Pendant que les soldats américains sont en Afghanistan pour une guerre dont on ne sait pas vraiment l’enjeu, des peuples du tiers-monde meurent de faim. Ce manque de nourriture dans certains pays serait facilement éliminé si nous nous s’en donnions suffisamment la peine. Il y a une solution très simple : le moringa.
Je me demande pourquoi nous n’avons pas entendu parler de cette variété d’arbres qui pourrait remplacer certains de nos légumes. Deux parties d’un arbre comestibles c’est déjà beaucoup, mais qu’est-ce que vous en dites si j’en ajoute une autre? Les graines de cet arbre peuvent être utilisées comme huile alimentaire et peuvent également servir dans les produits cosmétiques. Ce qui est encore plus merveilleux, chers lecteurs, c’est que cet arbre résiste à la sécheresse.
Pourquoi ne plantons-nous pas des arbres de cette sorte dans les pays où la famine fait rage? Cela leur ferait de la nourriture qui se renouvelle, puisque ces arbres ne mourront pas dans les conditions de sécheresse. La question principale à se poser est : Que font les gouvernements du Canada et des États-Unis, à dépenser des milliards de dollars dans une guerre qui ne semble mener nulle part, alors qu’ils pourraient prendre cet argent pour aller planter des moringas dans les pays d’Afrique et ainsi éliminer la faim de ces gens?
De plus, avec la température de la terre, qui augmente de plus en plus à une vitesse alarmante, le moringa devrait être une source d’étude approfondie, puisqu’il y aura peut-être bientôt, d’autres pays qui souffriront de sécheresse, voir la terre entière.
J’ai justement pour projet d’éradiquer la pauvreté dans le Tiers-monde… Pour le moment mon but était de faire construire des puits et d’y installer le système qui rend l’eau potable, mais s’il y a moyen d’y ajouter des moringas, je suis preneuse. Quelles sont les personnes à contacter ? BRAVO pour votre article !
je développe la filière du moringa depuis près de 4 ans. Je recherche des partenaires pour faire plus et dans plus de pays. Actuellement associé à une ingénieur agronome nous developpons une plantation d’une centaine d’hectares dans le bassin du congo.
Cet arbre est une des solitions en effet des pays qui souffrent des problèmes de la faim de l’accès à l’eau potable de la pauvreté de santé.
En anglais cet arbre est dit l’arbre miracle.
J’ai un conseiller scientifique doyen d’une grande université de biotechnologie qui travaille depuis 10 ans sur la purification de l’eau avec le moringa.
Enfin un commentaire pour Nathalie M.: j’ai un accord de partenariat avec les concepteurs d’une éolienne qui fabrique de l’eau grâce à l’humidité de l’air.
Le moringa peut devenir un outil remarquable pour lutter contre la désertification et la déforestation.
Et autre point important : arbre à croissance très rapide ( 3 mètres en 1 an environ )il pousse très bien sur des terres non agricoles tout en permettant de faire des cultures vivrères entre les arbres.
Merci à C4N pour cet article sur le moringa.
Dans l’attente de vos contacts.
Super ! Je reviens demain, il est tard ! On garde contact ! 🙂
Georges Senot, que d’espoirs en vous lisant… Contactez-moi : [email protected]
Grâce à vous, peut-être que le projet pourrait devenir viable, à nous tous nous y arriverons !
Vous savez de combien sont les dépenses à l’année pour l’armée ? 956 milliards de dollars !
C’est l’armée qu’il faut éradiquer ! Avec tout cet argent, combien d’arbres du Moringa nous pourrions planter ? Combien d’éoliennes nous pourrions mettre en place ?
Révolution Love & Peace ! Je vous le dis moi, il est temps que le peuple se prenne en main, cessons de nous faire assister par un gouvernement qui ne sait pas gouverner !
956 milliards d’Euros pardon, rien que pour l’armement militaire !
Ce thème est très intéressant et mérite que l’on s’y attarde sérieusement; je connais personnellement le MORINGA pour l’avoir découvert en Afrique il y a plusieurs décennies…Mais cet arbre « magique » existe aussi dans toute la zône tropicale, au Mexique et en Amérique centrale notamment; Moi-même, en tant qu’exploitant agricole au Venezuela oriental (Anzoategui) je suis de très près cette filière après que des amis ingénieurs agronomes du CIRAD m’aient confirmé l’adéquation des sols et du climat de la zône. Je suis prêt à m’y investir!
