Depuis longtemps, le suicide est un phénomène très présent dans diverses sociétés, causant de la tristesse et de l’incompréhension au sein de la population. Étonnement, malgré ce que plusieurs personnes pourraient croire, ce n’est pas seulement dans les pays en difficulté que les taux de suicide sont les plus élevés. Il y a en beaucoup aussi dans les parties du monde où la vie est disons plus facile, comme en Amérique du Nord. En effet, le nombre de suicides au Canada et aux États-Unis sont parmi les plus élevés au monde. Mais pourquoi autant de monde voit le suicide comme l’unique façon de régler leurs problèmes? Pourtant en Amérique du Nord, nous bénéficions de plusieurs moyens pour nous aider à surmonter les difficultés. Il faut croire que les centres d’aide, les services et institutions psychologiques, les conseillers pédagogiques et bien d’autres n’ont pas l’air de suffire pour freiner les suicides. Alors que pouvons-nous faire de plus?

Tout comme certains thérapeutes, je partage l’idée que le meilleur moyen pour diminuer le nombre de suicides passe par une modification de notre attitude par rapport aux problèmes des autres. Car un autre problème dans le monde occidental, c’est l’individualité, souvent on se focalise trop sur nos problèmes et on oublie qu’il y a des gens dans notre entourage qui souffrent. En arborant un tel comportement, il est normal que les personnes ne viennent pas nous parler de leurs problèmes, car ils savent qu’on ne pense qu’à nous, Je ne dis pas que tous les occidentaux sont comme ça et aussi je n’affirme pas que nous tous arborer une nouvelle attitude, mais si nous essayons de penser plus aux autres, qui sait, peut-être que graduellement nous pourrions empêcher certaines personnes de s’enlever la vie. Toutefois, tout ça est une hypothèse, car comme je l’ai dit au début de ce texte, les causes du suicide ne sont pas toujours simple en déceler. Malgré tout, cela nous empêche pas d’adopter une attitude moins égocentrique, mais plus empathique, à partir de là il ne reste qu’à attendre et voir les conséquences de cette nouvelle attitude.