Le Yoga modifie l’activité des gènes

De plus en plus pratiqué par les individus en quête de calme et de bonne santé, le yoga est un allié puissant pour vaincre le stress, mais aussi pour garder un corps souple et éviter les petites douleurs dorsales ou articulaires dues à une vie sédentaire où les mauvaises postures font partie du quotidien. Reconnu pour ses vertus, le Yoga vient d'être désigné par les scientifiques comme étant un puissant anti-stress ayant la capacité de modifier l'activité des gènes…

Non, pratiquer le Yoga ne fera pas de vous un mutant ou un X-Men, quoique certaines postures paraissent tellement complexe qu'on se demande si le yogi est doué de pouvoirs spéciaux. Il faut dire que les "miracles" sont légions chez les pratiquants. Entre ceux qui maitrisent leurs battements cardiaques par la pensée, méditent à moitié nus au milieu des neiges ou se font enterrer vivant durant des heures, le Yoga démontre à quel point l'esprit peut influencer le corps, et inversement !

Le Docteur Benson, déjà connu pour avoir été l'un des premiers à étudier les effets sur la santé de la Méditation Transcendantale chère aux Beatles, a donc récidivé en redonnant au Yoga ses lettres de noblesse. Une étude qu'il vient de réaliser montre que la pratique de cette discipline, ou de toute autre activité amenant un calme profond (méditation, prière, relaxation, auto-hypnose), permettait de changer le fonctionnement de plus de 2200 gènes liés aux réactions face au stress ! A long terme, les pratiquants ne réagissent plus du tout de la même manière à l'anxiété et se retrouvent donc moins exposés à des maladies découlant d'un stress continu (hypertension, maladies de peau, migraines, troubles cardiaques etc.) grâce à un certain détachement. Il est également prouvé que l'activité cérébrale change et permet une plus grande positivité.

La méthode est simple, prenez chaque jour 20 minutes pour vous relaxer en pratiquant le Yoga, ou la méditation, la prière ou toute autre activité relaxante. Votre corps vous dira merci, votre santé également et le trou de la Sécu par la même occasion… 

Le Yoga a cependant un avantage sur les autres disciplines : il vous permet de travailler sur votre corps en même temps que sur votre esprit, vous permettant ainsi de faire d'une pierre deux coups et de vous entretenir physiquement. 

28 réflexions sur « Le Yoga modifie l’activité des gènes »

  1. les articles devraient etre censurés
    merci d’arreter de copier tous ce que vous trouvez pour gagner mercantilement de l’argent sur des sujets que vous ne maitrisez pas. Gardez vos références de la guerre des etoiles pour les blogs d’adolescents debilitants que vous animez par ailleurs. la tunisie ne devrait pas etre le seul pays à censurer des « entreprises » comme la votre. Ou alors inscrivez vous dans les rubriques commérages, et accelerez donc votre developpement sur ce domaine, vous avez toutes vos chances …

  2. @ copieur
    copieur, votre commentaire est hors sujet ! Pour rappel, ce papier, que vous commentez, est consacré au Yoga… Si la Rédaction a décidé de le publier, c’est que le sujet proposé pouvait intéresser des lectrices et des lecteurs…

    Si cet article ne vous plait pas, puisque le Yoga ne vous intéresse pas, il vous suffit d’aller lire d’autres articles figurant sur ce site : il y en a actuellement 19320, ce qui vous donne largement le choix selon vos goûts !

    Maintenant, si come4news est un site qui ne vous plait pas, il vous suffit de passer votre chemin, puisqu’il plait à d’autres lecteurs !

    De vous à moi, de quel droit, puisque vous en parlez, un gouvernement, en l’occurence : le Gouvernement tunisien, se permet de décider, en ses lieu et place, ce que son Peuple pourra lire, écouter, voir entendre ??? Vous donnez raison à ce Gouvernement : fort bien !
    Mais, ne pensez-vous pas que votre commentaire devrait être censuré ????

