Le nouveau départ de C4N, un avenir prometteur ?

L’écriture, l’écriture,….Comment réussir à être lu ? Quel écrivain ou même journaliste ne s’est-il pas posé la question ? Cette dernière gagne même en importance dès lors que l’on parle d’écrire pour le Web et notamment pour C4N.  

 


L’idée de cet article me trotte dans la tête depuis plusieurs jours maintenant. J’ai déjà rédigé ici plusieurs articles sur la même thématique (ou sur des sujets similaires) et j’en ai publié bien d’autres sur des sites plus orientés « rédaction professionnelle » (pas de publicité pour mes œuvres, quelques recherches sur Google feront le nécessaire pour répondre à votre curiosité).

C4N change et cette révolution n’est guère éloignée des propos que je vais tenir d’ici quelques lignes (les courageux et les courageuses qui iront au bout de cette lecture le comprendront). Précisons avant de commencer que je ne tiens pas à me poser comme un donneur de conseils ni même de leçons bien au contraire. Je suis rédacteur professionnel indépendant depuis 3 ans maintenant et les textes rédigés jusqu’ici se comptent en dizaine de milliers. Cela ne me donne néanmoins aucune raison de conseiller ou d’instruire mais de vous faire partager quelques réflexions.

Je suis passionné d’écriture (et par conséquent de lecture, l’un ne pouvant aller sans l’autre).  J’ai noirci des milliers de page au stylo (celui qui me sert encore aujourd’hui à prendre des notes) avant de me lancer dans l’aventure. Alors ne nous voilons pas la face, je n’écris pas des monuments inoubliables de la littérature chaque jour. Lorsque je rédige 40 ou 60 textes dans la journée, je garantis orthographe et grammaire, après il ne s’agit que de remplissage.

Comme dans tous les métiers, des choix sont à faire. Il existe des sujets passionnants sur lesquels je ne vais gagner que 2 euros de l’heure (la passion est souvent déraisonnable) et des sujets rébarbatifs et ennuyeux qui eux seront payés rubis sur l’ongle.

Tout cela pour vous dire, que deux (pas trois mais seulement deux) politiques de développement existent sur Internet :

1.      Faire n’importe quoi en misant sur un référencement rapide de Google. Lorsque vous lisez un texte du genre « Les bijoux fantaisies sont partout et les bijoux fantaisies sont faciles à porter et les bijoux fantaisies…. ». Vous l’aurez compris, on cherche là à se positionner sur le mot clé « Bijoux fantaisies ». En produisant des centaines de textes multipliant ce mot clé mais aussi l’univers sémantique s’y rapportant, le site concerné va sortir du lot aux yeux de Google. Le moteur de recherche va alors le placer dans les premières lignes de référencement et le site va alors attirer d’innombrables clients potentiels. Il s’agit donc d’employer des techniques de référencement (il y en a bien d’autres mais je ne vais pas rédiger une thèse à cette heure J) condamnées par le juge de paix en la matière : Google. Tôt ou tard, le site sera détecté comme un « fraudeur » et donc pénalisé. Les gains engrangés sur le premier permettront alors au webmaster d’en créer un nouveau sur les « chaises en bois ». (Juste pour bien vous montrer que quel que soit le produit cela fonctionne).

 

2.      Miser sur le long terme et donc privilégier la qualité. Il y a moins de mystères ici. Il s’agit pour le site de produire du contenu de qualité, décrivant les produits vendus bien sur, mais tout ce qui tourne autour. Les bijoux fantaisies (oui il existe aussi des sociétés sérieuses sur tous les secteurs) peuvent être inspirés de techniques traditionnelles et méconnues comme le filigrane d’argent, qu’il faudra décrire. Expliquer le processus, décrire les émotions ressenties….Faire un véritable travail d’écriture et respecter une politique éditoriale. Google ne le repérera pas tout de suite, mais il ne fait aucun doute que le travail sera récompensé, puisqu’après des semaines, des mois d’efforts, le site bénéficiera d’une meilleure reconnaissance de Google, mais aussi d’une reconnaissance d’autres acteurs du Web, qui influencent aussi les résultats de Google. Le cycle vertueux est alors engagé, et le site se hissera au plus haut.

L’écriture web, des règles précises mais une écriture tout de même:

A ce stade de l’article, certains doivent se demander où je veux en venir. C’est si limpide dans mon esprit, alors entrons dans le vif du sujet : C4N. Tout le monde connaît la noble ambition du site, qui s’est posé comme UN média citoyen. Proposer une rémunération, aussi minime soit-elle, à tous les rédacteurs.

Ces derniers se sont multipliés, les sujets se sont démultipliés et l’ambition affichée semblait être en passe d’être atteinte. Mais sur Internet et quoi qu’on en pense (car en la matière, seuls les chiffres comptent) plus qu’ailleurs, les visiteurs sont la clé du succès (ou de l’échec) d’un site. Attention, si l’algorithme de Google reste l’un des secrets les mieux préservés, il ne s’agit pas du nombre en soi mais du comportement des Internautes.

Un exemple précis, je cherche une info précise sur l’affaire politico financière du moment (j’aurais voulu opter pour un texte optimisé « Google » (pour les non initiés, on parle de S.E.O) en écrivant : sur une des nombreuses affaires politiques et financières du moment, depuis J. Cahuzac à B Tapie, en passant par Mme Lagarde ou encore N. Sarkozy) et je tombe sur un article de C4N. Quelques fautes de frappe, un texte sans mise en page, une photo inappropriée et me voilà parti ailleurs. Et alors me direz-vous, un internaute de perdu cela n’est rien.

Le marketing viral entre alors en jeu, et je vous conseille d’apprendre quelques rudiments des bases pour le community management. Si je suis déçu d’un article sur C4N, cela (si je suis honnête) ne va pas m’empêcher de retourner sur le site  sur un autre sujet et je ne vais pas aller déclamer partout que C4N est un site à bannir. A l’inverse, cette petite faute passée inaperçue ne me permettra jamais de considérer le site concerné (en l’occurrence C4N) comme LE site de référence en la matière.

