Les urnes ont parlé et les Français, à la grande majorité viennent de donner les « pleins pouvoirs » à notre président, au premier tour des législatives. Le constat est clair, la France met au pieds du mur le Président François Hollande qui a  promis à son électorat de résorber la dette de l’état, de redresser l’économie de la France et de rétablir un pouvoir d’achat satisfaisant.


 Condamné, il l’est, à réussir son pari car il n’y aura pour lui et son parti politique aucune tolérance et aucun échappatoire. Aucune excuse ne sera admise quant au résultat des futurs mesures que mettra en place son gouvernement. Les Français ont voté pour sortir de cette crise qui n’en finit pas, en donnant tous les pouvoirs à son président en qui ils mettent tous leurs espoirs. L’issue du 2ème tour permettra à l’assemblée nationale de faire voter les lois proposées par le gouvernement.

Dans 5 ans, notre président passera devant des jurés populaires qui éplucheront dans le détail, les mesures de redressement prises sous son quinquennat et surtout les résultats obtenus. Le challenge est de taille puisqu’il est l’avenir même du parti socialiste et de son aptitude à diriger un pays et à redresser une économie à la dérive.

 Mr François Hollande n’a pas le droit de décevoir son pays qui lui donne aujourd’hui sa confiance totale. Il reçoit aujourd’hui un pays industriellement ruiné et fait un début de quinquennat remarqué en prenant immédiatement des mesures attendues et promises : pas de gala d’investiture en grande pompe ni même de collation au « fouquet’s », des déplacements comme monsieur tout le monde, en train et en voiture, de multiples visites en pays étrangers pour expliquer la nouvelle politique de la France et montrer aux dirigeants du monde sa détermination, l’annonce d’un retrait d’Afghanistan de l’armée française, déclarée ouvertement lors d’un entretien avec le président des états unis, sa prise de position sur les événements syriens auprès du président Vladimir Poutine et les premières mesures économiques et sociales : diminution immédiate des salaires de la présidence et du gouvernement, retour à la retraite à 60 ans, blocage des loyers et augmentation du smic. Son attitude volontairement « Normale » contraste avec le Faste de la présidence « Sarkozy ». Les Français apprécient et sont derrière leur leader à qui nous souhaitons un excellent quinquennat