Il sempblerait que les choses se soient mal passées entre Cécile Duflot, leader des Verts et des journalistes locaux au cours d’une conférence de presse récente !
Le journaliste local en question explique aux lecteurs de l’Union « qu’il s’est permis de quitter la table, mardi midi à Reims, constatant que Cécile Duflot ne levait pas son œil de ses téléphones, ou alors pipelettait à droite à gauche sans se préoccuper des journalistes qui lui faisaient face et qu’il lui a simplement fait remarquer, en partant, qu’elle avait encore des choses à apprendre dont la politesse ». Cécile Duflot lui a répondu : " Je n’ai rien à apprendre d’un journaliste d’extrême droite " . Et, il enrage encore plus écrivant : « comment une fille que je n’ai jamais vue de ma vie, qui n’a jamais lu un seul de mes articles, et avec qui je le jure je n’ai jamais gardé les oies, peut-elle se permettre de porter un tel jugement ?
Le journaliste Rémois blessé, ne décolère pas… « Plus à l’aise pour twitter que pour parler aux journalistes locaux, la petite Cécile fait sa crécelle sur les ondes et répand ses infamies », écrit-il dans le journal l’Union.
Il enrage surtout en constatant « qu’il paraît que cette tête à claques de Cécile Duflot se répand sur Twitter pour dire qu’un journaliste rémois (moi) l’aurait insultée ».
Dans un autre article publié précédemment dans le même journal, le journalsite irrité s’était déjà expliqué sur sa sortie : « mais que voulez-vous. A voir en face de soi la maman de la petite Térébentine ne pas lever le nez de ses deux téléphones, pire que Nicolas Sarkozy durant sa grande période, ignorer les journalistes qu’elle avait pourtant invités, ça couperait l’appétit même du journaliste le plus alimentaire. C’est comme ça que doucettement j’ai senti comme une irritation monter, alors que la carotte est censée rendre aimable et la betterave rouge prévenir la démence.
Pour dire les choses autrement, et employer une métaphore champêtre, Cécile Duflot commençait à me les brouter menu. ».
On trouve rarement de tels propos dans les colonnes des journaux, fussent-ils locaux ! jamais un journaliste ne se permer d’aller aussi loin !
Le journaliste Rémois ne comprend pas qu’on l’ait traité « d’extrême droite parce qu’il a posé une question sur le rapport entre les ouvriers et l’écologie. Il en a reparlé avec une écologiste locale qui lui a dit : « oui, mais vous avez quand même posé une question provocante en demandant pourquoi un ouvrier voterait pour la liste Ecologie ».
Il faut bien reconnaître que le journaliste blessé par la Chef des écolos n’aime pas l’écologie. Ainsi, pour terminer, il écrit : « ma conclusion, provisoire comme notre vie, c’est que la déesse Ecologie n’a pas de chance dans notre pays, mère-maquereautée par des harpies style Duflot ou Joly ! » Dans sa colère, il ajoute des propos déconcertants : « comment voulez-vous faire confiance en une fille (Duflot) qui a appelé sa fille Térébentine parce que son mari est des Landes et qu’il adore l’essence des pins ? Et s’il adorait la vaseline, elle l’aurait appelée comment ? »
On peut comprendre qu’on puisse être agacé par ces gens qui pianotent sur le téléphone lorsqu’ils sont en réunion avec d’autres. On peut comprendre aussi qu’on puisse combattre les idées des écologistes, mais quand des journalistes ont un tel comportement, cela n’honore pas leur métier.
J’ai relevé ces propos dans un journal local parce qu’il me semble que c’est quand même inhabituel de trouver çà dans les échanges entre journalistes et interviewés ! Espérons qu’il n’y en aura plus d’autres de ce style là !
Sources : L’Union (1) – L’Union (2)
Il reste au moins [b]UN[/b] journaliste en France qui en « a »!