Je voudrais savoir si les moringas résisteraient au climat québecois?
Apparemment, il faut éviter de planter les graines de moringa pendant les périodes de grands froids et de grands chauds. Peut-être en les faisant pousser sous serre le temps de les faire démarrer, puis les replanter là où il y a besoin ? Là, je flanche. Georges Senot ? El ojo dela jaguar ? Que savez-vous par rapport au moringa et le climat ?
Serait-il quand meme possible en plantant les graines de moringa durant l’été de les faire survivre durant l’hiver? J’ai quelque idées, si cela est possible
Tout est possible… de mon humble avis.
[i]Pour tout savoir sur cet arbre magique[/i]
MORINGANEWS
Dr Armelle de Saint Sauveur
211 rue du Faubourg Saint Antoine
75011 Paris, FRANCE
Fax : +33 1 40 09 04 79
E-mail : [email protected]
PROPAGE (Association pour la promotion et la propagation du patrimoine végétal des régions arides et semi-arides) est une association de chercheurs, ingénieurs et botanistes qui cherchent à promouvoir l’utilisation durable des ressources végétales des régions sèches.
L’association, active depuis 1987, a travaillé sur de nombreux projets associant le développement et la conservation d’espèces végétales sauvages ou en voie de domestication : Moringa (Kenya, Soudan, Egypte, Mexique, Togo, Niger, Inde, Tanzanie), Cordeauxia edulis (Somalie, Kenya), Palmiers dattiers sahéliens (Niger, Mali), Karité (Burkina, Mali, Nigeria, Ouganda), Jojoba, gomme arabique (Kenya, Niger), etc.
Contact :
Michel Ferry, Président
E-mail : [email protected]
SILVA Arbres, Forêts et Sociétés
L’association « SILVA Arbres, Forêts et Sociétés », via le « Réseau International Arbres Tropicaux », soutenu par le ministère français de la Coopération, s’intéresse à la gestion durable des forêts sous les tropiques. Le réseau comprend plus de 1000 membres. SILVA a déjà édité de nombreux dossiers techniques et publications sur des thèmes liés à la foresterie en zone tropicale.
Contact :
Emilie Morin
SILVA
6 Avenue de Saint Mandé
75012 Paris, France
Tél./Fax : +33 1 43 40 11 25
E-mail : [email protected]
Site web : http://www.silva-riat.fr
CIRAD
Un organisme français de recherche agronomique au service du développement durable des pays tropicaux et subtropicaux.
Les sciences du vivant et les sciences sociales appliquées à l’agriculture, la forêt, l’élevage, la gestion des ressources naturelles, l’agroalimentaire, aux écosystèmes et aux sociétés du Sud.
Le Cirad comprend 7 départements organisés en 26 programmes. Ses activités de recherche sont organisées par filières, par territoires et par domaines scientifiques.
Contact :
Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD)
Siège social
42, rue Scheffer
75116 Paris, France
Fax : +33 (0)1 47 55 15 30
Site web : http://www.cirad.fr
ROUSSE ET NATHALIE M:
Le moringa existe essentiellement en zône tropicale sèche. Il y a tant de potentialités dans cette zône désertique dénuée de presque tout que je ne vois pas vraiment l’utilité de faire pousser des graines de moringa au Quebec! Pour quoi faire? Des éléments de cosmétologie? Et le coût de production alors? Savez vous que dans les pays du tiers monde correspondant à cette zône tropicale, les salaires agricoles dépassent rarement les 200 $ US par mois… Chères amies, la NATURE est parfaite et il ne faut pas la contrarier car elle finit toujours par reprendre le dessus (exemple du maïs transgénique de Monsanto qui a vu ses récoltes réduites à ZERO après quelques années de production satisfaisantes?) ! Le moringa pousse (ou peut pousser) là où le besoin se fait sentir et je vous assure que ce besoin est ILLIMITE…
Des expériences de culture du Moringa en serre sont présentement en cours dans deux collèges du Québec, à Alma et Jonquière. On y cherche les meilleures techniques de production pour maximiser la production de matière sèche,vendue surtout pour sa valeur nutritive. Et on cherche aussi à mieux connaître la plante et à en expérimenter la cuisine. Un groupe d’étudiant se prépare d’ailleurs pour aller en Haïti pour en savoir plus sur l’arbre miracle: http://www.lbr.ca/article-10-12408.html
Je félicite les étudiants du Quebec pour leur intérêt pour la culture du Moringa. Mais les conditions de culture en serre n’ont rien à voir avec la cruelle réalité du terrain…faire pousser des roses en serres climatisées au Kenya ou les mêmes roses en serres chauffées au coeur de l’hiver norvégien, c’est différent des conditions de culture en Afrique ou en Amérique; je suis prët à inviter ces étudiants québécois à venir planter le moringa sur des dizaines de milliers d’hectares, ici au Venezuela oriental, à travers le Rotary International (Interact, Rotaract)!