  3. Ca s’est mal terminé !!!!! »Le Docteur Benson, déjà connu pour avoir été l’un des premiers à étudier les effets sur la santé de la Méditation Transcendantale chère aux Beatles « 

  4. Le génome de chaque individu change dans le courant de la vie sous l’effet de facteurs environnementaux ou alimentaires, ce qui expliquerait l’émergence de maladies comme le cancer avec le vieillissement, selon des travaux publiés mardi. Des chercheurs de l’université Johns Hopkins (Maryland, est) ont découvert que les marques épigénétiques sur l’ADN (autres que la séquence elle-même) se modifient au cours de la vie d’une personne et l’ampleur des changements est similaire parmi les membres d’une même famille.

    L’épigénétique regroupe l’étude des mécanismes permettant aux cellules de maintenir l’intégrité de leur génome. « Nous commençons à voir que l’épigénétique est au coeur de la médecine moderne car les changements épigénétiques, à la différence de la séquence d’ADN qui est la même dans chaque cellule, peuvent se produire sous l’effet du régime alimentaire ou de l’exposition à des facteurs environnementaux », souligne le Dr Andrew Feinberg, professeur de biologie moléculaire et de génétique à la faculté de médecine de l’Université Johns Hopkins. « L’épigénétique pourrait bien jouer un rôle dans des maladies comme le diabète, l’autisme et le cancer », ajoute-t-il.

    Ces chercheurs ont analysé des échantillons d’ADN provenant de quelque 600 personnes ayant participé à l’étude sur le coeur dite de Reykjavik. Les participants ont fourni des échantillons d’ADN en 1991, et de nouveau entre 2002 et 2005. Ces généticiens ont mesuré les variations totales de méthylation, qui est la principale modification épigénétique (donc réversible) de l’ADN, dans 111 de ces échantillons. Ils ont comparé la méthylation de ces personnes entre 2002 et 2005 à celle des échantillons collectés en 1991. Ces chercheurs ont découvert que dans quasiment un tiers des cas, la méthylation avait changé pendant cette période de onze ans.

    « Nous avons constaté un changement notable au cours du temps qui selon nous prouve que l’épigénétique d’un individu change avec l’âge », explique le Dr. Daniele Fallin, professeur associé d’épidémiologie à la faculté de médecine Johns Hopkins. Ces changements épigénétiques pourraient aussi être héréditaire ce qui expliquerait pourquoi des familles sont plus touchées que d’autres par certaines maladies, poursuit-elle. Cette étude paraît dans le Journal of the American Medical Association daté du 25 juin.

    [url]www.ecolonews.blog.fr[/url]

    (belga/7sur7)
    24/06/08 23h02

  5. Et quoi encore !
    On en revient à l’histoire du shmilblik ! est ce qu’avec le yoga on jouer à la flute sous l’eau ?
    Il nous reste comme le bon vieux sens. Vs commencer par dire que le yoga c’est bien et vs finissez par parler des miracles. Attention aux marchands de faux espoirs et les dérives sectaires. On y est à deux doigts.
    Un 2eme chose,les blogs sont des avis personnels et il ne suffit pas de copier le contenu d’un blog pour étayer un fait scientifique. Nous ne connaissons pas à ce jour des mutations induites par un facteur psychique comme le yoga.
    cdt

  6. Du flanc
    J’ai eu une ex qui faisait du yoga

    Y avait pas pire pessimiste, à voir le mal partout et tomber malade pour un courant d’air.

    Ça doit surtout marcher avec les gens en bonne santé physique et mentale…

  7. La nouvelle est passée dans pas mal de publications médicales américaines et a enthousiasmé jusqu’à Robert Schwartz, directeur du « Texas A&M Health Science Center’s Institute of Biosciences and Technology » de Houston. C’est loin d’être du flanc, l’étude est bien réelle et sérieuse 😉

  8. Pas mal, se relaxer diminuerait donc le risque de maladies liées au stress?
    C’est surement vrai, mais est-ce vraiment suffisamment pertinent pour y consacrer un article?

