Tout un chacun connaît c’est certain le légendaire « Permis de Tuer » extrait de l’œuvre littéraire de Ian Lancaster Fleming, le père de l’espion le plus connu du monde à savoir James Bond.
Le permis de tuer, un droit qui fait office de nombreuses controverses à travers le globe tant les règles législatives en la matière différent d’un pays à l’autre. En effet, bien que le droit de tuer autrui soit interdit à tout individu et cela dans tous les pays du monde, certaines formes « d’homicides » continuent elles d’avoir le droit de citer tandis que d’autres commencent à émerger sous la pression de l’opinion publique. Pourtant, quelles sont aujourd’hui les principales différences qu’il est possible de constater entre ces divers formes d’homicide légaux, et quelles sont les avancées possibles aujourd’hui concernant celles-ci? Quel regard la population porte-t-elle sur ces « homicides » législativement acceptables? Le permis de tuer est-il en passe d’être généralisé, ou le cas échéant de disparaître?
Il faut savoir en préambule qu’il existe diverses situations dans lesquelles la mort peut être considérée comme légale à travers les législations du globe, voir presque banale par le corps législatif mondial. Dans tous les pays l’équation n’est pas la même, pour autant toutes les nations ont pour points communs ces mêmes morts, qu’elle soient légales ou non. Euthanasie, Peine de mort , telles sont les diverses situations portant à controverse dans le monde actuellement.
L’Euthanasie
Si il est une mort provoquée par autrui qui suscite de plus en plus la polémique populaire, c’est bel et bien l’euthanasie. Il faut savoir avant toutes choses, qu’il existe, lorsque l’on parle d’êtres Humains, pas moins de deux formes d’euthanasie, ou dans un jargon plus politiquement correct, de "mort assistée" :
L’euthanasie active
L’euthanasie passive
Si l’on se réfère à la plus célèbre des encyclopédies de la toile, l’euthanasie est une pratique ayant pour but de donner la mort à autrui sous la condition que ce dernier souffre d’une maladie incurable lui infligeant des douleurs physiques ou morales intolérables, et se pratiquant particulièrement sous le regard du corps médical.
Il faut savoir qui plus est, que l’euthanasie est un terme regroupant bien des formes de morts assistées ou provoquées. On regroupe par exemple sous ce terme « générique », les suicides assistés, l’arrêt de l’acharnement thérapeutique, l’euthanasie volontaire,ou finalement l’euthanasie non-volontaire selon deux critères (accord préalable à une incapacité immédiate du patient de prendre une décision).
L’euthanasie (signifiant étymologiquement « La bonne mort) est un concept médical qui depuis la Grèce Antique déjà pose problème. Un problème avant tout de conscience collective et personnel, entre les pros-euthanisie mettant en avant la nécessité de vivre une vie correcte et l’inutilité de vivre une vie maladive, et les anti-euthanasie qui eux se défendent de donner volontairement la mort, à l’instar d’Hyppocrate fervent adorateur de la vie et opposant à cette forme d’assistanat au décès ( « je m’abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, si on m’en demande, ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion » )
Les différentes formes d’Euthanasie
Comme nous l’avons vu en préambule, l’euthanasie connait aujourd’hui diverses formes d’applications. Outre l’euthanasie directe (= active) que tout un chacun connait au travers de divers documents de supports divers et variés, il existe aussi des formes moins connues mais qui pourtant reste sous le joug de l’euthanasie.
Les suicides assistés : Pratique consistant à fournir à la personne le désirant, un environnement et les moyens nécessaires à sa propre mort, qu’elles que soient les motivations de cette dernières. De façons claires, cela consiste à fournir au malade le souhaitant les produits lui permettant de mettre fin à sa propre existence. Dans ce cadre, c’est la patient lui même qui fait office de bourreau de sa propre vie, s’ôtant délibérément toutes formes d’existence, sans l’intervention directe d’un tiers.
Les suicides assistés sont comparables à la notion de « mourir dans la dignité »,
L’arrêt de l’acharnement thérapeutique : Pratique consistant à mettre un terme à toutes les formes de procédures médicales lourdes et pénibles pour le patient qui le désire, et qui se trouve en situation de mal incurable et insurmontable physiquement et moralement pour lui. L’arrêt de procédures exagérément lourdes (et surtout inutiles) pour le patient qui le désire, engendre à termes une mort pour le dît patient en l’absence de procédures médicales. Une mort à petits feux en réalité pour les patients ayant décidé de ne plus poursuivre le traitement médicale dont ils font l’objet.