Sans entrer dans le détails, vos recherches effectuées sur Internet servent aussi d’outils d’analyse à Google. Si lorsque vous recherchez des informations sur les animaux, vous vous rendez systématiquement sur le site « les animaux.fr » (attention je ne vérifie pas l’adresse il s’agit d’un exemple), Google en déduira que vous accordez une confiance totale à ce site, et que ce dernier est, de votre point de vue, attractif et fiable. Or, quand des millions de requêtes sont envoyées quotidiennement à Google, je vous laisse imaginer la masse de données accumulée par le géant américain.

Et c’est Google (malheureusement mais c’est ainsi) qui régit le monde de l’Internet surtout en France (et plus qu’ailleurs). Si vous voulez que votre site fonctionne, il vous faut être visible et crédible aux yeux des Internautes. Pour y parvenir, il faut d’abord convaincre Google. Le cercle vicieux est bouclé.

Tout ça pour ça…

Loin de moi l’ambition de vouloir parodier Lelouch…Mais même si je ne suis pas dans le secret des Dieux, C4N évolue et je suis persuadé qu’il s’agit d’une décision murement réfléchie, devant s’inscrire dans la durée. Le problème n’est pas de payer un euro par article publié, le problème réside dans la possibilité de faire évoluer le site (ou le laisser mourir). (La loi naturelle est bien plus cruelle que la loi du Web).

En choisissant de restreindre le nombre d’auteurs, il ne s’agit pas (attention, c’est une analyse purement personnelle, ne connaissant aucun des fondateurs ni de près ni de loin, et ayant par deux fois refusé…chut je n’en dirai pas plus) de faire l’économie des rémunérations d’auteur, mais bien de se doter d’un cadre plus structuré et de donner une véritable ligne éditoriale à C4N (Combien de fois sur la même Une, deux articles totalement contradictoires sur le même sujet ont déboussolé l’Internaute de passage, et je ne vous explique même pas ce que Google en a tiré comme conséquences).

J’ai la chance et l’honneur de faire partie des éditorialistes, et j’ai bien compris dans le message introduisant ce changement, qu’il fallait que chacun fasse un effort. De mon côté, j’attends donc de connaître ces nouvelles exigences de qualité (notion hautement interprétable et sujette à de multiples équivoques), mais que pouvais-je apporter de plus à C4N ?

Il me fallait avant de me lancer dans l’écriture de cet article disposer d’une réponse, non pas pour bien terminer ce feuillet (qui devient, je vous l’accorde interminable) mais pour marquer, à ma façon, ce nouveau départ de C4N. Et pourtant, je suis toujours en train de me triturer les méninges, alors à part faire des efforts sur le sens et la qualité de mes écrits, je ne sais pas trop encore, mais je vous promets que vous serez les premiers avertis dès que la révélation aura lieu….

 

Auteur/autrice : ERIC REDACTION

Rédacteur Web et print indépendant depuis 2010. De la rédaction SEO à l'écriture du roman de votre vie, la passion de l'écriture au service des messages à faire passer ....

48 réflexions sur « Le nouveau départ de C4N, un avenir prometteur ? »

  1. Bonjour Éricredacteur :
    Je viens de lire en entier, votre article.
    Particulièrement intéressée par les problèmes que vous essayez de solutionner.

    Sachez que, dès que le site aura terminé sa liste de grands reporteurs, ou plutôt d’éditorialistes, que j’aurai tous les noms et les adresses mails de tous les rédacteurs retenus par le site, je vous communiquerai les règles de l’éditorial journalier de C4N sur la page spécifique de facebook, ouverte par Fabien Bardoux.
    Mais il n’est pas dit qu’avant cela, je n’en ferai pas un article sur C4N.

    Pour l’instant, et vous m’avez devancé, je suis POUR un seul article quotidien dans chaque rubrique.
    Il y a longtemps que j’y pense.

    Par contre chaque reporter pourra publier dans des rubriques différentes, mais encore une fois et un seul rédacteur par rubrique.
    Nous ferons en sorte que chacun pourra s’exprimer, mais en suivant des règles bien précises.

    Je n’en dis pas plus pour l’instant, et je me mets quasiment en stand by pour mieux réfléchir à la façon de faire en sorte que notre site soit plus visible sur le Net.
    Néanmoins tout comme vous le dites nous sommes tributaires du bon vouloir de GOOGLE.

    J’ai tant fait de recommandations dans mes articles sur les récompenses, je les remettrait une fois de plus. en insistant sur LES TITRES, LA DESCRIPTION, les MOTS CLÉS, et les COMMENTAIRES.

    Sachez aussi, que je travaillerai avec Michel, le pionnier de C4N, mon ami depuis 2007, afin que l’éditorial journalier suive l’actualité dans tous les domaines, cela va de la Politique au sociétal, aux découvertes scientifiques, en passant par la littérature Le tout étant que nous soyons dans l’Actualité du jour au pire de la semaine…

    SOPHY Directrice (un bien grand mot) de la Rédaction sur C4N

  2. Bonjour Sophy,
    Lorsque vous dites « Pour l’instant, et vous m’avez devancé, je suis POUR un seul article quotidien dans chaque rubrique », cela signifie-t-il que lorsque l’article d’un éditorialiste sera retenu quotidiennement dans une rubrique, les articles proposés par les très petits reporters ne seront tout simplement pas publiés ? Merci d’avance pour cette précision qui me donera un éclairage important sur l’évolution de C4N.

    Cordialement.
    Henri.

  3. Article intéressant qui soulève la partie markéting internet pour un forum face à la technologie que connaissent bien les pros désormais en SEO.

    Maintenant la question est de savoir qui gère C4N et cette partie qui se devrait d’être en alliance avec une stratégie de communication citoyenne ici.

    Nous entendons Sophy qui semble tenir avec ses deux petites mains la maison mais pas les piliers sur la suite… ses réponses « sans plus » soulèvent de nouvelles interrogations ou au final il ne devrait plus rester beaucoup de choses…

    Y a-t-il un pilote dans confirmé dans l’avion…?

    PH

  4. Bonjour Henri,

    Les rédacteurs qui ne seront pas des éditorialistes auront leur place, bien sûr, il reste à définir l’endroit où ils pourront être lus.
    Faut- il revoir la Une de C4N ?