  9. le someil
    comment s’endormir rapidement en appliquant les principes de relaxation == constat:en utilisant des principes PHYSIOLOGIQUES bien connus :1° un muscle fatigué par l’exercice devient atonne et se met au repos 2°le sang chargé de gaz carbonnique entraîne l’assoupissement . Méthode: se mettre en décubitus dorsal procéder à un contraction volontaire des jambes (j’usqu’à ce qu’elle deviennent « douloureuses ») et relacher en se disant : j’ai plus de jambes (effec tivement , on ne les sent plus ). Idem pour les bras et successivment tous les muscles que vous contrôlez ,sans oublier le visage .ensuite contrôler sa respiration/ inspirer , bloquer et relacher la respiration le plus lentement possible ,et retenir la respiration le plus longtemps possible.recommencer le cyle en se concentrant sur ce que l’on fait ce qui à pour effet de « vider l’esprit » N B plus on pratique l’exercice plus on le maitrise et l’efficacité est garantie

  10. En ce qui me concerne
    La prière ! Elle me permet d’évacuer beaucoup de choses et de repartir très positivement. Elle me permet aussi de réfléchir au calme et sans crainte.
    Encore faut-il être croyant, ou au moins adepte d’une certaine spiritualité.

  11. Jismar prier qui ? Jésus-Christ ou Satan ?
    Satan aime à se déguiser en ange de lumiere !!!!!
    « Il est menteur dès le commencement » dit l’Ecriture .

  12. Cela fait 20 ans que l’effet de la relaxation sur l’expression genetique a ete demontre.
    Depuis disons 1993 différentes études très spécialisés de la science médicale tendent toutes vers les mêmes conclusions. Que ce soient les biologistes, généticiens, immunologues, neurologues, une suggestion se transforme en une idée celle ci produit une activité neuronale qui est visible grace a l’imagerie cérébrale. En quelques secondes des cellules messagères sont créees et envoyées a travers le réseau sanguin dans les différentes parties du corps. Ces cellules messagères activent ou désactivent certaines expressions génétiques. Ceci explique pourquoi le stress chronique est dangereux car il bloque certaines défenses naturelles, a l’inverse les suggestions positive, la pratique du Yoga, de la relaxation ou de l’hypnose déclenchent les mécanismes de défense et de l’auto-guérison. Cet article indique seulement que très progressivement, surement beaucoup trop lentement tout ceci rentre dans le champs de la connaissance ordinaire.
    J’indique plus bas un certains nombres de références simplement pour montrer que la masse de connaissance sur le sujet est considérable aujourd’hui. Il ne s’agit plus de prouver une théorie sur les capacités individuels de prendre en charge sa propre santé mais bien de faire connaitre par le public ce qui sera peut-être un jour enseigne a l’école.
    Marc

    http://www.ultradiantherapy.org

    Cáceres, M., Lachuer, J., Zapala, M., Redmond, J., Kudo, L., Geschwind, D., Lockhart, D., Preuss, T., and Barlow, C.
    (2003). Elevated gene expression levels distinguish human from non-human primate brains. Proceedings of the
    National Academy of Scientists, 100, 13030-13035.

    Cheung, M., Chavez, L., and Onuchic, J. (2004). The energy landscape for protein folding and possible connections to
    function. Polymer, 45, 547-555.