Ouahhhhh ! Voilà une excellente idée ! A mettre en application ! Une perche est tendue ! Saisissez-là ! Nous pouvons repeupler notre planète de nourriture pour tous ! l’Abolition de la faim dans le monde est en route ! Oui à la richesse de la terre, celle qui nous fait vivre !
Dans le même ordre d ‘idées, je voudrais profiter de l’intérêt suscité par le moringa pour vous ouvrir les yeux sur un autre arbre, bien connu au Mexique, Amérique Centrale et dans la ceinture de la zône tropicale nord, le NIM.
« El árbol del nim tiene una notable resistencia a la sequía. Normalmente sobrevive en zonas con condiciones subáridas a subhúmedas, con una precipitación pluvial entre 400 a 1200 mm. Puede desarrollarse en regiones con una precipitación inferior a los 400 mm, pero en ambos casos el desarrollo depende de la cantidad de agua subterránea. El nim puede desarrollarse en diferentes tipos de suelo, pero sobrevive mejor en sustratos bien drenados, profundos y arenosos (con un pH de 6,2 a 7). Vive en regiones con una temperatura anual de entre 21 y 32 °C, puede tolerar muy altas temperatura, pero no tolera temperaturas menores de 4 °C, porque se deshoja y puede morir. Como especie oriunda de zonas tropicales y subtropicales, el árbol demanda mucha luz y temperaturas entre 26 y 36 °C, prefiriendo suelos profundos y suelos del tipo loan o arenosos, aceptando también cierto grado de salinidad… »
cet arbre est très intéressant aussi pour la diversité de ses applications.
PRINCIPALES APPLICARTIONS DU NIM
El nim fue introducido para cultivo a otros países de Asia, a África, América, Australia y las islas del sur del Pacífico, está presente en zonas tropicales y parecidas al tropical, se evita plantarlo en las zonas montañosas.
Los extractos de nim actúan, en los insectos, como antialimentario, inhibidor de crecimiento, prolonga las etapas inmaduras ocasionando la muerte, disminuye la fecundidad y la oviposición, disminuye los niveles de proteínas y aminoácidos en la hemolinfa e interfiere en la síntesis de quitina.
Estas características hacen que las sustancias obtenidas del nim no funcionen como tóxico sino que intervienen en los procesos químicos y fisiológicos de los insectos. En la industria de jabones reemplaza a los aceites de coco, palma africana y maní. Como contiene ácidos mirístico y laúrico, los jabones fabricados con dicho aceite tendrán más espuma y más detergencia que aquellos fabricados con aceites comestibles. También es superior al aceite de higuerilla o ricino.
La pulpa tiene fama en la India como generador de gas metano.
La planta como fertilizante orgánico es superior al estiércol vacuno, porcino o de otra fuente. También, como abono orgánico es apreciada por sus propiedades insecticidas y repelentes, especialmente contra ciertos insectos como las termitas o comejenes y los dañinos nemátodos. Mezclada con urea para abonar el suelo, da buenos resultados y actúa como biocida. No solamente la planta sirve como abono orgánico. Las hojas verdes constituyen un fertilizante excelente y barato.
Muchas de las propiedades mencionadas no tienen respaldo científico, pero su renombre está basado en el conocimiento tradicional y anecdótico de la medicina ayurvédica. Todas las partes del árbol son utilizadas para preparar diferentes remedios y el aceite del nim es usado para preparar cosméticos (champú, bálsamos, jabón y cremas). Además del uso medicinal, los árboles de nim se cultivan para disminuir la desertificación y se cree es un buen absorbente del dióxido de carbono.
El Ojo del Jaguar, muchas gracias pero… je ne suis pas sûre que tous les reporters lisent l’espagnol. Tu ne l’as pas en français ce texte ?
