L'économie est en crise. La finance est en crise, les constructeurs automobiles sont en crise, et des centaines de milliers de personnes pourraient bien perdre leurs emplois aux Etats-Unis du fait de cette crise du secteur automobile.
Et pourtant, ces crises qui sont toutes en rapport les unes avec les autres pourraient bien finir par avoir quelques avantages quand même.
En effet, aujourd'hui les prix du baril de pétrole étaient encore à la baisse sur les marchés mndiaux. Ainsi à Londres le baril est tombé jusqu'à 50,60 dollars, alors qui'l baissais à 54,67 dollars à New York.
C'est deux fois moins que les prix qu'il atteignait en début d'année 2008, et trois fois moins que ses plus hauts historiques enregistrés en juillet de cette année. De fait, les pays membres de l'OPEP (Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole) envisageraient de baisser de nouveau leur production journalière, dans le but d'endiguer cette chute des prix.
Cependant, la diminution constante ces derniers mois de la consommation dans les pays développés pourrait tout de même permettre une baisse des rix encore plus importante. Et bien que les prix dans les stations services soient eux aussi à la baisse, la consommation ne repart pas.
Cela pourrait bien montré que les automobilistes ont pris conscience de leur besoin de se passer de leur voiture autant que possible. Car quelque soit le prix du litre de carburant, une consommation en baisse, ce sont toujours des économies, aussi faibles soient-elles.
[img]http://www.blogoutils.com/images/a1.gif[/img]Il est Vrai, que la baisse du baril de pétrole, ne changera guère les habitudes que commencent à prendre les Français, de n’utiliser leurs véhicules que lorsqu’il n’est pas possible de faire « autrement »
Mieux encore le co-voiturage se développe e plus en plus : belle économie, puisque les frais sont partagés, et une convivialité qui ne peut qu’être bénéfique!
C’est bien plus agrable de voyager à trois ou quatre dans un véhicule, que de se morfondre suel dans les embouteillages!!
Mais celà, n’empèchera pas l’industrie automobile de licencier à tout va.
La vente des automobiles neuves est en chute libre!
De nombreux licenciements ou « chomages économiques » se font sentir chez tous les constructeurs!!.
Un seul « bémol », le fioul, devrait baisser, et le foyers les plus démunis pourraient enfin passer un hiver « au chaud »!
SOPHY
L’Energie ?
Bien vue jcd51 et Sophy le fond du problème s’est que le seul qui ne veux pas perdre
s’est bien sur nos politiciens vorace qui augmente tout les budgets de fonctionnements
et donc « on ne peu baiser « et comme les caisses sont vide les régions avec des charges
nouvelles et un manque de redistribution de la part de l’État ,l’or noir va voir les
taxes augmenter et donc pour une vrai baise des prix il faudra surement attendre beaucoup plus longtemps (il est très difficile de revenir en arrière)
>:(
le pétrole se rapproche des 20 $ et l’iceberg se rapproche du Titanic !
Iceberg????????Quel iceberg? La calotte est décalottée!
😀
On peut sans doute sourire aux propos de René Ricol avertissant qu’il allait dénoncer – menace suprême ! – à Nicolas Sarkozy les banques qui refuseraient d’octroyer des crédits. Ils manifestent le désarroi d’autorités qui, si elles sont parvenues à interrompre la chute vers les abysses, ne savent toujours pas comment elles parviendront à relancer la machine économique et financière, tant les dégâts sont importants.
Cette première phase aigue de la crise financière semble derrière nous. Mais ce n’était pourtant que le prologue de ce qui s’annonce aujourd’hui. La pire récession jamais vue depuis les années 1980, avec son lot de faillites, de chômage et de misére sociale.
Et ce deuxième round est abordé avec un lourd handicap.
La BCE et l’ensemble de l’Eurosystème a atteint un bilan consolidé de 2 031 milliards au 31 octobre, dont 839 sous forme de prêts accordés aux banques.
La Fed et la BCE, les deux quartiers généraux de l’opération de sauvetage désespérée de l’économie et de la finance mondiale sont chargées à ras-bord de créances douteuses déposées en gage des refinancements qui se traduisent déjà côté US par une augmentation de la dette de plus de 900 milliards en deux mois.