    Coué, E. (1922). Self Mastery Through Conscious Autosuggestion. (A.S. van Orden, Trans.). New York, Malkan.
    Crick, F. and Koch, C. (2003) A framework for consciousness. Nature Neuroscience, 6 (2), 119-126.
    Crick, F. and Koch, C. (2005). The neural correlates of consciousness.) Philosophical Transactions of the Royal Society
    of London. (doi: 10.1098/rstb.2005.1661).
    Dudai, Y. & Carruthers, M. (2005). The Janus face of Mnemosyne. Nature, 434, p. 567.
    Edelman, G. (1987). Neural Darwinism: The Theory of Neuronal Group Selection. New York: Basic Books.
    Edelman, G. (1992). Bright Air, Brilliant Fire: On the Matter of the Mind. New York: Basic Books.
    Eisen, M., Spellman, P., Brown, P. & Botstein, D. (1998). Cluster analysis and display of genome-wide expression
    patterns. Proceedings of the National Academy of Science, 95, 14863-14868.
    Erickson, M. (1948). Hypnotic Psychotherapy. The Medical Clinics of North America, 35-48.
    Erickson, M. (1964). The burden of responsibility in effective psychotherapy. The American Journal of Clinical
    Hypnosis, 6, 269-271.
    Erickson, M., Haley, J., & Weakland, J. (1959). A transcript of a trance induction with commentary. The American
    Journal of Clinical Hypnosis, 2, 49-84.
    Erickson, M., Hershman, and Secter. I. (1961). The Practical Application of Medical and Dental Hypnosis. N.Y.: Julian
    Press.
    Erickson, M., Rossi, E., & Rossi, S. (1976). Hypnotic Realities: The Induction of Clinical Hypnosis and Forms of
    Indirect Suggestion. New York: Irvington.
    Erickson, M., & Rossi, E. (1979). Hypnotherapy: An Exploratory Casebook. New York: Irvington.
    Eriksson, P., Perfilieva, E., Björk-Ericksson, T., Alborn, A-M., Nordborg, C., Peterson, D., & Gage, F. (1998).
    Neurogenesis in the adult human hippocampus. Nature Medicine, 4, 1313-1317.
    Evans, S., Choudary, P., Neal, C., Li, J., Vawter, Tomita, M., Lopez, J., Thompson, R. Meng, F., Stead, J., Walsh, D.,
    Myers, R ., Bunney, W., Watson, S., Jones, E. and Akil, H. (2004). Dysregulation of the fibroblast growth factor
    system in major depression. Proceedings of the National Academy of Sciences, 15506-15511.
    Gazzaniga, M. (Editor) (2000). The New Cognitive Neurosciences. 2ed Edition. Cambridge: MIT Press.
    Gould, E., Reeves, A., Graziano, M., & Gross, C. (1999). Neurogenesis in the Neocortex of Adult Primates. Science, 286:
    548-552.
    Haley, J. (1967). (Ed.) Advanced Techniques of Hypnosis and Therapy: Selected Papers of Milton H. Erickson, M.D.
    New York: Grune & Stratton.
    Hammock, E. & Young, L. (2005). Microsatellite instability generates diversity in brain and sociobehavioral traits.
    Science, 308, 1630-1634.
    Hoffman, K. & McNaughton, B. (2002). Coordinated reactivation of distributed memory traces in primate cortex.
    Science, 297, 2070-2073.
    Janet, P. (1925/1976). Psychological Healing: A historical and clinical study (2 volumes). (Paul, E. & Paul, C., Trans.).
    N.Y.: Arno Press.
    Kamien, R. (2006). Music: An Appreciation. 5th Brief Edition. New York: McGraw Hill.
    Kandel, E. (1998). A new intellectual framework for psychiatry? American J. Psychiatry, 1998, 155, p 460.
    Kaufer, D., Friedman, A., Seidman, S. & Soreq, H. (1998). Acute stress facilitates long-lasting changes in cholinergic
    gene expression. Nature, 393, 373-377.
    Kempermann, G. & Gage, F. (1999). New nerve cells for the adult brain. Scientific American, 280, 48-53.
    Kempermann, G., Kuhn, G. & Gage, F. (1997). More hippocampal neurons in adult mice living in an enriched
    environment. Nature, 386, 493-495.
    Kiecolt-Glaser, J., Marucha, P., Atkinson, C. & Glaser, R. (2001). Hypnosis as a modulator of cellular immune
    dysregulation during acute stress. Journal of Consulting and Clinical Psychology, 69, 674-682.