L’euthanasie volontaire : Pratique demandée par le patient lui même (lorsqu’il est conscient et apte à se prononcer mentalement et psychologiquement), lui permettant de demander « une mise à mort » volontaire. C’est la forme d’euthanasie la plus connue, mais aussi la plus controversée. L’euthanasie active consiste à mettre un terme de façon immédiate à la vie d’une personne dès lors que cette dernière en a fait la demande et que cette dernière a été acceptée.
L’euthanasie non-volontaire : Pratique s’établissant dès lors que le patient n’a plus les moyens psychologiques d’émettre lui même la demande, et qu’une tierce personne se prononce en son nom. Deux solutions possibles dans cette « catégorie », à savoir, soir le patient à lui même émit le souhait avant même de ne plus pouvoir le faire pour des raisons médicalement diverses et variées, soit celui-ci ne s’est pas prononcée du tout sur la question, et une tierce personne agit totalement au nom du patient. Pour la seconde solution, l’avis du patient n’est en rien prit en compte, et la controverse existe, notamment sur cette incapacité à se prononcer et à s’opposer à cette mort précipitée. Des dérives en tous genres sont possibles, ce qui alimente à travers le monde les débats les plus animés.
La Position de la France
Il faut savoir dans un premier temps, que historiquement la France n’a pas toujours été opposée à ce genre de pratiques.
En effet, les Celtes pratiquaient de leur temps cette forme de mort assistée, les Gaulois eux mêmes s’en remettaient à Sucellos le « Dieu au Maillet » pour abréger les souffrances de leurs contemporains, tandis que les Vannetais (Armorique) s’en remettaient eux jusqu’au Xxème siècle à « Mel Beniguet » (maillon bénit) pour ôter la vie des personnes dont la mort se faisait longue à la demande notamment de la famille et sous l’autorité bienveillante d’un prêtre.
Législativement, la position de la France est aujourd’hui tout à fait à l’opposé de ces pratiques ancestrales, radicalisant complètement ces morts précipitées, et interdisant toutes formes de morts assistées. En simple, la France refuse aujourd’hui toute aide ayant pour but d’engendrer directement ou indirectement la mort d’autrui. Considérée comme un homicide volontaire prémédité (assassinat et/ou empoisonnement), l’euthanasie (sous toutes ses formes), est répréhensible et sanctionnée de 30 années de réclusions criminelles.
Une législation qui ne cesse d’être remise en question depuis quelques années, tant les affaires d’euthanasies au sens large pullulent dans les médias et dans les palais de justice de l’Hexagone.
Qui n’a pas entendu parler des cas Vincent Humbert ou encore Chantal Sébire? Deux personnes dont les maux étaient si grands qu’elles avaient fait le choix avec leurs dernières forces de quémander leur propre mort. Que dire par ailleurs du cas Rémy Salvat qui atteint d’une maladie dégénérative non curative avait directement demandé par courrier au Président son euthanasie active mais qui s’est lui aussi heurté à un refus législatif?
Aujourd’hui il faut savoir que sur le sol français il n’existe pas à proprement parlé de loi concernant l’euthanasie, cette dernière était sur le plan pénal assimilée comme nous l’avons vu à un homicide volontaire et donc régie par l’article 221-5 du code pénal : " Le fait d’attenter à la vie d’autrui par l’emploi ou l’administration de substances de nature à entraîner la mort constitue un empoisonnement. L’empoisonnement est puni de trente ans de réclusion criminelle. Il est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu’il est commis dans l’une des circonstances prévues aux articles 221-2, 221-3 et 221-4. Les deux premiers alinéas de l’article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à l’infraction prévue par le présent article."
L’euthanasie active étant considérée comme un homicide, toute personne participant à cette procédure est derechef considérée comme « complice » et du fait s’expose au même sanction qu’une personne accusée de complicité de meurtre.
Une première partie qui nous a permis d’expliquer et comprendre les diverses formes d’euthanasies existantes. Le débat publique est animé lorsque l’on parle de cette "mort assistée et choisie", et nous tenterons de comprendre pourquoi cette forme de décès est autant sujette à controverse dans la seconde partie liées à l’euthanasie (= "mort assistée), avant d’aborder ensuite le sujet non épineux de la peine de mort, qui ces dernières semaines encore à agiter l’opinion publico-médiatique tout en soulevant une fronde digne des plus belles levées de boucliers sur la toile.