    C’est fort possible, mais là je laisse à nos dirigeants le soin de l’imaginer afin que tous ceux qui veulent écrire, en ayant passé la modération des articles puisse avoir eux aussi un lectorat.
    Rien encore n’est finalisé.

  5. Philippus, inutile de m’accabler.

    Pour un webzine qui n’est pas dirigé par des journalistes patentés, le temps de la réflexion est indispensable, et ce qui est inconvenant c’est de penser que cet espace nous appartient sans que la Direction du Site ait le droit d’imposer une ligne de « conduite ».
    Nous ne sommes que des locataires de C4N.
    Toutes les décisions viennent du trio qui a créé ce site.

    Philippus, vous me décevez :

    Vous êtes systématiquement dans le déni de toute initiative, sans jamais proposer de solutions.

  6. il me vient une idée :
    Henri ce sera l’article de l’éditorialiste qui sera en première page, et restera au moins une journée sans être bousculé dans l’heure qui suit par un autre article (ce qui se fait en ce moment).
    Par contre sous l’accroche de cet article mis sur la Une, pourquoi pas mettre la phrase : pour lire d’autres articles sur le même thème cliquez ici (ou une phrase similaire)

    Le clic emportera le lecteur curieux sur les autres rédacteurs ayant traité le même sujet.

  7. Je vous mets en faux chère Sophy avec d’autres depuis un bon moment par une dérive annoncée dont, sans vouloir vous charger, avez fortement participé. Revoir les longs échanges sur cela…

    Des solutions qualitatives avec quelques autres qui depuis ont quitté C4N suite à maintes déceptions, nous en avons proposé et soulevez à chaque fois en temps et heure ce qui améne malheureusement à ce passe maintenant.

    Désolé mais la bateau C4N à bien été construit par « chacun » et non seulement par les créateurs, la notion citoyenne ne semble pas évidente pour tous ici ou chacun à apporté sa pierre.

    Il est toujours regretable à cette heure que des auteurs en arrivent à écrire des articles intérrogateur dû à un manque de communication flagrante des dirigeants. même vous ne savez nous répondre en étant au plus prôche d’eux. ne soyez pas étonné de recevoir les embruns justifiés par votre position de tempon quotidien.

    En appeler à signer des contrats et à vouloir récupérer les marins qui quittent le navire alors que le nouveau cap n’est pas encore présenté, semble de la navigation à vue, de part les déductions de chacun.

    Tout en respectant néanmoins le travail ou tentatives de chacun, permettez que l’objectivité citoyenne garde la tête hors de l’eau.

    Ph

  8. Bonjour à tous,

    Libre à chacun de se lancer dans la prédiction de l’avenir, dans d’hypothétiques futurs,….Mon propos n’était pas là. La stratégie de C4N n’appartient pas (et n’a jamais appartenu aux rédacteurs). Je ne m’en suis jamais offusqué et cela ne me gène pas plus aujourd’hui qu’hier. La vision que je délivrais dans cet article (je l’ai assez précisé) n’est qu’une vision personnelle.
    En résumé et pour vous livre le fonds de ma pensée. Je suis désormais éditorialiste de C4N et j’en suis heureux à cet instant. Si demain les règles ou l’orientation devaient me chagriner ou me déplaire, j’en ferai part à qui de droit et quitterai le navire (à regrets mais sans hésitation).
    Par contre, une seule chose est sure. J’accepte les règles et je fais tout pour que cela fonctionne et aille dans le bon sens. Je les refuse, et plus jamais un article ni même un commentaire ou une visite de ma part.
    Pour moi les choses sont aussi simples que cela. La pensée du moment où il faut tout nuancer est à mes yeux intolérable.

    Espérant n’avoir froissé aucune susceptibilité

    Bonne journée

    Eric

  9. Sophy,
    je comprends bien que tout ne soit pas encore finalisé pour la nouvelle formule de C4N et que vous cherchiez encore des solutions, mais celle que vous proposez pour les articles autres que ceux des éditorialiste en première page, la journée, n’est pss satisfaisante du tout et surtout ne répond pas au problème !
    Dans une rubrique, il peut y avoir plusieurs articles sur des sujets tout à fait différents. Le fait pour « un petit reporter » de voir son article un certain temps en une est un avantage de ce site qu’on ne trouve presque pas ailleurs (bien que je sois sur un autre site où mes articles passent régulièrement en une !).
    Si, en plus de l’euro, vous enlevez aux petits reporters amateurs toute visibilté, autant avouer immédiatement que le site fonctionnera pour la publication des articles essentiellement avec « les grands reporters éditorialistes », en espérant qu’ils évolueront car, à ce jour, tout le monde peut voir que la qualité des articles ne se trouve pas que chez eux, malgré leur ancienneté ! Loin s’en faut !
    Par contre, votre idée de prévoir sur la une une partie « éditorialistes » et une colonne « amateurs lamda » est une bonne solution. Dans cette dernière, on pourrait par exemple faire défiler une dizaine d’articles amateurs, au fur et à mesure qu’ils sont produits, après avis des modérateurs et quel que soit le thème. Si ce n’est pas trop demander, on pourrait espérer qu’à l’avenir le patron choisirait de nouveaux éditorialsites parmi eux lorsque des places se libèreraient chez lez éditorialistes de départ. De nombreux grands sites fonctionnent sur ce modèle ! Vous avez remarqué certainement que les journalistes font leurs articles sur la une et que dans un coin (plus ou moins important) on trouve les non professionnels ou amateurs souvent sous forme de blog qui affiche les articles du jour.
    Enfin j’espère qu’on trouvera une solution pour que les articles des petits reporters ne soient pas trop cachés sur le site, sinon, il n’en restera pas beaucoup !
    Bien à vous.
    Henri.

  10. @Philippus : sachez que nous lisons avec attention les commentaires des uns et des autres. Et que les décisions qui en découlent sont le fruit de la synthèse la plus juste entre toutes les demandes, parfois contradictoires.
    C4N évolue grâce à sa communauté. C’est comme cela depuis le début, et cela continuera.Je remercie Sophy, ERIC, et les autres de soumettre de nouvelles idées au débat.

