Une fois n’est pas coutume, un homme de Dieu" vient de provoquer une polémique. Le sujet de la polémique, le fait que les femmes seraient responsables et non victimes des violences conjugales qu’elles dénoncent haut et fort…

Jeudi 27 décembre, un prêtre de l’Eglise catholique, lors d’une interview a dénoncé le fait que les responsabilités seraient partagées dans bien des situations de violences conjugales. Le prêtre italien Piero Corsi officie depuis des années dans un petit village du nord de l’Italie, San Terenzo di Lerici. Selon ses dires, les femmes sont responsables en ce point qu’elles arborent de plus en plus de tenues jugées indécentes qui par la suite attise l’envie des hommes et par conséquent la violence et les abus sexuels. De plus, souligne t’il, les femmes oublient de s’occuper de leur famille au profit de leur bien être extérieur et professionnel…

"Posons-nous la question: est-ce possible que les hommes deviennent tous fous tout d’un coup ? Nous ne le croyons pas. Le noeud du problème est que les femmes sont de plus en plus provocantes, voire arrogantes. Elles croient pouvoir tout faire toutes seules et finissent par exacerber les tensions. Combien de fois voyons-nous des jeunes filles, voire des femmes d’âge mûr, déambuler dans les rues dans des tenues provocantes et moulantes ? Des nouveaux-nés négligés, des maisons mal tenues, des repas froids, des vêtements souillés. Quand une famille finit dans cette pagaille et se tourne vers le crime – une forme de violence qui doit être condamnée avec fermeté, la responsabilité est souvent partagée"

Voilà l’objet du prêche qui fait tant débat en ce moment en Italie. Au risque de choquer certaines personnes et bien je dois avouer être bien de son avis ! En effet, si vous passez devant un collège ou lycée à l’heure de la sortie, il n’est pas rare de voir des jeunes adolescentes arborer des tenues relativement choquantes ! On les prendrait volontiers pour des jeunes femmes de vingt ans et elles passent  pour ce qu’elles ne sont pas nécessairement. Idem pour certaines mères de famille… J’ai récemment été "choquée" oui je le dis de voir une jeune maman d’une trentaine d’année emmener son petit garçon à l’école en mini jupe (mais vraiment mini) sans collant et avec talons aiguilles à cette époque de l’année… L’émancipation de la femme lui a certes été bénéfique, mais elle en oublie ses premières fonctions de femme, épouse et mère. L’accent est bien plus mis sur la réussite professionnelle ou encore sur le paraître que sur l’essentiel. 

En voilà au moins un qui ose dire tout haut ce que bon nombre pensent tout bas ! A s’habiller comme des prostituées, il ne faut pas s’étonner que le nombre d’agressions sexuelles augmente.