement économique important. Elle reste pour le moment hors de prix pour beaucoup d’entre nous, un investissement coûteux et nécessitant un emplacement adapté dans une habitation que tous n’ont pas. Si l’on ajoute à cela que dans nos régions le soleil n’est pas très abondant, et qu’en outre, l’entretien d’une installation coûte forcément et nécessite une surveillance continue.
Les nouvelles habitations pourraient être adaptées pour l’équipement futur d’une installation, d’autant que l’État offre des exonérations de charges, mais qui sont dérisoires, crédit d’impôt liées aux réductions d’énergie ce qui allège modérément le coût de l’installation, ainsi qu’une TVA à 5,5 %. l’amortissement actuel d’une installation est de l’ordre de 20 à 30 ans, c’est dire que dans ces temps que deviendra celui qui à fait cet investissement ?
Les capteurs solaires usuels sont de deux sortes :
les capteurs thermiques qui transforment le rayonnement solaire en chaleur en chauffant un fluide caloporteur qui, ensuite, au moyen d’un échangeur, ce qui constitue le circuit secondaire, produit une source d’énergie au même titre qu’une chaudière permettant le chauffage d’une habitation au moyen d’un ballon d’eau chaude. Il existe différent types d’installation avec ou sans pompe de circulation suivant que le ballon est situé en hauteur au dessus du panneau solaire, fonctionnement en thermosiphon ou pas. C’est en fait le même principe que pour une installation de chauffage central.
Des exemples, le chauffe eau solaire et le cuiseur solaire fortement développé en Chine et en Inde. Un feuille de carton recouverte de papier d’aluminium découpée de façon à former un petit four solaire.
Le second type est le capteur photovoltaïque qui transforme le rayonnement solaire directement en électricité mais d’un rendement énergétique inférieur au capteur thermique dont le rendement avoisine les 80 %. Encore faudrait-il connaître comment ce rendement est déterminé sachant que dans une installation, il n’y a pas que le capteur mais aussi tout ce qui concerne le circuit secondaire.
En outre, son coût est moins élevé même si l’énergie qu’il permet de récupérer est de moindre valeur que celle du capteur photovoltaïque puisque c’est de l’électricité. Seulement, son utilisation à grande échelle pour l’équipement d’une région ou d’un pays voire d’un continent en énergie solaire est, par la souplesse de l’électricité, appelé à un développement énorme puisque l’on envisage la captation du rayonnement solaire afin de convertir le soleil du désert en électricité !
Des exemples, les Héliostats de la centrale solaire de Thémis, et vue aérienne d’une centrale solaire en Californie, (Kramer Junction).
C’est un projet très ambitieux, voir Le Monde .fr ici, qui devait se constituer le lundi 13 juillet à Munich un consortium sous l’égide du réassureur Allemand Munich Re.
Les entreprises fondatrices, parmi lesquelles le conglomérat Siemens, les électriciens Eon et RWE, et la Deutsche Bank, réfléchissent à la construction d’une centrale solaire géante, dans le nord de l’Afrique et du Proche-Orient, qui permettrait d’approvisionner l’Europe en énergie propre.
Cette initiative industrielle s’appuie sur le projet Desertec, développé par la branche Allemande du Club de Rome, une organisation non gouvernementale spécialisée dans le développement durable. D’après ce concept, des installations solaires thermiques réparties sur plusieurs milliers de kilomètres carrés en plein désert pourraient couvrir jusqu’à 15 % des besoins en électricité européens d’ici à 2025, avec des premières livraisons dans dix ans. Coût estimé, 400 milliards d’euros sur une période de quarante ans, selon les calculs du Centre aéronautique et spatial Allemand (DLR).
L’idée est fortement soutenue par le gouvernement Allemand,
«Ce projet visionnaire présente un fort potentiel pour accroître la coopération régionale à travers toute l’Afrique du Nord, entre des États qui ont toujours des frontières fermées»,
a défendu, vendredi 10 juillet, Frank-Walter Steinmeier, le ministre des affaires étrangères. L’enthousiasme est même plus large.
Lors d’une récente conférence réunissant des cadres du secteur énergétique, la chancelière Allemande, Angela Merkel, et le président de la Commission Européenne, José Manuel Barroso, ont eux aussi, fait l’éloge de l’initiative Desertec. Pour les nouveaux partenaires industriels, il s’agit maintenant d’en étudier la faisabilité. «Non pas tant d’un point de vue technique que politique et économique», précise-t-on chez Munich Re. L’un des principaux défis consiste à sécuriser ces investissements colossaux, notamment grâce à d’éventuelles aides publiques, Allemandes ou Européennes. Sous forme de prix garantis, par exemple.
«Nous espérons pouvoir présenter des plans concrets d’ici deux à trois ans»,
dit-on chez l’assureur.