  11. Fabien
    Je sais trés bien que vous lisez, mon objectivité habituelle allait dans le sens de la communication manquante quand il est question d’éclairer nos questionnements collectifs. Que ce soit en MP ou en direct elle n’existe pas quand la question soulève éventuellement, des dérangements. Mais c’est ainsi que l’on soulève les choses, pas de manière partisane en acceptant tout les yeux fermés ou en refusant tout et en quittant le site comme d’autres. Bien qu’à un moment les derniers rats dans la cale finiront aussi par se lasser…

    Espérons que les vacances aporteront une rentrée réelle néanmoins, quand nous comprendrons alors dans quelle structure nous serons pour une éventuelle suite.

    Bons devoirs de vacances donc…

    PH

  12. Il m’arrive un peu, rarement, d’écrire « pour Google » et même, dans ce cas, de le signaler clairement…
    Mais je ne crois pas (plus) être capable d’entrer dans les arcanes du référencement. C’est devenu trop complexe (je m’étais penché sur la question dès la fin des années 1990, ayant étrenné – ou presque – l’Internet français très tôt, grâce à la dorsale Renater et un compte au Centre de calcul du campus de Jussieu).
    Ce que je crois, c’est que nous ne pouvons être concurrentiels avec des sites d’info professionnels qui peuvent envoyer des gens couvrir des événements, interroger directement des sources (entretiens tél. ou autres), se livrer à des recherches sur le terrain.
    Ensuite, la difficulté de se coordonner est patente. Oui, nous avons des doublons et c’est un peu dommage quand il s’agit de doublons quasi-parfaits, soit de recyclage de faits bruts, d’une actualité largement couverte par ailleurs, sans éclairage original particulier. En revanche ce n’est pas gênant d’avoir deux éclairages différents, voire opposés si l’appréciation diverge, d’un même sujet.
    Perso, si je n’ai rien à ajouter, je délaisse l’actu très largement couverte par ailleurs. Ce qui fait que je « passe mon tour » ou tente de trouver des sujets hors actu.
    En revanche nous aurions sans doute intérêt à surveiller la presse régionale. Beaucoup de sujets intéressants ne sont pas repris par la nationale. Même chose, pour celles et ceux le pouvant, pour la presse internationale (ce que je tente de faire, au moins pour l’anglophone, un peu moins pour l’hispanophone, parfois pour d’autres, si je parviens à décrypter et trouve d’autres sources dans une langue que je maîtrise).
    Quant à savoir ce qui accroche vraiment une lectrice, un lecteur, ben, je ne sais trop. Je crois connaître les bases, mais il n’y a pas de recette miracle.

  13. Perso, j’aimai bien en 2009 voir en bas de la page d’accueil quel article était le plus commenté ou avait le plus de visiteurs. Cela montrait directement là où il y avait de l’action…
    L’idée d’Henry est intéressante sur le fait qu’il serait sympa d’avoir un colonne où les articles du jour tourneraient. Pour ma part je n’ai pas le réflexe d’aller cliquer sur le lien « lisez d’autres articles » dans le même registre. Alors que s’ils défilaient dans une colonne, il y en aurait certainement qui attireraient mon regard et me feraient cliquer dessus…

  14. @ Jef Tombeur :

    En effet j’ai constaté que tout ce que j’avais écrit sous forme d’interview, ou en reprenant ce que mon journal Régional annonçait, ou ce que m’a confié un ami responsable d’activités pouvant intéresser un lectorat plus large que ma Région.
    Au moins 15 à 20 articles sont dans ma liste sur C4N depuis 2007.
    TOUS ont comptabilisés entre 3 et 10 mille visites à ce jour.

    J’ai d’ailleurs dans mes brouillons un article en vue sur le valenciennois qui, s’il n’a plus d’acièries, ni de charbon, a des idées.

    Je suis encore mieux placée pour en parler que je fais partie du Conseil de Développement de l’agglomération de ma ville de Valenciennes.

    À l’avenir je laisserai une place importante à ces sujets, tout en conservant le style d’écriture qui m’est propre.
    Me suis essayée à être plus « sérieuse » dans l’expression dans mon dernier billet.

    Je ne me reconnais pas…
    C’était un ballon d’essai, mais je ne recommencerai plus.

    À chacun sa marque de fabrique, et la mienne apparemment faisait « recette ».

  15. ENFIN vous reconnaissez que les commentaires sont indispensables pour attirer du monde sur nos articles.
    J’ai toujours défendu cette façon de procéder, et je ne m’en plains pas quand vous voyez des articles datant de 2010/2011 atteindre 25 mille visites, parce qu’il est encore alimenté par des news régulièrement, je me dis que la discussion, ou les mises à jour, incitent, les « cherchant » d’informations à cliquer.

    Les mots clés, c’est aussi une référence INDISPENSABLE pour attirer l’attention de visiteurs.
    L’important ensuite étant de les fidéliser, et que le bouche à oreille fasse le reste.
    Mais nous retrouverons certainement cette façon de procéder, en nous séparant de ceux qui, parce qu’on ne leur versera plus l’euro journalier, se retireront d’eux mêmes de C4N.
    Ce qui d’ailleurs se fait déjà sentir.

    Je sais que c’est cruel ce que j’écris ci dessus, mais il faut savoir prendre des décisions.

    Ah j’oubliais : en conversation avec Michel qui cherche avec moi des propositions à faire à Fabien et à Bruno, il est inutile de terminer votre article par une question directe,(encore moins dans le titre) mais suggérer des commentaires en ne disant pas tout dans le texte, et en invitant au débat.
    par une formule suggestive, mais non imposée.

    Ceci n’étant que mon avis sur la façon de retrouver des commentaires.

  16. Dernière recette :
    Soignez votre introduction.
    Si vous êtes référencés, c’est elle qui apparaitra dans les premières phrases sur google.
    Bon j’arrête de donner des leçons, et des recettes, vous seriez bien capables de me distancer (je plaisante).

  17. Espérons donc que l’été sera propice à l’apaisement et à la clairvoyance….Zut pour être référencé n’aurai je pas du parler de farniente en bord de plage sous les cocotiers bretons 🙂

  18. Je fais encore une proposition qui pourrait aider les responsables du site dans leur réflexion sur l’évolution qu’ils préparent !

