Pourquoi croit-on que le sport n’est qu’une affaire d’hommes ? Tout simplement parce que les femmes n’ont pas eu l’opportunité d’accéder aux compétitions car presque tous les sports étaient exclusivement ouverts aux hommes. Ce n’est qu’à l’époque moderne que les sportives ont pu faire parler de leurs performances.

Le sport fémi­nin dif­fère encore sen­si­ble­ment du sport mas­cu­lin, qu’il s’agisse des dis­ci­pli­nes choi­sies, de l’inten­sité des acti­vi­tés au cours de la vie, des lieux de pra­ti­ques ou encore de l’enga­ge­ment dans la com­pé­ti­tion.

Les femmes sont de plus en plus nombreuses à pratiquer un sport aujourd’hui. Elles ont montré qu’elles étaient capables de réaliser de bonnes performances tant au niveau national qu’international.

Aujourd’hui, tout le monde connaît de grandes sportives comme Christine Arron, Marie-José Pérec ou Muriel Hurtis qui se sont illustrées en athlétisme ou Mary Pierce, ou Amélie Mauresmo, grandes tenniswomen.

Malgré les exploits que peuvent réaliser certaines sportives, le sport féminin diffère du sport masculin du fait qu’il y ait plus d’hommes que de femmes qui participent à des compétitions. C’est pour cela que de nombreux sports apparaissent comme étant exclusivement réservés aux hommes. 

Les femmes sportives sont confrontées à certains problèmes qu’elles seules connaissent comme les problèmes menstruels ou la grossesse. La menstruation n’a apparemment aucun effet majeur sur les performances, cependant dans certains cas, il peut y avoir des variations mais cela reste assez peu fréquent.

Ce qui différencie l’homme de la femme est avant tout sa force musculaire. Les femmes sont plus faibles au niveau supérieur de la taille car l’essentiel de leur masse musculaire est concentré au niveau inférieur de la taille.

C’est la seule différence entre eux car homme et femme ont les mêmes capacités en ce qui concerne la contraction musculaire.


Les seules variations qui existent entre homme et femme sont des données initiales comme la taille, le poids, la masse musculaire ou la force, qui sont généralement supérieurs chez l’homme. Les femmes ont plus de tissu adipeux que les hommes, cela les favorise dans des sports comme la natation mais qui les désavantage grandement en athlétisme, et notamment dans des épreuves de saut.