Vœux présidentiels sarkozyques
Le Nouvel An français, fut « calme », avec, « seulement », 372 voitures incendiées. C’est déjà, en soi, un symptôme révélateur, de la santé mentale, de la civilisation française actuelle.
Quant à Sarko, pour ses premiers vœux, en sa qualité de Président, il a changé la formule, s’exprimant, brièvement et en direct, le lundi 31 décembre, à 20 heures, à la télévision. De l’inédit, dans un pays, où ce rendez-vous, était dans le passé, enregistré à l’avance, permettant ainsi, aux présidents les plus médiocres, de peaufiner leurs allocutions, à force de prendre et reprendre, le tournage, de leurs blablas élyséens.
Sarko n’a pas fait d’annonce futuriste. Il a défendu et valorisé sa méthode. Il a dressé un bilan de son travail en 2007 : « J’ai fait tout ce que je pensais possible de faire en tenant compte des exigences du dialogue social » (…) « Certains trouvent que cela n’est pas allé assez vite » (…) Certains pensent que le changement a été trop rapide (…) J’ai pu commettre des erreurs (…) Je ne vous tromperai pas, je ne vous trahirai pas », a déclaré Sarko.
« Avec 2008, une deuxième étape s’ouvre, celle d'une politique qui touche davantage encore à l’essentiel, à notre façon d’être dans la société et dans le monde, à notre culture, à notre identité, à nos valeurs, à notre rapport aux autres, c’est-à-dire au fond à tout ce qui fait une civilisation, nous avons besoin d’une politique de civilisation » (…) « Notre vieux monde a besoin d’une nouvelle renaissance, et bien que la France soit l’âme de cette renaissance ».
Aujourd’hui, mercredi 2 janvier 2008, L’UMP a essayé, d’éclaircir, la politique de civilisation, prônée par Sarko, dans son discours présidentiel (ndlr je précise que la civilisation est l’action de civiliser ; c’est l’état de ce qui est civilisé, c’est-à-dire, l’ensemble des opinions et des moeurs qui résulte, de l’action réciproque, des arts industriels, de la religion, des beaux-arts et des sciences). Concrètement, Roger Karoutchi et Patrick Devedjian, proches de Sarko, ont donné corps à la politique de civilisation. La gauche a, évidemment, tourné en dérision, la politique de civilisation, comme étant un concept « fumeux » (ndlr est fumeux ce qui envoie des fumées, des vapeurs à la tête).
Pour Roger Karoutchi, secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement, il s’agit d’un souffle nouveau, d’une vision globale pour la France. « Nicolas Sarkozy est obsédé par ce qu’a été le déclin lent de la France dans les trente ou quarante dernières années. Sarkozy dit : moi je veux que la France change, que la France de la rupture ce soit la France du pouvoir d’achat, la France des réformes, sociales, hospitalières etc. », a déclaré Roger Karoutchi, évoquant « l’identité nationale et ce que nous devons faire pour la culture ».
« Ambition » résume ce que Patrick Devedjian, secrétaire général de l’UMP, a saisi du discours de Sarko. « Une politique de civilisation, c’est quelque chose qui s’inscrit dans la durée. On a le sentiment parfois que la France piétine, que l’Europe végète », a déclaré Patrick Devedjian.
Bien. Décortiquons et concluons. Le Nouvel An français, fut donc « calme », avec, « seulement », 372 voitures incendiées. Dans ce contexte, Sarko a déclaré que « nous avons besoin d’une politique de civilisation ». C’est à dire, de l’ensemble des opinions et des moeurs qui résulte, de l’action réciproque, des arts industriels, de la religion, des beaux-arts et des sciences.
La gauche trouve cela « fumeux », c’est à dire, elle trouve que la civilisation envoie des fumées, des vapeurs à la tête. La réaction de la gauche est éclairante. Etre de gauche, c’est trouver que l’action des arts industriels, de la religion, des beaux-arts et des sciences, envoie des fumées, des vapeurs à la tête. La gauche est donc allergique aux arts industriels, à la religion, aux beaux-arts et aux sciences, car tout cela lui donne des vapeurs à la tête. A contrario, ce qui est bon pour la tête, selon la gauche, c’est, forcément, l’inverse des arts industriels, de la religion, des beaux-arts et des sciences.