    Sur la une il y a 22 cases. Pourquoi ne pas supprimer « les rubriques », réserver quatorze cases aux éditorialistes (avec l’article permanent pour une journée) et affecter les huit autres cases aux reporters qui ne sont pas éditorialistes, en conservant le système de mise à jour actuel, à savoir : pour eux un article en chasse un autre au fur et à mesure de la validation (comme aujourd’hui)?
    Ces modifications du logiciel ne son pas bien importantes me semble-t-il?

  19. Bonjour,

    Je ne suis pas sur que ce soit une bonne idée de consacrer une rubrique par éditorialiste. Les visiteurs de C4N ne viennent pas pour suivre leurs écrivains préférés mais pour s’informer, se distraire, se divertir,….
    Une telle mise en avant serait à mon sens préjudiciable à l’attrait du site

    Ce n est qu’une avis.
    Cdt*

  20. A l’inverse, pourquoi ne pas imaginer la possibilité pour tous de composer la Une de C4N en votant ou cliquant (à définir) pour voir dans chaque rubrique l’article qui attire le plus de suffrages

  21. Merci Sophy.
    J’apprécie votre sens de l’écoute et votre volonté de préserver l’esprit de ce site qui apporte vraiment quelque chose de bien aux reporters amateurs et dont il serait dommage qu’une évolution vienne les empêcher de profiter de cette possibilité.
    Bien à vous.
    Henri.

    …………….

    @ERICREDACTEUR
    Vous ne semblez pas avoir bien compris ma proposition !

    1/je propose de supprimer « les rubriques » (santé, politique,international,etc…)

    2/ je ne dis pas qu’il faut attribuer une case à chaque éditorialiste. Si j’ai bien compris, ils seraient une quarantaine et je ne crois pas qu’ils publieront un article chacun, tous les jours !
    Non, il s’agit de leur réserver un certain nombre de cases. (14 peut-être… le chiffre reste à définir). Ensuite Sophy, avec son comité rédacteur, déciderait chaque jour, comme dans un journal, les articles des éditorialistes qui seraient édités sur ces cases. Les autres cases verraient défiler les articles des autres reporters, comme aujourd’hui, avec modération, mais sans rubriques particulières, le titre se suffisant en principe à lui-même et je le répète, la modification du logiciel ne doit pas être bien importante !

    3/Votre idée de composer la une selon les suffrages tous rédacteurs confondus peut paraître généreuse, mais outre le fait que sa mise en place doit être compliquée, elle ne semble pas compatible avec l’évolution souhaitée par le site : « s’appuyer sur 40 éditorialistes en priorité ».
    Votre idée de « sélection » par les lecteurs risque de poser très vite des problèmes. (Certains éditorialistes risqueraient de rester longtemeps dans l’ombre s’ils ne sont pas sélectionnés et il en serait de même pour les rédacteurs amateurs ! Je ne pense pas que ce site puisse aller mieux avec « plus de sélection » !
    Cordialement.
    Henri

  22. @ Ericredacteur :
    Alors pourquoi distinguer les éditorialistes ?
    Nous retombons dans le même engrenage.

    Dans un tout autre domaine :
    Aujourd’hui j’ai publié un article sur le décès d’André Verchuren.
    Je me rends sur les infos du jour, et que vois je ?
    JpVisee une demi heure avant avait lui aussi traité le sujet.

    Doublon, inintéressant pour l’un comme pour l’autre.
    Cela ne doit absolument plus arriver.
    D’où la nécessité d’une réunion managériale, afin que la veille nous soyons d’accord sur le sujet à traiter.
    (heureusement si j’ose dire, jpVisee, et moi ne l’avons pas mis dans la même rubrique)
    Mais imaginez que j’ai choisi la même que jpVisee, son article s’écrase sous le mien.
    Il faut absolument que nous nous mettions d’accord entre éditorialistes.
    La séparation avec les autres est également nécessaire.
    Ce n’est pas le fait que nous soyons séparés, qui fera que les articles de ceux qui sont passés par la modération ne soient pas lu,et commentés.

    Les mots clés et la description feront la différence.
    maintenant je peux aussi vous dire que nous avons des visiteurs qui ne viennent que pour NOUS (c’est mon cas)quand nous publions.
    Le référencement est d’une importance capitale pour attirer du monde soit sur votre nom, si vous êtes connu ou reconnu, soit sur le sujet original que vous avez écrit.

  23. Sophy,

    Je persiste et signe à mes propos. Bien évidemment, votre volonté est louable est excellente (en théorie) si il s’agit d’évoquer des doublons. Une réunion éditoriale permettrait aux éditorialistes de s’accorder sur les sujets à traiter j ‘en suis bien conscient.
    Un petit bémol néanmoins, quid des actualités chaudes mais aussi des autres rédacteurs qui n’auront pas la chance de participer à cette réunion. Le temps passé à rédiger un article déjà attribué à un éditorialiste serait alors voué à n’être jamais publié.
    C’est donc difficile à mettre en oeuvre, à moins d’y passer énormément de temps.
    C’est une critique constructive (loin de moi l’idée de vous décourager).
    Bon courage
    Eric

  24. Bonjour
    Les échanges peuvent êtres nombreux pour des idées mais le choix de séparer éditorialistes sous contrat et les autres est apparemment une position arrêtée. C’est bien cela qui semble faire révolution dans le fonctionnement citoyen qui était la base « politique » de C4N (politique au sens neutre).

    Nous passerions ainsi d’une citoyenneté démocratique de presse à une forme ancienne de gestion plus souveraine avec ses éventuels petits bourgeois prioritaires qui le seraient par une notion temporelle de présence plus ancienne.

    Si une qualité est recherchée au final cela soulève aussi le rapport entre quantité, temporalité de présence ou non et articles dignes d’êtres soulevés par la vraie reconnaissance.

    Trouver la solution idéale n’est pas évidente, sachant que l’objectivité d’un groupe réduit désormais ne serait pas plus garante de qualité avec en plus la charge de devoir assumer en comité restreint toute la suite de C4N sur quelques épaules.

    Séparer les gens ici par classe de presse sociale à l’ancienneté n’apportera pas sur le fond les attentes pour la suite.

