La manifestation a rassemblé plus de 1500 participants pour sa troisième édition. Au cours du rassemblement, plusieurs chefs d’Etat ont évoqué les progrès du continent et le besoin d’intégration régionale. A destination de la jeunesse, les travaux des participants sont notamment revenus sur les résultats du fonds « train my generation ». Avec l’ensemble de ces actions co-organisées par Richard Attias et Ali Bongo, le climat des affaires s’est considérablement amélioré comme le prouvent entre autres le conseiller spécial de Laurent Fabius, Lionel Zinsou, et le classement Doing Business…


Des réunions de travail aux allures de sommet politique :

Parmi les nombreux invités sélectionnés par Richard Attias, la ministre des Relations avec les institutions constitutionnelles, Porte-parole du gouvernement, Denise Mkam’ne-Taty, la présidente de la Confédération patronale gabonaise (CPG) et le Directeur général du Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS) ont tous apporté leur pierre aux réflexions sur la croissance de demain. Mais en plus des experts économiques, de nombreux responsables politiques avaient fait le déplacement. Ainsi, le sommet de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale a eu lieu en marge du New-York Forum Africa (NYFA), faisant du rendez-vous l’événement panafricain majeur de la région, avec une fois encore, la tenue d’un sommet de la conférence de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC).

La jeunesse : un défi colossal

Chaque année, selon le rapport de la banque mondiale, 12 millions de jeunes Africains entrent sur le marché du travail. Pour faire face à cette situation démographique, les participants ont créé le fonds « train my generation » doté de plus de 200 millions de dollars qui financeront des actions de formation et d’insertion professionnelle auprès des populations les plus fragilisées. Cette année, les invités ont notamment pu assister, le jour de l’ouverture, à la présentation d’une étude portant sur les aspirations des nouvelles générations africaines. Au centre des discussions, « les difficultés d’accès aux études supérieures, aux visas, pour étudier à l’étranger, ou encore à l’emprunt pour monter une entreprise ». La jeunesse du continent porte sur ses épaules l’avenir et l’espoir d’un peuple tout entier, et mérite à ce titre une attention toute particulière…

Le NYFA, une initiative au service du développement 

Devant le succès de l’opération, certaines personnalités gabonaises n’hésitent pas à demander des comptes au chef de l’Etat Ali Bongo. Pourtant, juste en chiffres, le forum qui a coûté 5 millions de dollars aura déjà permis la signature de 600 millions de dollars de contrats, essentiellement avec l’épargne africaine mais aussi avec de nouveaux investisseurs étrangers. Comme le résume le président de PAI Partners, Lou Zinsou, « Les investissements étrangers sont essentiels mais restent un appoint. L’épargne de l’Afrique est ce qui va le (développement africain) financer ». Autre indication du succès de l’initiative, le classement doing business affiche une nette progression du « climat des affaires » en Afrique subsaharienne ces dernières années. Au-delà des sommes sonnantes et trébuchantes, c’est bien une amélioration de réputation et d’attractivité qu’a pu permettre cette manifestation !

 

 

 Des réunions de travail aux allures de sommet politique :

 

Parmi les nombreux invités sélectionnés par Richard Attias, la ministre des Relations avec les institutions constitutionnelles, Porte-parole du gouvernement, Denise Mkam’ne-Taty, la présidente de la Confédération patronale gabonaise (CPG) et le Directeur général du Fonds gabonais d’investissements sDes réunions de travail aux allures de sommet politique :

 

Parmi les nombreux invités sélectionnés par Richard Attias, la ministre des Relations avec les institutions constitutionnelles, Porte-parole du gouvernement, Denise Mkam’ne-Taty, la présidente de la Confédération patronale gabonaise (CPG) et le Directeur général du Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS) ont tous apporté leur pierre aux réflexions sur la croissance de demain. Mais en plus des experts économiques, de nombreux responsables politiques avaient fait le déplacement. Ainsi, le sommet de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale a eu lieu en marge du New-York Forum Africa (NYFA), faisant du rendez-vous l’événement panafricain majeur de la région, avec une fois encore, la tenue d’un sommet de la conférence de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC).