Dans l’intervalle, le consortium souhaite s’élargir à d’autres entreprises Européennes et du bassin Méditerranéen. Sont d’ores et déjà associés aux négociations le conglomérat Suisse ABB, l’Espagnol Abengoa Solar, ou encore le groupe Algérien Cevital.
Il est évident que ce projet soulève des problèmes politiques de propriété prendre sur un Continent l’énergie du soleil dont nous aurions besoin soulève le même problème que celui du pétrole. Cela ne peut se faire que dans la mesure ou le ou les pays dont l’énergie solaire est captée puissent bénéficier autant que les pays constructeurs de ce projet, ils en n’ont aussi besoin. Or, cela ne pourrait fonctionner dans le cadre d’un engagement commun. Mais dans ce cas peuvent-ils prendre part au financement d’un tel projet ?
Ces perspectives sont pharaoniques puisque qu’il pourrait s’étendre sur une surface de plus de 90.000 km² équipée de miroirs paraboliques offrant théoriquement les besoins en énergie de la planète entière ?
On voit ainsi la mondialisation de notre économie par celle de l’énergie. Il faut bien admettre que nous ne pouvons plus vivre comme avant dans notre pays à l’abri des influences extérieures, nous en sommes dépendants. De plus, il faut une paix mondiale assurée ce qui n’est peut être pas le cas, car dans le cas d’un conflit, il est impératif d’être maître de son énergie.
Il convient donc de conserver ce que nous avons, mais d’en développer la potentialité. La série de dossiers que je vais publier après celui-ci sur les déchets nucléaires montreront que nous faisons ce qu’il faut pour assurer à notre économie ce dont elle à besoin, mais aussi que nous faisons ce qu’il faut pour en minimiser les risques.
Une correction a été effectuée il s’agirait de 90.000 km² au lieu des 300 km² que j’avais initialement écrit, voir le site ici .
Un des défaut de cette énergie (défaut dont on parle d’ailleurs très rarement??????) [b]C’est qu’une partie de l’énergie est renvoyée dans l’atmosphère!!!!!!!![/b]Ce qui contribue au réchauffement …….
[b]libertinus[/b] bonjour
Vous avez raison qui dit rayonnement dit absorption et réflexion.
Une partie pénètre dans le corps et l’autre partie du rayonnement est réfléchie, mais on peut en réduire la réflexion par l’état de surface du corps et le rendre ainsi presque totalement absorbant.
En fait cette énergie refléchie est retournée dans l’atmosphère, quand à accroître le réchauffement, je ne vois pas pourquoi ?
Pour qu’elle accroisse le réchauffement il faut qu’elle soit captée, or l’air n’absorbe pas le rayonnement solaire d’après mes souvenirs !
Bien à vous,
Anido
Bravo pour votre article !
Effectivement, la précision de Libertinus n’est pas fausse, même si à mon avis, l’effet est minime.
L’énergie participe bien au réchauffement, car la partie renvoyée vers l’atmosphère se trouve en partie renvoyée à nouveau vers le sol à cause de la réflexion des nuages.
Cordialement
Gosseyn
Libertinus soulève un vrai problème :
http://www.electron-economy.org/article-34687967.html
Irayan,
Merci pour votre précieux lien ! Il est très détaillé et explique très bien ! Je crois maintenant que les centrales solaires sont… à éviter !
[b]Irayan[/b] bonsoir,
J’ai lu l’article dont vous donnez la référence, ma conviction c’est qu’il ne démontre rien il affirme ce n’est pas la même chose.
Il fait un amalgame de beaucoup de choses.
Maintenant cela écrit, il faut savoir ce que l’on veut.
Un four solaire réfléchit c’est certain et je ne le conteste pas.
Mais l’atmosphère, l’air en quelque sorte, n’absorbe pas le rayonnement, c’est le corps sur lequel il s’applique qui s’échauffe tout en en réfléchissant lui aussi, et ainsi de suite.
On n’a encore jamais constaté d’échauffement de l’air en lui même.
L’air ne s’échauffe que par conduction ou convection mais pas par rayonnement.
Dans une pièce soumise au rayonnement infrarouge par une source, ce que reçoit le capteur de température ce n’est pas la température de l’air de la pièce mais celle due au rayonnement.
Faites l’expérience suivante, dans cette pièce captez un peu d’air dans une enceinte isolée du rayonnement et mesurez sa température vous verrez qu’elle est différente de celle mesurée normalement dans la pièce.
Cela étant, l’atmosphère est constituée de nuages composés de particules, le rayonnement réfléchit chauffe ces particules c’est certain et en augmente la température, ce qui peut constituer à un échauffement par voute chaude d’une portion de la planète. Mais, il faut faire attention, ce n’est pas aussi simple, ces zones chaudes peuvent conduire à des courants violents par suite des différences de température, est refroidir l’atmosphère tout en provoquants parfois des cataclysmes.