    Simple apport de réflexion de fond si cela peut être utile avant de lancer diverses méthodes de formes sans connaître encore les nouvelles fondations…

    PH

  25. M’moui, effectivement, j’ai quelques rares amis ou connaissances qui suivent mes articles. Cela étant, c’est marginal.
    Une conf’ de rédac’ quotidienne, c’est très lourd à tenir.
    En sus, cela fonctionnait à peu près pour les quotidiens et les agences avant la généralisation du Web. Cela servait surtout pour les quotidiens afin d’allouer l’espace. Pour les agences, il était évident que chefs de service et chefs de desk et redchefs bouleversaient fréquemment dans la journée le schéma décidé (vers les 11 heures, si je me souviens bien, à l'[i]Agence centrale de presse[/i] qui était encore vaguement une vraie concurrence ou un vrai complément de l'[i]AFP[/i] pour la presse régionale).
    J’ai remarqué une chose : il m’est arrivé de me lever très tôt (ou de ne m’être pas couché) et de débuter à chaud un sujet un peu important qui « venait de tomber ». En général, cela « paye ». Peut-être parce que le visitorat concerné survolait ce que j’avais pu glaner, à tout hasard. Mais bon, ce n’est pas cela qui va pérenniser le site.
    Mais dans ce cas, tant pis s’il y a doublon, en tout cas entre éditorialistes et autres contributeurs. Certes, il est dommage que l’éditorialiste s’étant lancé plus tôt sur une affaire voit son truc estompé par celui d’une ou d’un autre, surtout si l’éditorialiste suit son sujet toute la journée, met à jour, &c.
    Mais je ne vois pas trop de solution s’appliquant mécaniquement.
    Une chose est sûre, il m’arrivait de vérifier si quelqu’un n’avait pas traité d’un sujet avant de me lancer sur le même, je le ferai un peu plus systématiquement.
    Question style, présentation, &c. J’avais suivi, à tout hasard, le stage « Écrire pour être lu » du CFPJ (Centre de formation et perfectionnement des journalistes, l’autre casquette du CPJ de la rue du Louvre). Pas appris grand’ chose de plus que ce qui était inculqué au Cuej (Stbg) ou sans doute dans d’autres écoles, ou ce qui ressortait de la pratique.
    Ce module existe toujours, vous pouvez en consulter le programme :
    [url]http://www.cfpj.com/formation/journaliste/ecrire-pour-etre-lu.html[/url]
    Cela avait eu pour avantage, outre le fait de passer du temps à Paris, de rencontrer des consœurs et confrères (utile pour diverses raisons de carrière mais aussi, on s’en doute, autres), tous frais payés, de mettre l’accent sur la préparation des entretiens. Cela étant, l’entretien foutraque, très peu préparé, selon la personnalité de l’interlocuteur (trice), est parfois plus fécond.
    Faites une recherche sur l'[removed]entre « » ou plutôt  » « ) et Google vous remonte près de 12 000 pages.
    Cela étant, comme David Siegel (« [i]web guru[/i] » des débuts du web graphique et cocréateur de la police Tekton) me l’avait dit en entretien, quelle que soit la présentation (à l’époque on utilisait beaucoup les tableaux), le style, &c., si le sujet intéresse vraiment les gens, ils lisent vraiment tout du début à la fin.

  26. Merci Sophy.
    J’apprécie votre sens de l’écoute et votre volonté de préserver l’esprit de ce site qui apporte vraiment quelque chose de bien aux reporters amateurs et dont il serait dommage qu’une évolution vienne les empêcher de profiter de cette possibilité.
    Bien à vous.
    Henri.

    …………….

    @ERICREDACTEUR
    Vous ne semblez pas avoir bien compris ma proposition !

    1/je propose de supprimer « les rubriques » (santé, politique,international,etc…)

    2/ je ne dis pas qu’il faut attribuer une case à chaque éditorialiste. Si j’ai bien compris, ils seraient une quarantaine et je ne crois pas qu’ils publieront un article chacun, tous les jours !
    Non, il s’agit de leur réserver un certain nombre de cases. (14 peut-être… le chiffre reste à définir). Ensuite Sophy, avec son comité rédacteur, déciderait chaque jour, comme dans un journal, les articles des éditorialistes qui seraient édités sur ces cases. Les autres cases verraient défiler les articles des autres reporters, comme aujourd’hui, avec modération, mais sans rubriques particulières, le titre se suffisant en principe à lui-même et je le répète, la modification du logiciel ne doit pas être bien importante !

    3/Votre idée de composer la « une » selon les suffrages tous rédacteurs confondus peut paraître généreuse, mais outre le fait que sa mise en place doit être compliquée, elle ne semble pas compatible avec l’évolution souhaitée par le site : « s’appuyer sur 40 éditorialistes en priorité ».
    Votre idée de « sélection » par les lecteurs risque de poser très vite des problèmes. (Certains éditorialistes risqueraient de rester longtemeps dans l’ombre s’ils ne sont pas sélectionnés et il en serait de même pour les rédacteurs amateurs ! Je ne pense pas que ce site puisse aller mieux avec « plus de sélection » !
    Cordialement.
    Henri

    ………………….

    @Philippus
    Vous avez parfaitement raison ! Séparer les gens par classe sociale de presse ne représente certainement pas un progrès, mais vu que la décision de créer la catégorie des « éditorialistes » est prise, autant demander qu’en une il y ait un certain nombre de cases réservées pour les autres reporters et fonctionnant comme aujourd’hui, en supprimant cependant « les rubriques », contraninte qui, si elle était maintenue pour ces cases, aurait pour effet de limiter les rubriques et de faire écraser rapidement un article par un autre !
    Au moins qu’il ne reste pas en « une » que les articles des « éditorialistes », qui, je pense, auraient toutefois du mal à fournir quarante articles chaque jour !
    Cordialement.
    Henri.

  27. Bon, j’ai dit tout ce que j’avais à dire, je laisse le soin au trio qui nous « gouverne », de trancher, et d’imaginer une solution fiable et durable.

    SOPHY

  28. [b]Bonjour à tous,

    je ne me suis pas encore exprimé sur ce sujet, bien que je suive avec attention les propos de chacun. J’ai pour le moment fait le choix de rester muet et de suivre les débats, et il est temps donc de vous livrer mon impression [u]personnelle[/u].