A lire également : "Le Permis de tuer" bientôt légalisé? Partie 2 : L’Euthanasie, Législations du monde et argumentations.
[b]Bonjour Supertitom,
Voilà un vaste débat qui n’en fini pas de faire couler de l’encre mais surtout des hypocrisies.
Permis de tuer, non! mais euthanasie, oui!
Oui sous certaines conditions afin que celle-ci ne soit pas détournée de son objectif premier qui est d’épargner d’horribles souffrances à des malades par exemple.
J’ai en mémoire une personne que j’ai vue agoniser sur son lit d’hôpital durant une semaine, son cas était désespéré et la maladie irréversible (cancer de l’œsophage en phase terminale) et malgré toutes ces drogues qui lui étaient administrées, souffrait quand même le martyr. Ses yeux exprimaient cette douleur intense et implorait quelque humanité.
Mais la loi est la loi, et elle n’autorise ces gens dans le malheur qu’à souffrir!
Ces gens qui font les lois, qui interdisent l’euthanasie mais qui n’hésitent pas à s’octroyer le droit de vie ou de mort envers leurs citoyens avec leur politique qui les conduit directement à la misère, seront peut-être confrontés un jour à cette souffrance…..mais çà, ils n’y pensent même pas, car comme pour leur petite vie , ils pensent avoir ce pouvoir qui les place au dessus de tout….
C’est vrai que l’on prend plus soin des animaux que des Hommes dans ces cas là. Et pour eux on ne se pose pas de question. On pourrait au moins se les poser pour les humains non?
Amitiés
Ludo[/b]
Salut supertitom !
Euthanasie, that is the question ! La seule chose que je peux dire est que je suis favorable. On est en droit de décider de son sort. Maintenant, où se situe la frontière ? Là est la difficulté. Pourquoi ? Quand ? Comment ? Pas le temps de répondre plus, boulot boulot ! Alors à bientôt !
[b]Ludo,
merci à toi d’avoir inauguré cette nouvelle série, sourires.
Un vaste débat c’est certain, mais comme tu le sais, l’expression « Permis de Tuer » était avant tout provocatrice, car bien évidemment je ne prône pas le meurtre à tout va, restons censé, sourires.
L’euthanasie effectivement a pour vocation d’abréger non seulement la vie, mais aussi les souffrances physique et/ou morales ressenties par les personnes « malades ». Cependant le risque de voir d’importantes dérives est omni-présent et c’est très certainement l’une des raisons qui fait qu’aujourd’hui le débat est aussi houleux.
Voir des personnes que l’on aime (ou non) ou que l’on connait (ou non) souffrir mille maux est un véritable crève-coeur pour tous le monde j’en suis certain, et c’est sur ce point que la loi est mal faite selon moi. « On achève bien les chevaux » comme dit l’expression, et jadis la pratique était usuelle en France pour abréger les souffrances des malades en fin de vie, donc pourquoi ne pas accepter cet héritage en fin de compte? Est-ce immorale de vouloir abréger les souffrances de quelqu’un qui souffre? Est-ce moins immorale de le regarder souffrir durant des semaines avant « qu’enfin » la mort l’emporte?
Amitiés
Tom[/b]
[b]Nathalie,
merci d’être venu toi aussi te joindre au débat.
Euthanasie or not euthanasie? That is the question, je suis tout à fait d’accord.
Tout un chacun devrait pouvoir décider de sa propre destinée, j’en conviens, mais dans la société dans laquelle nous vivons, sommes-nous en droit de demander ce droit? Comme tu le précises de part tes questions, il est vrai que les énigmes sont légions concernant la mise en application d’une telle procédure, que cela soit au niveau des conditions d’applications ou encore des limites de cette dernière.
Pour autant, nos législateurs ont-ils cherché pour le moment à se poser ces questions ou ont-ils éludé l’ensemble du thème pour redonner ce dossier brûlant aux futurs décideurs?
Amitiés
Tom[/b]
Vous avez l' »art » de toucher des sujets sensibles ou douloureux !
J’espère que ce n’est pas pour faire du chiffre !
[b]Véritas,
Merci de votre (ta?) visite.
