Valery Giscard D'Estaing, Lionel Jospin..Une coalition pour l'une des plus grandes erreurs politiques : la naissance du QUINQUENNAT.

Jacques Chirac dans le rôle pernicieux du consultant quasi "honorifique" (..).

Un retour du septennat ?

Un statut "honorifique" pour le poste de Président de la république ?

QUINQUENNAT vs SEPTENNAT…

Ou la fausse excuse de la COHABITATION…Certains assurent que le quinquennat, en accouplant l’élection présidentielle et les élections législatives, donne une chance de clarification du jeu démocratique.D’autres, dont je fais partie (bonjour Dominique !), y voient plutôt un risque de personnalisation du pouvoir et incidemment le laminage du pluralisme politique.Le quinquennat n’est-il pas tout simplement la semence d’un règne présidentiel pur et dur. Si l’on reste logique, il faut constater que le quinquennat booste le régime des partis, surtout majoritaires, comme le PS et l’UMP.  Une inversion du calendrier électoral, et qui finalement conduit vers une « peopolisation » et une « médiatisation » à l’extrême. Je constate que l’élection présidentielle rythme la vie politique, au détriment des considérations sociales et internationales, et cela n’est pas réfutable, surtout au vu du marasme qui s’étend sur tout notre territoire. La concomitance de ces deux élections ne peut que conduire à un appauvrissement du pluralisme politique. Certains réclamant dans cette optique « négative », que les élections législatives deviennent  quadriennales, de quoi donner une impression d’avoir la classe politique, en perpétuelle campagne électorale. Bonjour les conséquences d’un tel projet (..).Une analyse de DIDIER MAUS :« Si la logique du quinquennat s’impose au profit de la primauté restaurée du Président de la république, l’interprétation parlementaire de la Constitution, favorable au Premier Ministre, aura de moins en moins de chances de s’affirmer. »A ce titre je vous donne le lien vous permettant de lire cet article complètement :http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/quinquennat/didier-maus-shtmlLe quinquennat ne cesse de démontrer son inefficacité, illustré par l’omnipotence de Nicolas Sarkozy, tant décriée (..). La Constitution est une loi fondamentale, et à ce titre, qui se doit d’être stable, et cela pour une raison essentielle : l’enrichissement de la nation. Certes les institutions sont améliorables. La conséquence première du quinquennat est la bipolarisation. Insidieusement les petits partis sont étouffés par les deux mastodontes, qui par le biais de « partenariat » ne font qu’accentuer cette notion, qui se révèle antidémocratique, par ses conséquences néfastes sur le paysage politique.Je ne possède pas la culture politique de mon ami Dominique Dutilloy, j’expose à ma manière, la dangerosité de ce que représente le quinquennat. A ce titre je m’interroge et je me demande, si tout simplement il ne serait pas judicieux d’appliquer un statut « honorifique » au poste de Président de la République, (comme en Allemagne ou en Italie) redonnant ainsi les pleins pouvoirs au Parlement par l’entremise d’un Premier Ministre, de nouveau responsabilisé. De la manière dont se déroule la présidence sarkozienne, on pourrait très bien qualifier le Président de « monarque républicain. Un autre témoignage, de Pierre Pascallon, venant conforter notre opinion négative du quinquennat :http://gaullistes.free.fr/spip.php?article30Chacun son opinion, du quinquennat au septennat, en passant par un statut honorifique du Président de la République. En espérant que le débat reste dans la courtoise, même si les accords divergent. Bien évidemment, si la situation appelle au changement, cela doit s'effectuer per voie référendaire (..). MOon secon lien ne fonctionnant pas, je vous envoie le lien du blog de Pierre Pascallon, ou se trouve cet article :

http://www.wmaker.net/pascallon/