    Aujourd’hui, le site est à vrai tournant de son existence. En effet, C4N connait un accroissement de sa notoriété, notamment depuis l’ouverture aux pays francophones (en atteste l’arrivée d’étudiants du Québec l’an passé). Vous le savez, des rédacteurs de Belgique, d’Afrique, etc, écrivent ou passent chaque jour ou presque sur le site, preuve de l’engouement qu’il suscite.

    J’aimerais revenir sur un premier point, à savoir les 1€ de Droits d’Auteurs. Pour beaucoup en effet, perdre cet « acquis » n’est pas pécuniairement quelque chose d’insurmontable, loin de là, pour autant, perdre cette « carotte » [u]à plutôt une valeur symbolique de différenciation des talents, des auteurs, etc[/u]. Comme beaucoup l’ont dit déjà, des auteurs non éditorialistes, n’auront pas forcément toujours des articles moins intéressants, ou moins bons que les lauréats du comité de rédaction. Parfois même, certains articles sont plus intéressants pour la culture personnelle que certains autres articles de personnes plus « réputées » sur C4N. Attention, je ne vise absolument personne, loin de là. L’Histoire des 1€ est avant tout symbolique comme je l’ai dit, et n’a de valeur [u]que celle de la récompense d’un travail fourni, rien de plus.[/u] Faut-il conserver cette barre symbolique, ou au contraire la retirer? Et pourquoi ne pas mettre en place un système bloquant le seuil à 1€ par jour, que les auteurs aient écris un ou plusieurs articles? Une sorte de compteur quotidien, qui empêcherait certains personnes d’écrire 40 articles à la journée, au kilomètre, et qui laisserait plus de temps pour faire de vrais bons articles, non?

    Quelle place donner aux éditorialistes en matières de visibilité? Partager les cases de « une »? Peu équitable, pour les mêmes raisons que celles énoncées pour les 1€. Une rubrique spéciale « éditorialiste »? Trop réducteur. [u]Pourquoi alors ne pas mettre par exemple dans la colonne de Gauche sur le site, des liens renvoyant directement sur les articles des Éditorialistes, ou encore sur leur propre page[/u]? Beaucoup de sites fonctionnent de cette façon, tout en laissant à la fois la place aux choses misent en « Une », et aux rubriques plus « complètes ». En outre, [u]pourquoi ne pas mettre des liens en dessous des articles « non éditorialistes », renvoyant vers les « articles Editor.. » en guise de suggestion?[/u]

    Cordialement

    Tom

    PS : Je n’ai pas abordé tous les points, les cases commentaires ne sont pas assez grandes ;)[/b]

  29. [b]Autre idée…

    Pourquoi ne continuer comme aujourd’hui à mettre « dans les cases » et sans distinction, les derniers articles écris, et mettre en place une sorte de bandeau animé déroulant en haut du site, avec les seuls articles des éditorialistes qui défilent?

    Je m’explique :

    Aujourd’hui sur le site, nous avons une case « evolution » entre les publicités sponsorisées, et les premières cases articles. Pourquoi ne pas mettre en lieu et place de cette case, [u]un bandeau déroulant, avec les titres et les photos des articles « Edito.. »[/u] pour attirer le regard vers ces derniers, [u]tout en continuant sur le même système qu’auparavant avec les cases « classiques » occupées en fonction de l’arrivée des derniers articles? [/u]

    En sus, pourquoi ne pas se servir dans colonne de Gauche qui ne sert à rien aujourd’hui, [u]pour mettre en avant les Editorialistes au travers de lien renvoyant vers leurs pages perso[/u], comme le font beaucoup d’autres sites?

    Dernier point, qui pour moi qui suis là depuis un bon moment, comme beaucoup, [u]nous aimions beaucoup les hyperliens en bas de la page d’accueil qui mettaient en avant les articles les plus consultés et les plus commentés.[/u] Une case qui permettait de tout de suite voir les débats en cours, etc. Vous allez me dire, aujourd’hui, l’onglet « Débat » est fait pour cela. Je répondrais que la visibilité est bien moins évidente, et ne permet pas de gagner en attractivité.

    Qu’en dites-vous?

    Tom[/b]

  30. je prends un peu de temps ce soir pour lire attentivement les commentaires suscités par notre recherche actuelle ( commentaires fort intéressants et qui montrent votre grand investissement dans l’évolution du site ).Il y aurait beaucoup à dire et je ne doute pas que nos responsables sauront prendre tout cela en compte .
    Donc juste un petit détail concernant les doublons : en tant que modératrice,et avec l’accord du boss, je ne suis pas opposée à l’édition de deux articles traitant du même sujet dans la mesure où les rédacteurs n’ont pas forcément la même approche ni la même personnalité …Ils peuvent devenir complémentaires.
    Par contre en effet , il est nécessaire de ne pas les mettre dans la même rubrique où ils s’écraseraitent ce qui me semble injuste.
    En voyant arriver celui de Sophy après celui de JPV..j’ai donc fait le nécessaire pour ne pas que cela arrive…Après tout la rubrique n’est pas tout et les 2 articles méritaient bien d’être mis en valeur !!

  31. @ moderato :
    Ce matin quand j’ai envoyé mon article personne n’avait écrit sur André Verchuren. Je vérifie à chaque fois.
    Quand j’ai voulu corriger quelques fautes, juste en dessous de moi j’ai vu apparaitre celui de Jp.Visee :
    En effet la rubrique était différente.
    Pas de comparaison dans le titre, et cureiuse je suis allée lire le texte de mon « collègue ».
    Il ne ressemblait en rien avec le mien.
    Donc je n’ai pas eu de remords.

    Je viens aussi de constater que Yolaine et Jef Tombeur traitent tous deux de la diminution du taux du Livret A

    Aucune comparaison possible entre ces deux rédacteurs aux styles différents. là encore il n’y a pas de souci à se faire.
    J’ai dans mon dossier « articles en attente », un article que j’ai peaufiné au moins pendant deux jours.
    Je ne peux l’envoyer maintenant, l’évènement que je relate ne s’est pas encore produit, mais le jour où l’annonce sera officiellement faite, là je peux vous dire que j’enverrai mon article même si d’autres traitent le même sujet.
    De toutes façons, il sera abordé avec ma sensibilité, et comme vous le dites chère modérato, il complètera ceux écrits par mes confrères.

