Le portrait du politicien du troisième millénaire

L’ère que nous vivons, disent les astrologues, est celle de la connaissance, de la vérité, de la communication et de l’excellence.

Celui qui aspire à la politique doit prendre en considération toutes ces données pour être un exemple dans sa sphère afin de réussir la mission qui lui  est destinée.

Au-delà de ses connaissances en sciences politiques, il doit être un homme qui ne se focalise ni sur sa fibre ethnique ni sur sa religion pour attirer la masse autour de lui.

Il doit être le garant de la constitution de son pays et la respecter, en proscrivant dans son programme de candidature à la magistrature suprême l’utilisation des armes pour y arriver. Sans oublier son esprit d’ouverture vers tous les pays du monde, sans exclusion aucune. Car aucun pays ne peut vivre sans l’autre.

L’histoire du monde a montré que la plupart des chamboulements, des guerres que nous avons vécus ont été le fait des politiciens. Leur désir effréné pour l’argent, la surestimation, les a amenés à utiliser des idéologies meurtrières pour leurs peuples, profitant de leur analphabétisme.

Le politicien du troisième millénaire doit être le contraire  de son homonyme des temps antérieurs. Il faut qu’il mette sur pied une politique qui conscientise sa population sur l’importance de chaque métier à exercer, l’amour à y mettre pour être au sommet. 

Par sa manière de gouverner, d’amener sa population à s’intéresser à la lecture, à l’initiative privée au détriment de la bureaucratie, il parviendra à créer une nation forte dont les habitants pourront prendre la relève dans les élections présidentielles futures. Ainsi il fera mentir ceux qui ont toujours eu des mauvais clichés des hommes politiques !

 

                                                                                             Constant Ory, Ecrivain.

 

 

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