    Kosfeld, M., Heinrichs, M., Zak, P., Fischbacher, U. & Fehr, E. (2005). Oxytocin increases trust in humans. Nature, 435,
    673-676.
    Levsky, J., Shenoy, S., Pezo, C., & Singer, R. (2002). Single-Cell Gene Expression Profiling. Science, 297, 836-840.
    Lichtenberg, P., Bachner-Melman, R., Gritsenko, I., Ebstein, R. (2000). Exploratory association study between catechol-
    O-methyltransferase (COMT) high/low enzyme activity polymorphism and hypnotizability. American J. Medical
    Genetics, 96, 771-774.
    Lichtenberg, P., Bachner-Melman, R., Ebstein R., Crawford., H. (2004). Hypnotic susceptibility: multidimensional
    relationships with Cloninger’s Tridimensional Personality Questionnaire, COMT polymorphisms, absorption, and
    attentional characteristics. International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis. 52, 47-72.
    Lisman, J. & Morris, G. (2001). Why is the cortex a slow learner? Nature, 411, 248-249.
    Lloyd, D. & Rossi, E., Eds. (1992). Ultradian Rhythms in Life Processes: A Fundamental Inquiry into Chronobiology
    and Psychobiology. New York: Springer.
    Lüscher, C., Nicoll, R., Malenka, C., & Muller, D. (2000). Synaptic plasticity and dynamic modulation of the
    postsynaptic membrane. Nature Neuroscience 3, 545-567.
    Matthews, W. (1985). Indirect versus direct suggestion – an initial investigation: A brief communication. The
    International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 48, 418-426.
    Matthews, W. (2000). Ericksonian Approaches to Hypnosis and therapy: Where are we now? The International Journal
    of Clinical and Experimental Hypnosis, 48, 418-426.
    Miller, G. (2005). Reflecting on another’s mind. Science, 308, 945-947.
    Morrison, P. (1994). Powers of Ten. New York: W. H. Freeman.
    Nader, K.. Schafe, G., & Le Doux, J. (2000). Fear memories require protein synthesis in the amygdala for reconsolidation
    after retrieval. Nature, 406, 722-726.
    Otto, R. (1923/1950). The Idea of the Holy. NY: Oxford University Press.
    Panksepp, J., Moskal, J., Panksepp, J. & Kroes, R. (2002). Comparative approaches in evolutionary psychology:
    Molecular neuroscience meets the mind. Neuroendocrinology Letters, 23, 105-115.
    Pennisi, E. (2005). In Voles, a little extra DNA makes for faithful mates. Science, 308, 1533.
    Peter, B. and Revenstorf, D. (2000). Commentary on Matthews “Ericksonian approaches to hypnosis and therapy: Where
    do we go now? The International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 48, 433-437.
    Preuss T., Caceres M, Oldham M., & Geschwind, D. (2004). Human brain evolution: Insights from microarrays. Nature
    Reviews Genetics, 5:850-860.
    Rainville, P., Ducan, G., Price, D., Carrier, B. & Bushnell, C. (1997). Pain affect encoded in human anterior cingulate but
    not somatosensory cortex. Science, 277, 968-871.
    Rainville, P., Hofbauer, R., Paus, R., Duncan, G., Bushnell, R., and Price, D. (1999). Cerebral Mechanisms of Hypnotic
    Induction and Suggestion. J. Cognitive Neuroscience. 11 (1): 110-125.
    Rainville, P., Hofbauer, R., Bushnell, M., Duncan, G., and Price, D. (2002). Hypnosis modulates the activity in brain
    structures involved in the regulation of consciousness. Journal Cognitive Neuroscience. 11 (1): 110-125.
    Raz, A. (2005). Attention and hypnosis: Neural substrates and genetic associations of two converging processes. Journal
    of Clinical and Experimental Hypnosis, 53, 237-258)
    Ribeiro, S., Mello, C., Velho, T., Gardner, T., Jarvis, E., & Pavlides, C. (2002). Induction of hippocampal long-term
    potentiation during waking leads to increased extrahippocampal zif-268 expression during ensuing rapid-eyemovement
    sleep. Journal of Neuroscience, 22(24), 10914-10923.