  32. Je ne vais pas me bisbiller avec Yolaine : quand j’ai commencé à rédiger sur le Livret A, la recherche dans le site ne faisait remonter aucun article vraiment très récent.
    Il est fort possible qu’elle ait commencé à rédiger avant que je mette en ligne (validation).
    Bref, je ne vois pas trop comment on peut éviter cela.

  33. @ Jef : problème résolu : les doublons qui n’en sont pas ni dans le titre, ni dans la rédaction resteront visibles par tous !

  34. Sophy

    je viens de réponde dans un autre sujet à Humaniste qui réclamait une meilleure rémunération que 1 euros… afin de satisfaire chacun et de répondre aux besoins de vision et surtout de qualité pour la suite, voir ma proposition ci-dessous…

    La solution serait éventuellement de rémunérer l’auteur en fonction des intervenants et sa vision réelle au nombre de clics dans le temps…

    (lui attribuer ensuite mathématiquement un pourcentage de sa rémunération au mérite réel ainsi)

    Sous réserve d’organiser un bon service de modération et d’avoir un bon informaticien pour gérer cela dans le programme.

    Payons à la juste valeur la qualité ainsi et vous verrez arriver de nombreux auteurs et intervenants je pense… (et des gens qui attendent ici et qui n’écrivaient plus… lassés devant le quantitatif sans fond…)

    Pensez à rémunérer aussi les intervenants « éventuellement » (pourquoi pas ils œuvrent parfois plus que l’article en lui même…vous le savez bien vous le dites souvent) eux qui entrent sérieusement dans des débats intéressants et par une régularité de présence sur les sujets.

    Payer à sa juste valeur « chacun » en somme… les citoyens seront tous d’accord avec cela et vous n’aurez pas à vous justifier des réclamations générales vous et la Direction…

    De belles plumes sur des sujets de qualités « qui intéressent » trouveraient ainsi un endroit idéal avec le désir de rester par une reconnaissance réelle…

    PH

  35. Philippus, le Boss, comme l’appelle modérato, nous lit, et prendra la bonne décision, j’en suis sûre.
    Les vacances arrivent, et je pense que pour Septembre tout sera mis en place pour une meilleure visibilité de C4N sur l’Internet en général.

    J’ai toute confiance en lui.

  36. une petite remarque en passant : nous sommes nombreux à échanger par commentaires interposés sur l’avenir de C4N . Cela intérresse-t-il réellement le lecteur du site ? Ne devrait-on pas pouvoir échanger sur une zone réservée.

  37. Je vous signale que les éditorialistes peuvent échanger ICI :

    [url]https://www.facebook.com/groups/redactionC4N/[/url]

    Cette page a été crée uniquement pour çà, et pour l’instant il n’y a pas grand monde !!

  38. Bonjour Sophy,

    Oui ma demande a été faite il y a 4 jours et je n’y ai toujours pas accès donc pour moi pas d’autres moyens 🙂

  39. Pourquoi remplir facebook alors que C4N se vide Sophy ?
    Si les réseaux dits sociaux ont un impact pour attirer des nouveaux et optimiser son propre site attention de ne pas tomber dans ce travers et ainsi abandonner la maison mère. Les réseaux ont fait abandonner de nombreux sites ces dernières années, beaucoup en reviennent maintenant.

    Internet est chronophage de plus en plus par les extensions, les gens ne peuvent plus suivre chaque jour…
    Votre présence ici régulière était certainement plus profitable au site sur le plan du verbe qu’a la recherche de chiffres vides de sens.

    PH

  40. Philippus :
    Mais je suis toujours présente sur C4N, pas de problème pour moi, mais je répondais à Eric qui demandait un endroit spécifique pour nos échanges sur le thème.

  41. Oui Sophy mais vos articles étaient plus utiles il me semble… maintenant devant un article de Ericrédacteur et sa demande d’échanger ailleurs qu’ici cela me surprend…

    son article présent est bien une invitation à échanger ici sur ce sujet. ce serait même ce sujet qui primerait pour les lecteurs en ce moment et ceux qui désirent rejoindre C4N ou y rester…

    laisser ouvert C4N et ne pas en faire un forum réservé surtout…

    PH

    PH

    PH

  42. [quote]Cela intérresse-t-il réellement le lecteur du site ? Ne devrait-on pas pouvoir échanger sur une zone réservée. [/quote]
    Celui que cela n’intéresse pas ne lit pas. Mais à titre personnel, je trouve important voire essentiel qu’il existe un débat transparent, ouvert à tous pour débattre de l’avenir de C4N qui est censé être un site « citoyen », NON ? (bien que ce mot ait disparu depuis quelque temps, j’espère que ce n’est pas révélateur d’un manque d’ouverture à tous!)

  43. Aucun moment ne paraitrait plus opportun ou approprié pour rappeler le sonnet-acrostiche que Jacques Monnet publia le 20 septembre 2012 à l’occasion de son cinq centième article :

    [i][b]L[/b]e voici, le voilà, cette fois mis en vers
    [b]E[/b]n guise de merci à tous ceux qui me lisent
    [b]C[/b]ommentateurs pointus aux riches analyses
    [b]I[/b]llustrant d’un autre œil du monde les travers

    [b]N[/b]otre site C4N accueille à cœur ouvert
    Quantités de pensées très librement émises
    [b]C[/b]hacun d’un coup de plume apporte des surprises
    [b]E[/b]crivant des articles se montre à découvert

    [b]N[/b]ul mérite ne sied là où naît le plaisir
    [b]T[/b]ant de lignes tracées au gré de mes désirs
    [b]I[/b]nvitent à mieux écrire un miroir de ma vie

    [b]E[/b]mplie de mots amis rassemblés pour avis
    [b]M[/b]oderato Sophy je dois vous saluer
    [b]E[/b]h oui, c’est grâce à vous, je vais continuer[/i]

    In memoriam … et tellement présent dans notre actualité !

  44. Une petite parenthèse, juste pour remercier JPLT007 de nous avoir déposé un « poème » de notre regretté Jacques Monnet
    J’ai bien pensé à lui en ce début de Juillet, où il aurait dû fêter son anniversaire, mais je ne l’ai pas signalé, par pudeur.

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