Le sable du Sahara réfléchit le rayonnement tout en s’échauffant, ce n’est pas autre chose que ce que feraient les capteurs solaires.
Avez-vous vu ce que l’on appelle l’Erg Admer au Sahara les dunes sont de vrais diamants le matin sous le soleil, c’est splendide.
La différence tient dans l’aspect de la surface, le sable serait moins réfléchissant que les capteurs photovoltaïques c’est probable.
Mais pour autant, cela devrait condamner le captage énergétique de cette énergie, j’en doute.
Il s’agit dans ce cas d’une différence entre ce que fait le sable et ce que feraient les capteurs !
Bien à vous,
Anido
Pour compléter mon propos, la surface de la mer est bien importante que celle des déserts, et la réflexion du soleil qui en résulte également.
Elle est aussi bien plus importante que celle que pourrait avoir un espace équipé de capteurs solaire.
Il est donc important d’avoir l’appréciation des proportions pour émettre un avis contre des capteurs solaires qui ne représenteraient que [b]300 km²[/b] dans l’espace rayonné soit une quantité négligeable, non mesurable, en terme de nuisance si l’on y associe aussi aux mers les surfaces glacières.
D’autre part, ces capteurs, et je reviens sur ce que j’ai écrit précédemment; n’auraient peut être pas plus de réflexion que la surface qu’ils recouvriraient qui, je vous assure, au Sahara Algérien réfléchit énormément dans les déserts constitués exclusivement de sable.
Bien à vous,
Anido
Le développement en masse des centrales tehrmosolaires conduirait à recourir à des volumes astronomiques de sels fondus. [b]Ces installations sont classées SEVESO en France!!!!!!
[/b]
Troisième problème sérieux des centrales thermosolaire vapeur installée en zone aride ou désertique : elles consomment beaucoup d’eau : nettoyage des miroirs,
purge des circuits, et surtout source froide.
[url]http://www.electron-economy.org/article-34687967.html[/url]
[b]libertinus[/b] bonjour,
[b]Être écologiste c’est bien mais, [u]il faut être aussi constructif[/u].[/b]
Permettez-moi de ne pas être de votre avis et de ne pas faire d’amalgame.
Votre argumentaire de consommation d’eau, il ne faut pas exagérer, il faut nettoyer les surfaces des panneaux, bon et alors !
On n’a rien sans rien !
Le classement Sévéso, je suis très étonné que vous évoquiez Sévéso, pour moi s’applique aux substances dangereuses mais pas aux centrales solaires ?
Il y a Sévéso I et II plus contraignant que Sévéso I.
[b]Voici son champ d’application[/b] :
Le champ d’application de la directive est à la fois élargi et simplifié. Elle s’applique à tout établissement où des substances dangereuses sont présentes ou sont susceptibles d’être produites en cas d’accident, dans des quantités égales ou supérieures aux quantités indiquées en annexe. La liste des substances désignées figurant en annexe a été réduite de 180 à 50 substances mais elle est assortie d’une liste de catégories de substances, ce qui conduit, dans la pratique, à élargir le champ d’application.
La directive 2003/105/CE (voir actes modificatifs) a étendu le champ d’application de la directive « Seveso II » de manière à inclure les opérations de traitement et de stockage des matières minérales réalisées par des industries extractives et impliquant la présence de substances dangereuses, ainsi que les installations d’élimination de terres stériles utilisées dans ces opérations.
Sont exclus du champ d’application de la directive:
* les installations militaires;
* les dangers liés aux rayonnements ionisants;
* les transports de substances dangereuses par route, rail, air et voies navigables;
* les transports de substances dangereuses par pipelines à l’extérieur des établissements visés par la présente directive;
* les décharges de déchets.
[u][b]Les centrales solaire n’y figurent pas ![/b][/u]
De plus, je reviens à l’amalgame que vous faites, il ne s’agit pas de centrales thermosolaires qui chauffent de l’eau dans un circuit caloporteur comme la centrale Solenha dans les Hautes Alpes qui pourraient être, [b]mais qui ne l’est pas[/b], classée Sévéso II.
[b]La production directe électrique photovoltaïque ne consomme pas d’eau[/b] sauf bien entendu pour le nettoyage des panneaux, il faut ce qu’il faut et rester objectif.
Bien à vous,
Anido
Il faut se méfier des grands projets dans les régions désertiques.Ce sont des régions extrêmement fragiles…..
[b]libertinus[/b],
Certainement, mais, il ne faut pas tout condamner à l’avance.