Ce qui est donc bon pour la tête, selon la gauche, c’est : à la place des arts industriels, le chômage. A la place de la religion – en Europe les valeurs judéo-chrétiennes – l’accueil sans condition de l’islam politique au nom du dogme abscond de la laïcité absolutiste. A la place des beaux-arts, les arts-moches, l’art moderne, le non-art, si possible bâclé et pornographique. A la place des sciences (qui ont pour but de satisfaire notre esprit par la connaissance du vrai, qui puisse avoir quelque solidité), à la place des sciences donc, la gauche veut la méconnaissance du vrai qui puisse avoir quelque solidité ; autrement dit la diffusion du faux (néo-écolo-marxiste) qui n’a aucune solidité.
J’ignore le sens que Sarko donne au mot civilisation puisqu’il n’en a donné aucune définition. C’est du reste la raison pour laquelle je me suis rué sur un bon vieux dictionnaire. Ce que je retiens, c’est que la gauche, plutôt que de donner sa propre définition de la civilisation, a préféré déclarer, que la civilisation est un concept fumeux, un concept qui lui donne des vapeurs à la tête. Je ne sais pas où nous mènera Sarko en 2008.
En revanche, j’ai désormais la certitude et la preuve, qu’avec Ségolène Royal, la civilisation française, avec ses 372 voitures incendiées, dans la seule nuit de la Saint Sylvestre, la civilisation française, écrivais-je, aurait connu, en 2008, la descente aux enfers. Sarko est l’héritier du grand merdier français de ces quarante dernières années. Je ne suis pas certain qu’il s’affranchira de la clique responsable de ce grand merdier.
Mais ce qui est certain, c’est qu’en cinq ans de mandat présidentiel, la bande à Ségo, nous aurait définitivement rabaissés, avec force déficit et endettement publics, au niveau politique, social et économique, de la Biélorussie ou du Bangladesh. Bonne année 2008 !
C’est sûr que si nous avions eu Ségolène, c’était la catastrophe assurée. Quand Sarko a parlé de politique de civilisation, je n’ai rien vu de fûmeux là-dedans, au contraire, j’étais très content. Quand on met ensemble son discours à Rome et ses voeux, on voit que l’un éclaire l’autre : notre civilisation occidentale s’est souvent dévalorisée, à force d’idéaux universalistes, elle en a oublié sa propre culture, et surtout ce qui a fait si longtemps sa grandeur. L’heure est venue de tourner le page, et de revaloriser notre monde.
La culture des voitures brûlée, de la destruction, vient surtout d’une haine anti-occidentale. A force de nous renier nous mêmes, nous n’avons pas été en mesure d’offrir une identité aux éléments allochtones, et certains d’entre eux nous méprisent à cause de cela. Je pense que les dégradations de ce qui représente notre civilisation n’est qu’une manifestation de ce mépris. C’est une profonde erreur de réduire tout au social, à la considération de ce qui est socialement défavorisé. Il faut avoir une vision plus large du problème.
Je pense que si, lors des dernières vagues d’immigration, nous avions dit aux nouveaux arrivants
« voici l’identité de notre pays, on vous y acceuille les bras ouvert si vous la prenez telle quelle, et si vous contribuez à son édification. Si c’est pour la détruire, allez donc détruire votre pays d’origine ! »,
nous ne serions pas dans ce pétrin. Nous avons un président qui a une ambition plus large que les sules considérations économiques. Il a des défauts, des défaillances, nous pourrons dire ce que nous voulons, mais on ne peut nier sa vision, son projet….
« Quand on met ensemble son discours à Rome et ses voeux, on voit que l’un éclaire l’autre : notre civilisation occidentale s’est souvent dévalorisée, à force d’idéaux universalistes, elle en a oublié sa propre culture, et surtout ce qui a fait si longtemps sa grandeur. L’heure est venue de tourner le page, et de revaloriser notre monde. »
Tannhäuser, tu es un drole de pélerin : parti du saint empire romain germanique, tu veux nous faire revenir à la politique raciale du Reich et a son culte d’une race pure digne du KluKluxKlan.
Tu as du trop écouter le sataniste Wagner !
Si c’est cà la nouvelle politique de civilisation du Tzar, vous pouvez la garder !
Catastrophe assurée avec Ségo?Et l’autre y vaut mieux?
Parce que Monsieur de Sarkoland est plus honorable que Sego?Ni l’un,ni l’autre ne peuvent me persuader de mener une politique convenable.Du moins les clivages droite,gauche ne riment plus a rien.La politique actuelle dépasse le petit commun des élécteurs.Ce que j’en conclu,Sarko et sa bande sont a mettrent au placard!!!Des parvenus avides du pouvoir relevant de l’arbitraire!!!Une sorte d’état plus subtil que le national socialisme.Avec notre régime actuel,c’est marche ou crève,bordel!!!