    Ribeiro, S., Gervasoni, D., Soares, E., Zhou, Y., Lin, S., Pantoja, J., Lavine, M., & Nicolelis, M. (2004). Long-lasting
    novelty-induced neuronal reverberation during slow-wave sleep in multiple forebrain areas. Public Library of Science,
    Biology. (PLoS), 2 (1), 126-137.
    Rossi, E. (1967). Game and Growth: Two Dimensions of Our Psychotherapeutic Zeitgeist. Journal of Humanistic
    Psychology, 8, 139-154.
    Rossi, E. (1968). The Breakout Heuristic: A Phenomenology of Growth Therapy with College Students. Journal of
    Humanistic Psychology, 8, 16-28. Rossi, E. (1971). Growth, Change and Transformation in Dreams. Journal of
    Humanistic Psychology, 11, 147-169.
    Rossi, E. (1972a). Dreams in the Creation of Personality. Psychological Perspectives, 2, 122-134.
    Rossi, E. (1972b). Self-Reflection in Dreams. Psychotherapy: Theory, Research, Practice, 9, 290-298.
    Rossi, E. (1972/2000). Dreams, Consciousness, and Spirit: The Quantum Experience of Self-Reflection and Co-Creation;
    3rd edition of Dreams and the Growth of Personality: New York: Phoenix, Arizona: Zeig, Tucker, Theisen.
    Rossi, E. (1973a). The Dream Protein Hypothesis. The American Journal of Psychiatry, 130, 1094-1097.
    Rossi, E. (1973b). Psychological Shocks and Creative Moments in Psychotherapy. The American Journal of Clinical
    Hypnosis, 16, 9-22.
    Rossi, E. (1973c). Psychosynthesis and the new biology of dreams and psychotherapy. The American Journal of
    Psychotherapy, 27, 34-41.
    Rossi, E. (1996). The Symptom Path to Enlightenment: The New Dynamics of Self-Organization in Hypnotherapy: An
    Advanced Manual for Beginners. California: Palisades Gateway Publishing.
    Rossi, E. (2000). In Search of a Deep Psychobiology of Hypnosis: Visionary Hypotheses for a New Millennium.
    American Journal of Clinical Hypnosis, 42, 3 & 4, 178-207.
    Rossi, E. (2002). The Psychobiology of Gene Expression: Neuroscience and Neurogenesis in Therapeutic Hypnosis and
    the Healing Arts. NY: W. W. Norton Professional Books.
    Rossi, E. (2004a). A Discourse with Our Genes: The Neuroscience of Therapeutic Hypnosis and Psychotherapy. Editris:
    Benevento, Italy.
    Rossi, E. (2004b). Art, Beauty and Truth: The Psychogenomics of Consciousness, Dreams, and Brain Growth in
    Psychotherapy. Annals of the American Psychotherapy Association, 7, 10-17.
    Rossi, E. (2004c). A Bioinformatics Approach to the Psychosocial Genomics of Therapeutic Hypnosis. Hypnos, 31:1,
    15-21.
    Rossi, E. (2005a). (Laurent Carrer, Translator & Editor). Cinq essais de psychogénomique: Exploration d’une nouvelle
    démarche scientifique axée sur l’interaction entre l’esprit et la molécule [Five essays on psychosocial genomics:
    Exploration of a new scientific approach to the interaction between mind and molecule]. Encinitas, CA, USA: Trancelations,
    ISBN : 0-9767350-0-8.
    Rossi, E. (2005b). The Memory Trace Reactivation and Reconstruction Theory of Therapeutic Hypnosis: The Creative
    Replaying of Gene Expression and Brain Plasticity in Stroke Rehabilitation. Hypnos, 32, 5-16.
    Rossi, E. (2006). Exploring Qualia as Phenotypes of Psychosocial Gene Ontology: Consciousness as a Novelty
    Responsive Modality Optimizing Brain Plasticity. (Submitted).
    Rossi, E., & Cheek, D. (1988). Mind-Body Therapy: Methods of Ideodynamic Healing in Hypnosis. New York: W. W.
    Norton.
    Rossi, E. & Nimmons, D. (1991). The Twenty-Minute Break: Using The New Science of Ultradian Healing Rhythms.
    New York: Zeig, Tucker, &Theisen.
    Segman, R., Shefi, N., Goltser-Dubner, T., Friedman, N., Kaminski, N., and A Shalev, A. (2005). Peripheral blood
    mononuclear cell gene expression profiles identify emergent post-traumatic stress disorder among trauma survivors.
    Molecular Psychiatry advance online publication 1 February 2005; doi:10.1038/sj.mp.4001636.