Le risque est grand de ne pouvoir soutenir encore longtemps ce rythme effréné de la valse des centaines de milliards engloutis dans les renflouements pour soutenir le cours d’actifs dévalués et invendables et venir en aide aux entreprises de l’économie réelle étranglées par la dette et l’effondrement de leur chiffre d’affaire, comme l’illustre la situation de General Motors qui a annoncé qu’elle serait à court de trésorerie avant la fin de l’année à défaut d’un soutien de l’Etat.
En l’absence de la mise en place d’une solution extraordinaire de refinancement à coup de Droits de Tirage Spéciaux – sorte de super monnaie qu’imprimerait le FMI – ne resterait alors face au coup de ciseau de la déflation des actifs et du ralentissement économique que l’arme ultime de liquidation de la dette, l’inflation généralisée.
Pétrole à 56.55 $ le baril ce jour
(les prix à la pompe ne reflètent pas la baisse )
soit 44.67 € le gallon
le gasoil devrait etre vendu 86 ct le litre
vu aujourd’hui à 1.09 €
difference in the pocket de Total !!!
Dans les échanges électroniques suivant la fin de la séance, il a touché 53,96 dollars, un nouveau plus bas depuis janvier 2007.
Les prix du pétrole ont terminé sous les 44 dollars le baril jeudi à New York, revenant ainsi à leurs niveaux de janvier 2005, dans un marché qui continue de craindre une contraction prolongée de la demande en raison des difficultés économiques.
soit 34 € le baril
« le pétrole se rapproche des 20 $ et l’iceberg se rapproche du Titanic ! «
Le pétrole est tout proche du seuil de 40 dollars vendredi, les chiffres désastreux de l’emploi américain ayant conforté le scénario d’une contraction de la demande pétrolière jusqu’en 2009 et précipité les prix jusqu’à 40,72 dollars à Londres et 42 dollars à New York.
et pendant ce temps là le gaz ne baisse pas !!! :
« Des réservoirs géants pleins à ras bord, des tankers à quai servant à stocker le brut qui ne trouve pas preneur… Ces images d’un monde débordant d’or noir commencent à devenir réalité. La forte baisse de la demande et la surabondance – temporaire – d’hydrocarbures ont entraîné une chute des cours. Le brent de la mer du Nord pour livraison en janvier est tombé à 39,50 dollars, vendredi 5 décembre, à Londres – son niveau de janvier 2005 – très loin du record de juillet (147,50 dollars). Le light sweet crude coté à New York a clôturé à 41,66 dollars. En cinq jours, le baril a perdu 20 % de sa valeur. »
Il faudrait surtout supprimer la Taxe Intérieure sur les Produits Pétroliers (TIPP),
[b]effectuer une baisse généralisée de la TVA sur tous les produits et services sans exception, pour la ramener à un taux raisonnable de 5,5 % !
Par ailleurs, il n’aurait jamais fallu privatiser EDF et GDF, l’Energie devait rester aux mains de l’Etat !
Puis, l’Etat devrait financer beaucoup mieux les recherches sur les carburants « propres » pourvu qu’ils ne soient pas issus de produits destinés à la consommation alimentaire humaine et animale… Pourquoi, par exemple, ne pas faire des recherches approfondies sur l’énergie solaire et sur l’énergie électrique de manière à ce que des véhicules aient un long rayon d’action sans être obligés de recharger les batteries tous les 100 km ?
Que de pistes à exploiter ![/b]
Whaoooou ! 36$ le 18/12/08 multiplié par 0.7($ —>€)
résultat 25.2 € le baril
ma « prophétie » est en train de se réaliser :
…
le pétrole se rapproche des 20 $ et l’iceberg se rapproche du Titanic !
les banques d’affaires Merrill Lynch et Goldman Sachs s’attendent à ce que les cours tombent prochainement à 30 dollars.
GdF et ce « bon » gouvernement nous roulent dans la farine. Au prétexte que le prix du pétrole augmentait régulièrement (le cours du baril de brut passant de 40 $ en 2005 à 150 $ en Juillet dernier), le prix du gaz a suivi, sous couvert de ce gouvernement. Le cours du brut revenu à 40 $, si ce gouvernement était juste, le gaz serait déjà revenu à son tarif de 2005. Mme Lagarde se garde bien de réagir. En attendant, GdF s’empiffre et le cours de l’action flambe !! La crise ? Pas pour GDF !!!!