Des « bruits de couloirs » circulaient déjà sur C4N depuis quelque temps, mais cette fois c’est confirmé.

Fabien Bardoux notre Président Fondateur a bien été contacté par Jean Hornain,  Directeur général du Parisien Aujourd’hui en France, et Thierry Borsa Directeur des rédactions du Parisien.fr

Les premières négociations pour le rachat de notre site ont débuté le 22 Janvier 2012.

Un accord entre les deux propriétaires  s’est arrêté sur la somme de 3,7 millions d’euros.

Nous devons cette association à la qualité de tous ceux qui ont contribué, et contribuent encore à faire de C4N, un site reconnu par toute la Presse en ligne.

C’est à dire VOUS,  chers rédacteurs de C4N !

Pourquoi une telle fusion ?

De nos jours, pour survivre et augmenter notre visibilité, il est nécessaire de rejoindre un grand groupe qui a fait ses preuves.

Le Parisien est un journal populaire, qui, tout comme C4N veut avant tout, défendre les idées de ses lecteurs.

Les sujets sur la vie quotidienne et les préoccupations des Français priment sur les pages internationales.

Rubrique populaire par excellence, les « faits divers » sont le cœur du Parisien, comme ils sont le poumon de C4N.

En dix ans,  le Parisien, s’impose comme l’un des plus importants journaux français d’investigation !

Le site précise que :

Les articles devront être courts mais bien écrits, avec des mots simples, afin que le lecteur comprenne tout et ne se lasse pas.

Les illustrations, en particulier les photographies accompagnant le texte, devront occuper en moyenne un tiers de chaque page rédactionnelle.

C4N fonctionne exactement de cette façon, il suffit de voir les titres des rubriques, et les articles qui s’y trouvent,  pour s’en convaincre.

Avez vous remarqué, que sur la Une de notre journal du web, la phrase qui présente notre site aux yeux des lecteurs a changé ?

On peut y lire : C4N " La voix du peuple "

Une question se pose :

Qu’allons nous devenir, nous, rédacteurs citoyens ?

Le Parisien, nous demandera-t-il de quitter C4N, comme Le Post l’a fait dernièrement pour ses « posteurs » citoyens, en devenant Huffington-Post ?

Serons nous remplacés par des professionnels du journalisme ?

Ou notre talent sera-t-il reconnu par la grande  Presse nationale ?

Voilà les questions que nous devrons dès aujourd’hui poser à notre Direction.

SOPHY-C4N (jusque quand ?)