    Sklan, E., Lowenthal, A., Korner, M., Ritov, Y., Landers, D., Rankinen, T., Bouchard, C., Leon, A., Rice, T., Rao, D.,
    Wilmore, J., Skinner, J., & Soreq, H. (2004). Acetylcholinesterase/paraoxonase genotype and expression predict
    anxiety scores in health, risk factors, exercise training, and genetics study. Proceedings of the National Academy of
    Scientists, 101:15, 5512-5517.
    Soreq, H. & Seidman, S. (2001). Acetylcholinesterase – new roles for an old actor. Nature Reviews: Neuroscience, 2,
    294-302.
    Squire, L. & Kandel, E. 1999. Memory: From Mind to Molecules. N.Y.: Scientific American Press.
    Sternfeld, M., Shoham, S., Klein, O., Flores-Flores, C., Evron, T., Idelson, G., Kitsberg, D., Patrick, J., & Soreq, H.
    (2000). Excess « read-through » acetylcholinesterase attenuates but the « synaptic » variant intensifies neurodeterioration
    correlates. Proceedings of the National Academy of Sciences, 97, 8647-8652.
    Stevens, C. (2005). Crick and the claustrum. Nature, 435, 1040-1041.
    Tinterow, M. (1970). Foundations of Hypnosis. Springfield, Ill: Thomas.
    Tulving, E. (2005). The Missing Link in Cognition. (Terrace, H. & Metcalfe, J., Eds.), New York: Oxford University
    Press, 3-56.
    Watson, J. & Crick, F. (1953a). A structure for deoxyribose nucleic acid, Nature, 171, 737-738.
    Watson, J. & Crick, F. (1953b). Genetical implications of the structure of deoxyribonucleic acid. Nature, 171, 964-967.
    Weitzenhoffer, A. (2000). The Practice of Hypnotism. 2ed Edition. New York: Wiley.
    Weitzenhoffer, A. (2001). For the record: A commentary on the role of suggestion in hypnosis. American Journal of
    Clinical Hypnosis, 44, 155-157.
    Wetterstrand, O., (1902). Hypnotism and its Applications to Practical Medicine. N. Y.: Putnam. (As quoted in Tinterow,
    1970, pp. 534-535).
    Whitney, A., Diehn, M., Popper, S., Alizadeh, A., Boldrick, J., Relman, D. & Brown, P. (2003) Individuality and
    variation in gene expression patterns in human blood. Proceedings of the National Academy of Sciences,100, 1896-
    1901.
    Wilber, K. (1993). The Spectrum of Consciousness (2nd ed). Wheaton, IL: Quest. (1st ed published in1977)
    Wilber, K. (1997). An integral theory of consciousness. Journal of Consciousness Studies. 4(1), 71-92.
    Witt, D. 1995. Oxytocin and Rodent Sociosexual Responses: From Behavior to Gene Expression. Neuroscience &
    Biobehavioral Reviews, 19: 315-324.
    Van Praag, H., Kempermann, G., and Gage, F. (1999). Running increases cell proliferation and neurogenesis in the adult
    mouse dentate gyrus. Nature Neuroscience, 2, 266-270.
    Van Praag, H., Kempermann, G., and Gage, F. (2000). Neural consequences of environmental enrichment. Nature
    Reviews: Nature Neuroscience, 1, 191-198.
    Van Praag, H., Schinder, A., Christie, B., Toni, N., Palmer, T. and Gage, F. (2002). Functional neurogenesis in the adult
    hippocampus. Nature, 415, 1030-1034.
    Zeig, J. (1980). Teaching Seminar with Milton H. Erickson, M.D. New York: Brunner/Mazel.
    Zeig, J. (Ed.) (1982). Ericksonian Approaches to Hypnosis and Psychotherapy. New York: Brunner/Mazel.
    Zeig, J. (1985). Experiencing Erickson: An Introduction to the Man and his Work. New York: Brunner/Mazel.
    Zeig, J. (Ed.) (1987). The Evolution of Psychotherapy. New York: Brunner/Mazel.
    Zeig, J. (Ed.) (1992). The Evolution of Psychotherapy: The Second Conference. New York: Brunner/Mazel.
    Zeig, J. (Ed.) (1997). The Evolution of Psychotherapy: The Third Conference. New York: Brunner/Mazel.
    Zeig, J. and Geary, B. (2000). The Letters of Milton H. Erickson. New York: Brunner/Mazel.
    Zuo, Y., Yang, G., Kwon, E. & Gan, W. (2005). Long-term deprivation prevents dendritic spine loss in primary
    somatosensory cortex. Nature, 436, 261-265.