HOLA NATALIA, suite à ta remarque, voici une fiche en françaissur le NIM: »
Le Nim (Azadirachta indica), ou Neem, ou Goo en bambara ou encore Margousier est un arbre qui possède des vertus médicinales avérées. Ces propriétés sont dus à différents alcaloïdes naturels. C’ est un arbre à feuillage persistant, originaire de l’Inde, de la famille des Méliacées, et importé dans le Sahel où il s’est bien acclimaté.
Cet arbre est fréquemment utilisé pour ses propriétés antimalariques. La décoction aqueuse de feuilles ou de racines s’emploie ainsi dans le traitement du paludisme (qualifiée de nivaquine naturelle)
Par ailleurs, il joue un rôle important pour combattre les vers et les maladies de la peau.
La décoction d’écorce soulage en cas de fièvre, de soif, de malaise, de maladies de la peau et de morsures de scorpions ou des serpents.
Le suc fermenté d’écorce ou de racines serait efficace contre la lèpre et les maladies chroniques de la peau. Le suc frais de jeunes feuilles est employé contre les ulcères et les vers et agirait sur les virus et les bactéries.
Certains signalent que les feuilles et écorces de A. indica sont diurétiques et antiblennoragiques en association avec Acacia nilotica var.adansonii.
Au Mali, on retrouve l’indication contre la fièvre jaune mais c’est la décoction des rameaux feuillées qui est utilisé en fumigation. Pour augmenter l’efficacité du traitement, on conseille de boire une partie de la décoction.
Enfin ses fruits offrent un insecticide redoutable, l’azadirachtine, totalement inoffensif pour les hommes et animaux à sang chaud mais vulnérable à la lumière. Il bloque la métamorphose du stade larvaire à celui d’adulte et paralyse son tube digestif…. »
Le NIM est aussi parfaitement adapté aux sols et climat d’Amérique Centrale et des pays du nord du continent sud américain, Colombia, Venezuela (los llanos).
Comme pour le MORINGA son exploitation peut-être une source de développement pour ces pays du tiers-monde.
Merci beaucoup El Ojo del Jaguar !
Donc il y a 2 arbres sûr que nous pourrions implanter là où c’est nécessaire ! Le MORINGA et le NIM, message reçu ! Si tu sais comment se procurer ces 2 arbres, j’aimerai le savoir. Je pense que maintenant que nous avons ces connaissances, il est temps d’agir ! J’ai besoin d’un devis. Combien ça coûterait d’acheter 100 kg par exemple de ces graines pour ces arbres et combien d’arbres peuvent pousser avec ces 100 kg de graines ? Est-ce qu’il y a beaucoup de choses à savoir pour pouvoir les planter correctement ? Quels sont les risques ? Comment faire pour être sûr que ça pousse correctement ? Combien de temps entre la plantation et le moment où on pourra utiliser les vertues de ces arbres ? Combien de personnes sont nécessaires pour assurer le développement de ces arbres, de la plantation à la récolte ? Y-at’-il une formation spécifique à avoir ? Est-ce que cela s’apprend vite ? Si j’apprends, je peux alors apprendre à mon tour aux personnes qui s’impliqueraient et je peux aller de lieux en lieux déposer mes graines, en commençant par le Tiers-Monde qui a un besoin plus qu’urgent.
Au fait… Merci Libertinus pour les renseignements fournis sur les associations qui veulent conserver et domestiquer ces arbres.
No problemo
Nathalie, le moringa et le nim sont sensiblement différents: pour simplifier, je dirai que le premier (moringa)offre davantage de possibilités pour des applications agro-alimentaires, traitement de l’eau, cosmétiques, etc…tandis que le second(nim) est plus propice à l’aspect médicinal et santé des population locales. Les DEUX sont donc totalement COMPLEMENTAIRES.
Tu pourras trouver des réponses intressantes et pratiques à tes questions auprès des services du CIRAD (ex Institut de recherche agronomique tropicale -IRAT) ou INRA, ORSTOM, BRGM, dépendant du Ministère de l’Agriculture. De nombreuSes sociétés françaises spécialisées commercialisent les graines, généralement en sacs de 50 kg et pour des unités minimales de 1000 kg. Le prix est variable (autour de 45 euros le kg prix départ). Ici nous nous approvisionons sur le marché américain, donc sans intérêt pour l’Afrique)…
Mais attention: la CULTURE tropicale, ce n’est pas du jardinage…TU peux faire pousser quelques arbres (même dans ton jardin) , certes, mais cultiver des centaines d’hectares c’est AUTRE CHOSE!