Je pense que vous me connaissez un peu mieux que cela maintenant, et bien que vous sachiez que j’aime polémiquer sur des sujets brûlants que peu osent aborder (par crainte sans doute), je ne cherche pas à faire du chiffre. Si d’aventure je voulais faire du chiffre, j’irais faire de l’actu à chaud sur un autre site ou mon taux de visite par article est 30 à 40 fois plus élevé en moyenne. Sur C4N, je ne cherche en rien à faire du nombre mais juste à poser les bonnes questions, à faire réfléchir les gens, et à échanger dans des conditions qui pour moi sont optimales.
Je ne sais pas après si c’est de « l’art » mais vous savez que je n’aime pas faire comme tout le monde et puis écrire sur les mêmes sujets que tout un chacun ne m’intéresse pas outre mesure, je préfère de loin aborder des sujets moins faciles à traiter tout en apportant une vraie information à mes lecteurs (enfin à ceux qui ont le courage de me lire je devrais dire).
Amitiés
Tom[/b]
[b]Pour les personnes qui le souhaitent, la suite sera disponible et normalement en ligne avant le week-end. [u]Une suite avec au programme :[/u]
Les avancées Françaises en matière de « mort assistée »
Un point sur l’euthanasie dans le monde
Les arguments pour et contre à propos de la « mort assistée ».
Tom[/b]
L’euthanasie ou encore l’aide au suicide, à la mort…Il est vrai que le sujet est Tabou … Pour faire plaisir à Veritas, 5 eme commandement « tu ne tueras point », donc acte puni pénalement, civilement, moralement…
Sauf, que, petite fille, j’ai vu, agoniser pendant de longs mois, un proche, atteins d’un cancer du l’œsophage. Cette personne, vaillant pompier avant que cette maladie s’accroche annonçant sa mort, s’est vu diminuer, de jours en jours et devenir que l’ombre de lui même. Son regard, voulait dire beaucoup… Alors , cet acte, dans certain cas peut être envisageable, pour ma part…
Témoignage personnel pour la première fois … Mais pour autant qui prête a réfléchir. Tout se qui ne tue pas, nous rend plus fort, euh pas toujours, et cet exemple est un, parmi tant d’autre.Comme de jeune gens ou autres qui deviennent inaptes à tout, à part ouvrir les yeux…A voir.
Cette pratique ou considéré comme crime pour certains, ne peut pas être dénuée de sens, Pour éviter de souffrir, mentalement et psychologiquement. Bien entendu, ceci doit être encadré de toutes parts, mais ne doit pas être prohibé, ça s’est sur…en tout cas pour moi.
Mademoiselle
[b]Mademoiselle,
je te remercie pour ta visite sous ce texte et pour ce partage d’expérience qui prête grandement à réfléchir.
« Oui » la vie parfois mériterait un meilleur sort, et dans le cas que tu nous cites, que savoir des pensées profondes de cette personne. Voir nos proches diminuer alors que jadis ils étaient les fers de lances de l’équilibre familiale est difficile, insurmontable, inhumain, pour eux comme pour nous.
Beaucoup de personnes, jour après jour, deviennent suite aux aléas d’une vie injuste les marionnettes de leur propre corps, sans pouvoir réagir, ni combattre suffisamment. Si je peux te conseiller un film ou un livre qui résume bien ce type de combat et de non décision terrible, [u]je te conseillerais les oeuvres suivantes :
[/u]
« Je vous demande le droit de mourir », Livre
« Vincent Humbert, de l’enfer au Paradis Blanc », Livre
« Marie Humbert, l’amour d’une mère » pour le film.
Franchement ces oeuvres sont absolument magnifiques, saisissantes, enivrantes.
Amitiés
Bisous
Tom[/b]
Lu et vu ………………………………
Mademoiselle 🙁
pour ses pensées profondes, il aurait preferé PERIR au feu ……………
Salut Tomy,
Ton article me fait froid dans le dos ,c’est vrai que c’est un vrai problème…continuer à vivre dans la souffrance…?
Il faut pouvoir vivre et mourir de façon décente…c’est ce que je pense.
[b]Mademoiselle,
je sais ce que tu vis et ce dont à quoi tu penses, mais regretter les choses qui sont arrivées ne servira à rien. Certes il aurait peut-être voulu voir et faire les choses autrement, mais aujourd’hui dis toi qu’il est heureux là ou il est et qu’il ne souffre plus veillant d’un regard bienveillant sur toi. Allez tiens le coup
Bisou
Tom[/b]
[b]Mozarine,
merci ma poétesse d’être venu te joindre à nous.