  13. Pratiquant moi-même le yoga, j’adhère complètement à cet article. Le stress est un fléau pour notre santé, tout notre corps, y compris nos dents:
    [url=http://www.holodent.com/article-19373638.html]Origines psychosomatiques de la carie[/url]

  14. Le mot yoga est la contraction de yauga, dont le sens est « mettre sous le joug, lier, attacher » du latin jugum, le yoga définit l’idée du « joug », l’objet héritée des Romains, la soumission.

  15. essayer
    Tous les commentaires, soient-ils positif ou négatif sont importantes, par contre avant de dire quoi que ce soit vous devez essayer d’avoir l’expérience de la pratique, n’importe laquelle, même dans un parcours universitaire on doit essayer et faire quelque chose, donc avant de critiquer allez pratiquer et après on verra les résultat que vous avez. C’est comme manger, boire, on sait la sensation d’être bourrez seulement parce qu’on a beaucoup bu, alors allez pratique une demi heure par jour de méditation et après on discute. Critiquer ce qu’on ne connaît pas c’est facile, alors?????

  16. Oui, faites du yoga, buvez, fumez de l’herbe et laisser le monde aller dans sa perdition.

    Essayez de faire du yoga, pendant que le monde soit en plein génocide !!!

    Tous ces libertés, amusement et dérive psychologique, se sont installés dans vos vies, pour vous rendre plus vulnérables et vous éloigner de la réalité.

  17. Faux
    C’est totalement faux, le mot « Yoga », signifie « Union » et n’a strictement rien à voir avec le joug. C’est tout le contraire, puisque le Yoga permet de se sentir bien, en harmonie avec soi-même et ses bienfaits sur la santé sont prouvés par des centaines d’études scientifiques, n’en déplaisent à certains ignorants qui spéculent sur des sujets qu’ils ne connaissent pas. Désolé si je choisis le camp de la science plutôt que suivre l’avis infondé d’un illustre inconnu sur un forum !

  18. Vartan,apparement yoga ne signifie pas joug en sancrit , le mot Yoga et joug ont simplement une origine commune,

    Wikipedia

    Le yoga est l’une des six écoles (ṣaḍdarśana) de la philosophie védique.

    Le terme de « yoga » vient du sanskrit योग. Sa signification est bien plus large que la définition généralement donnée d’union. Sa racine sanskrite yuj[4] se traduit par :

    * Véhicule, équipement, moyen, méthode, convenance, contact,
    * Union, jonction, zèle, soin, concentration d’esprit,
    * Discipline, pratique du yoga, extase ou union mystique, système philosophique du yoga attribué à Patañjali ; il traite de l’univers intérieur de l’homme ou microcosme.

    On voit donc que le yoga est à la fois la méthode, le moyen, et le but.

    Ce mot possède le même radical indo-européen que l’on retrouve dans le français joug (du latin jugum) et l’anglais yoke. Il présente aussi l’idée d’une «union de l’âme individuelle avec l’Esprit universel»[5].[/i]

    Lib

  19. Jésus sauve, Jésus guérit , Jésus remplit de l’Esprit (Saint), Jésus revient .
    Voila ma foi, mon expérience et mes certitudes .
    le yoga , c’est un cataplasme sur une jambe de bois !
    Evidemment, le Diable fera toujours boire des sources empoisonnées qui font un peu de bien au début , mais ça change vite !
    « VOUS SEREZ COMME DES DIEUX » , C’est le yoga !
    IL N’A PAS CHANGE, SATAN EST MENTEUR DEPUIS LE COMMENCEMENT.

  20. « Le Diable fera toujours boire des sources empoisonnées qui font un peu de bien au début , mais ça change vite ! »

    Merci, Vautier, oui, ce royaume avec ces sources brillants et beaux de l’extérieur mais une fois qu’on a gouté on finit empoisonnées (drogué, dépendant : jeux(poker, playstation, pc), tabac, alcool, liberté sexuel….)

    Bonjour Libertus, renseignez-vous sur l’histoire commercial du yoga et vous verrez qu’il n’a qu’un but, c’est de pouvoir amener la religion bouddhiste par un subterfuge du non-stress.

  21. VARTAN, je ne sais pas si tu as remarqué le petit sigle noir au début de cet article :
    ça en dit long sur les accointances spirituelles de l’auteur (à droite de « Flux RSS de santé » !).

  22. Oui, il l’a changé récemment, pour mieux montrer son indignation contre la vérité.

    Vautier, j’aurai aimé avoir des avis de votre part sur ce postes.

    [url]http://www.come4news.com/2007-la-science-se-penche-sur-le-phenomene-des-voyages-astraux-3.html[/url]

Les commentaires sont fermés.