Et bien expliques-moi ce qu’il faut faire ! Je veux le faire ! Par où on commence ? Quels sont les différentes étapes à parcourir ?
Et pour commencer, quel est l’étape n°1 ? Tu me dis et je vois ce que je peux faire pour le faire. Quand ça sera fait, tu m’expliqueras l’étape n°2. Si tu veux contribuer à éradiquer la faim et la maladie dans le monde bien sûr, mais ça j’en suis sûre que oui !
Bonjour à tous!!
J’aimerais savoir s’il est possible de se procurer des graines de Moringa au Québec??
Si oui? DAns quel région?? Merci d’Avance!! 🙂
Je suis un producteur de Moringa au Niger. J’ai un problème que voici: J’ai planté en septembre 2012 environ 20 kg de semi de Moringa dans mon champs. A raison de deux grains par poquet avec un écartement de 20 cm par pied pour une production intensive. Les pluies de septembre n’ont pas été abondante dans ma zone pour la germination de ces grains de Moringa.
1- Ma question: Ces semis sont perdus? Ou-bien ils peuvent germer si je les arrose? Oubien ils peuvent germer à la prochaine saison hivernale de 2013?
2- Certains de mes jeunes plants de Moring ont perdu leurs feuilles environ un moi après la fin de la saison de pluie. Sont ils morts? Pourrai je les régénérai en les arrosant?
Merci pour un éclaircissement sur l’arbre miracle
Bonjour, je répondrai simplement à notre intervenant que le Créateur nous a donné un cerveau pour penser et des yeux pour voir…Pour trouver, il faut chercher, être curieux et ne pas se contenter d’écouter le journal de 20h ou de lire son quotidien. Le moringa est un arbre qui est décrit dans la bible (l’arbre de la purification)et que connaissaient les sumériens et les égyptiens! Ici en Amérique, les amérindiens l’appellent « el arbol milagroso »…Que son existence « miraculeuse » nous fut sciemment occultée aussi longtemps, cela n’a rien d’étonnant dans une société totalement manipulée et désinformée, uniquement motivée par la recherche d’un profit immédiat et rapide.
Le moringa pousse tout seul ( croissance rapide de 3m/an) dans des climats semi-désertiques, presque sans eau (la rosée nocturne lui suffit)… De plus tout en lui est utilisable, feuilles, écorce, bois: cela n’intéresse donc personne car il n’y a pas de « valeur ajoutée ». Chacun peut le cultiver simplement et sans effort, utiliser ses feuilles ou ses gousses ( nutrition, biologie, pharmacologie, cosmétologie, etc), son écorce (purification de l’eau), son bois (fabrication de charbon)! Les grandes multinationales avides de profits préfèrent donc l’ignorer…aussi simple que cela!
Mais il y a PIRE: la planète est surpeuplée, des programmes de réduction de population sont mis au point pour « éliminer » rapidement au moins 2 (deux) milliards d’habitants (maladies, épidémies, famine, modifications climatiques telles que tsunamis, éruptions, séismes, génocides organisés, etc) …
Mais peu à peu, grâce à ce prodigieux moyen d’investigation qu’est internet, les consciences s’éveillent et les choses commencent à bouger; tant mieux car il est temps que l’humanité se donne les moyens de sa survie.
Les pays occidentaux ont les moyens d’enrayer la faim dans le monde. Quelques jours du budget militaire en afgahnistan permettrait de répondre déja à donner à manger à tous…
L’occident aide afin de « développer » les pays pauvres ou émergeants à devenir des consommateurs.
L’afrique à toutes les ressources naturelles pour devenir le grenier et le frigidiare de ce continent, mais l’on n’enseigne pas cela dans les approches, ils deviendraient trop dangereux pour le reste du monde qui à besoin de ses ressources naturelles minérales ou pétrolière.
Maintenant, que les gens sont aussi conditionnés en Afrique, les locaux ne veulent pas d’eux-même planter, bien souvent ils le font si les ONG assistent et paient, ils sont demandeurs d’argent et non pas de solutions pour pêcher enfin seuls…
PH
Moi je les terres au mexique et les semences du nimm et bientot la moringa, et du mond por travailler, mais je pas assez d argents pour faire ca tout seul, mais jaimerai pouvoir aider le monde !! et je commence de plantacion de mangues aussi. Si il yas quelqun interese j habite a quebec et on peut discuter.