La réalisation d’un projet comme celui de Déserterc implique des contraintes et bien entendu des conditions de sécurité, de maintenance, sur touts les plans.
Et je fais confiance aux écologistes pour tirer la sonnette d’alarmes et ils auraient raison.
Mais, si un tel projet pouvait voir le jour et que l’on soit débarrassé du pétrole et du nucléaire, tout au moins que l’on n’en favorise plus le développement, ce serait un pas positif vers un monde plus propre, mais, il ne faut pas rêver.
Bien à vous,
Anido
[b]Anido,
bonjour…
Je ne connais rien en ces domaines… Mais, verra-t-on également des véhicules pouvant fonctionner uniquement à l’énergie solaire ?
Avec toute mon amitié,
Dominique[/b]
IL NE FAUDRA VRAIMENT PAS ETRE PRESSE, CAR LE FLUX ENERGETIQUE SOLAIRE J/m2.s(*) EST TROP FAIBLE ET EN PLUS LE RENDEMENT N’EST PAS EGAL A 1 LOIN S’EN FAUT:
(*) varie de 0 à un maximum de 1000 W/m2 sur terre
c’est l’equivalent d’une force de 100 Newton appliquée sur un corps se déplaçant à 36 km/h autrement dit un bon SOLEX par m2, en plein SAHARA, avec un rendement energétique de 100 %; CE QUI EST LOIN D’ETRE LE CAS dans la pratique .
Faut pas rêver quoi, ni être illuminé.
[b]Dominique[/b] bonjour,
Des voitures à énergie solaire photovoltaïque existent déjà puisqu’elles sont électriques, mais ce sont des prototypes et de plus, l’énergie récoltée est insuffisante pour qu’elles puissent supplanter les voitures actuelles. Ce sont des gadgets pour le moment
Ce que l’on peut espérer, c’est la voiture électrique d’origine solaire obtenue par des capteurs photovoltaïques convertissant directement le soleil en électricité, mais dont l’énergie est mise dans des batteries et sert d’appoint au moteur thermique, c’est ce que l’on appelle la [b]voiture hybride[/b]. Les Japonnais vont en commercialiser bientôt
Il existe de par le monde déjà des [b]centrales photovoltaïques[/b] mais peu d’information sont donnée quand à leur rendement en tant que convertisseur d’énergie, mais aussi sur leur [b]puissance électrique [u][/u]utilisable[/b].
Ce qui, fonctionne bien c’est la conversion du soleil en chaleur et ensuite au moyen d’un [b]fluide caloporteur on fait de l’électricité[/b] en utilisant son énergie thermique comme dans le cas d’une [b]centrale thermique.[/b]
Mais, là aussi, un bon rendement implique [b]des températures élevées[/b], et j’ai bien peur que ce ne soit pas le cas.
Il faudrait des températures de l’ordre de [b]500 °c pour faire de la vapeur surchauffée [/b]en dessous les [b]rendements sont médiocres comme dans les centrales nucléaires à eau pressurisée[/b], c’est l’objet des prochains dossiers sur les déchets.
Bien à toi,
Anido
Veritas bonjour,
36 km/h font 10m/s et 100 N lancés à 10m/s donnent 1.000 joules/m².
300 km² font 300.000 m² ce qui donne une puissance 300 millions de joules, soit 300Mw/h pour un rendement égal à 1.
La constante solaire est de 1363W/m² pour un rayonnement global et non incident.
Compte tenu de l’atmosphère cette énergie diminue puisque absorbée par les couches de nuages pour ne donner dans un faisceau direct que de 1050W/m² environ à un rayonnement global d’environ 1120W/m².
Or, il faut tenir compte du rayonnement réfléchit, et de l’incidence du rayonnement de sorte qu’il reste peu en terme de puissance récoltée si l’on tient compte du rendement des capteurs photovoltaïques.
Il est donc probable que seulement quelques pour-cent du rayonnement solaire soient convertis en électricité.
Il faudrait non pas 300 km² mais 1000 fois plus c’est à dire 300.000 km² ce qui donnerait 300 milliards de Watts avec 0.1 % de rendement global on disposerait de 3 milliards de Watts c’est à dire 3Gw.
Il faut espérer que ceux qui ont mis ce projet dans l’actualité on réfléchit et ne nous ont pas tout dit.
De plus, il y a les pertes joules en ligne et sur de très grandes distance à moins de faire de la supraconduction il ne reste presque plus rien.
Avec les données techniques actuelles ce projet sera difficile à mettre en œuvre.
Bien à vous,
Anido
… il ne s’agira pas de 300 km2 mais de 90’000 km2 !
Bien à vous
[b]Jean-olivier[/b] bonjour,
Je n’ai pas cette information.
Pouvez-vous donner sa référence, merci.
Anido