Froid dans le dos? Et pourtant c’est la triste réalité, et ce n’est que la première partie car dans la seconde certaines choses m’ont horrifier au plus haut point. Enfin bref.
Je rejoins ton avis sur le fait qu’il faille pouvoir vivre et mourir d’une façon décente et désirée, et qu’il ne faille tant que possible en rien subir sa propre existence. Malheureusement la loi est ainsi faite.
Bisous
Amitiés
Tom[/b]
Non, on ne peut pas revenir en arrière, mais pour le coup regretter oui, il a voulu faire les choses autrement jusqu’au bout mais voila si cela avait exister le droit a partir en toute décence, sur que, peut être cela serait arrivé plus tôt mais pour lui cela aurait été un cadeau du ciel. Pour comprendre ces mots, il faut avoir vu et vécu ce genre de situation, je vois déjà les pros-« laissons faire la nature et Dieu » … Merci en tout cas pour tes mots.
Mademoiselle
[b]Mademoiselle,
les personnes qui pensent « Laissons faire la nature et Dieu » n’ont certainement pas vécu ce type d’épreuves, crois moi. Je comprend encore une fois ce que tu as vécu, et je peux t’assurer que l’on ne peut revenir en arrière mais qu’il ne faut pas pour autant regretter, car ce sont des regrets que nait l’amertume, la tristesse et le désespoir. Il faut au contraire penser aux bons moments, oublier ou tout du moins essayez d’oublier les mauvais, et penser à ces personnes qu’au travers des bon moments passé avec eux..Allez tiens le coup, ça va aller.
Bisous
TOm[/b]
Allez, on se retrouve vers ta deuxième partie…Bon papier en tout cas… du » tout toi » comme il faut …
Bisous
Mademoiselle
[b]Mademoiselle,
rendez-vous sous la seconde partie qui ne seras pas la finalité de la série, loin de là, sourires.
Merci pour ces compliments, ravi que cela t’ai plu.
Bisous
Amitiés
Tom[/b]
On se cache toujours derrière Dieu, c’est pratique : euthanasier c’est tuer ? faire la guerre aussi et on ne tue pas alors que des malades en fin de vie. Faire durer une personne en instance de mort quelques soient ses souffrances , c’est aussi payer de très chers prix de journées aux établissements et à la SECU, alors assez d’hypocrisie. C’est au malade de décider et s’il ne le peut plus c’est à sa famille en concertation avec les médecins après discussions et réflexions quand il est sûr qu’il n’y a plus d’espoir.
[b]Mychelle,
merci à vous d’être venue livrer votre opinion sur ce sujet difficile.
Je suis d’accord avec vous sur le fait que dire que « l’euthanasie tue » est assez alambiquée comparé aux guerres (entre autres). Pour autant c’est une réalité dans la finalité des choses.
Maintenant pour ce qui est de la question pécuniaire, il est concevable effectivement que tout soit tenté pour sauver des vies quel que soit le prix à payer financièrement, mais il est concevable aussi de dire que maintenir une personne en vie alors qu’il ni a plus d’espoir d’améliorations et que la personne fait en outre la demande de « partir » est assez idiot pour le coup (et cela sans vouloir remettre en cause une décision ou l’autre, le choix appartenant à chacun avant toute chose).
Je suis d’avis que les malades devraient avoir le droit de livrer leur opinion, et que le cas échéant en l’absence de parole du malade pour une raison X ou Y et sans espoirs d’améliorations, la famille puisse elle aussi livrer son opinion, agissant avant tout pour la décence du malade, et pour stopper toutes formes de violences physiques et morales des patients.
Tom[/b]
Merci d’être aussi subtil et pertinent sur un sujet aussi grave, rien n’est pire que les jugements à l’emporte-pièce et tu en es bien loin… pour ma part, c’est un sujet auquel je réfléchis très souvent, et malgré cela, je n’ai toujours pas pu me faire une opinion tranchée… alors je glane à droite à gauche témoignages, prises de position… et je réfléchis… bonne journée
[b]Sheli,
merci pour ton passage et pour ces compliments. C’est vrai que je n’aime pas survoler mes sujets, d’autant plus des sujets aussi grave que celui là. Je suis ravi que ce dernier t’ai plus dans son approche.
Amicalement
Tom[/b]