 

La jeunesse : un défi colossal

 

Chaque année, selon le rapport de la banque mondiale, 12 millions de jeunes Africains entrent sur le marché du travail. Pour faire face à cette situation démographique, les participants ont créé le fonds « train my generation » doté de plus de 200 millions de dollars qui financeront des actions de formation et d’insertion professionnelle auprès des populations les plus fragilisées. Cette année, les invités ont notamment pu assister, le jour de l’ouverture, à la présentation d’une étude portant sur les aspirations des nouvelles générations africaines. Au centre des discussions, « les difficultés d’accès aux études supérieures, aux visas, pour étudier à l’étranger, ou encore à l’emprunt pour monter une entreprise ». La jeunesse du continent porte sur ses épaules l’avenir et l’espoir d’un peuple tout entier, et mérite à ce titre une attention toute particulière…

 

Le NYFA, une initiative au service du développement 

 

Devant le succès de l’opération, certaines personnalités gabonaises n’hésitent pas à demander des comptes au chef de l’Etat Ali Bongo. Pourtant, juste en chiffres, le forum qui a coûté 5 millions de dollars aura déjà permis la signature de 600 millions de dollars de contrats, essentiellement avec l’épargne africaine mais aussi avec de nouveaux investisseurs étrangers. Comme le résume le président de PAI Partners, Lou Zinsou, « Les investissements étrangers sont essentiels mais restent un appoint. L’épargne de l’Afrique est ce qui va le (développement africain) financer ». Autre indication du succès de l’initiative, le classement doing business affiche une nette progression du « climat des affaires » en Afrique subsaharienne ces dernières années. Au-delà des sommes sonnantes et trébuchantes, c’est bien une amélioration de réputation et d’attractivité qu’a pu permettre cette manifestation !ratégiques (FGIS) ont tous apporté leur pierre aux réflexions sur la croissance de demain. Mais en plus des experts économiques, de nombreux responsables politiques avaient fait le déplacement. Ainsi, le sommet de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale a eu lieu en marge du New-York Forum Africa (NYFA), faisant du rendez-vous l’événement panafricain majeur de la région, avec une fois encore, la tenue d’un sommet de la conférence de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC).

 

La jeunesse : un défi colossal

 

Chaque année, selon le rapport de la banque mondiale, 12 millions de jeunes Africains entrent sur le marché du travail. Pour faire face à cette situation démographique, les participants ont créé le fonds « train my generation » doté de plus de 200 millions de dollars qui financeront des actions de formation et d’insertion professionnelle auprès des populations les plus fragilisées. Cette année, les invités ont notamment pu assister, le jour de l’ouverture, à la présentation d’une étude portant sur les aspirations des nouvelles générations africaines. Au centre des discussions, « les difficultés d’accès aux études supérieures, aux visas, pour étudier à l’étranger, ou encore à l’emprunt pour monter une entreprise ». La jeunesse du continent porte sur ses épaules l’avenir et l’espoir d’un peuple tout entier, et mérite à ce titre une attention toute particulière…

 

Le NYFA, une initiative au service du développement 

 

Devant le succès de l’opération, certaines personnalités gabonaises n’hésitent pas à demander des comptes au chef de l’Etat Ali Bongo. Pourtant, juste en chiffres, le forum qui a coûté 5 millions de dollars aura déjà permis la signature de 600 millions de dollars de contrats, essentiellement avec l’épargne africaine mais aussi avec de nouveaux investisseurs étrangers. Comme le résume le président de PAI Partners, Lou Zinsou, « Les investissements étrangers sont essentiels mais restent un appoint. L’épargne de l’Afrique est ce qui va le (développement africain) financer ». Autre indication du succès de l’initiative, le classement doing business affiche une nette progression du « climat des affaires » en Afrique subsaharienne ces dernières années. Au-delà des sommes sonnantes et trébuchantes, c’est bien une amélioration de réputation et d’attractivité qu’a pu permettre cette manifestation !