La société prospère et devient plus forte lorsque les couples mariés restent ensembles, c’est la conclusion a laquelle sont arrivés les chercheurs de l’organisation Family Research Counsil de Washington.
Dans le cadre de la conférence annuelle Marriage and Religion Research Institute (MRRI), les chercheurs ont analysé l’état de santé de la société, se basant sur le pourcentage d’enfants qui grandissent dans une famille divorcée et non-divorcée (christianpost.com).
Les participants à la conférence ont souligné l’importance qu’a sur les jeunes et sur l’état d’esprit de la société, les familles qui restent soudées, qui dépassent ensembles les difficultées et qui ne considèrent pas le divorce comme une option.
‘Seulement 45% des enfants américains on grandit dans une famille intacte, alors que 55% d’entre eux ont grandit dans une famille dont les parents biologiques ont divorcés’ a précisé Patrick Fagan, directeur du MRRI.
‘L’institution familiale se dégrade de plus en plus, parce que de plus en plus de couples choisissent le divorce. Et quand il y a un conflit entre les parents, les enfants en payent le prix. Résultat de ça, la société en paye le prix’ a continué Fagan.
D’après le rapport du MRRI, les enfants qui grandissent dans des familles séparées ont une plus petite capacité à offrir quelque chose de constructif à la société de laquelle ils font parti. La baisse incessante du nombre de familles intactes, n’a pas seulement des implications majeures pour la société mais par extension pour la planète entière.
[b]Les traumatismes des divorces atteignent l’individu beaucoup plus gravement qu’on ne le dit communément. Apparemment ceux là jouent la comédie, mais leur entourage paye le prix de cette douleur communicative et les enfants encore plus. L’égoïsme des uns, la frivolité des autres pour ne citer que ces causes amènent à des ruptures ravageuses. Je souscrit grandement à votre article qui montre un des très gaves dangers qui nous guettent. Peut-être cette destruction de la cellule familiale est-elle délibérée ?[/b]
C’est exactement le fond de ma pensée zelectron, mais c’est surtout ce que j’ai vu. Des enfants, en perte de repère, mal dans leur peau, et qui essaient tant bien que mal, de faire ce qu’ils peuvent (même si l’on nous dit que les enfants comprennent), tandis que les adultes inconscients changent de partenaires au gré de leur envie. Même si je parais caricaturale, le fait des choses et bien celui-là !
Merci pour l’article cata_gix, il fallait l’écrire !
[quote]les adultes inconscients changent de partenaires au gré de leur envie. Même si je parais caricaturale, le fait des choses et bien celui-là ! [/quote]
Quelle caricature, Nordi!
Comme si la majorité des divorces étaient le fait d’adultes inconscients et heureux de multiplier les séparations . Avez-vous déjà vécu un divorce ?
Avez-vous connu de ces couples qui par religion ou autres raisons troubles continuent à cohabiter sans le moindre amour « pour les enfants »? Savez-vous les ravages que cela fait chez ces derniers?
Regrettez-vous le temps où les épouses, soumises matériellement et psychologiquement à leur conjoint, devaient ravaler toute dignité, se taire et se sacrifier sur l’autel du mariage ?
Avez-vous oublié que la durée de la vie n’est plus la même, que les conditions ont changé avec le temps et qu’il devient difficile de s’engager sincèrement sur 60 azns ou plus de vie commune?
@Siempre
Mais les traumatismes subsistent, le divorce reste une déchirure volontaire ou pas, y compris en tenant compte des temps présents, de plus en ce qui concerne les enfants il n’en reste pas moins vrai qu’ils n’ont aucunes fautes à se reprocher et pourtant … ils payent le prix fort.
[quote]en ce qui concerne les enfants il n’en reste pas moins vrai qu’ils n’ont aucunes fautes à se reprocher et pourtant … ils payent le prix fort. [/quote]
Les enfants, de part leur dépendance à la famille, sont hélàs TOUJOURS victimes de la mésentente des adultes, qu’elle soit ouverte ( dans le divorce) ou cachée (les couples désunis qui restent ensemble)
Je ne vois malheureusement pas comment on pourrait l’éviter. Il faut simplement s’efforcer de les aider, soi-même ou/et avec des thérapeutes , à surmonter le traumatisme…Les enfants sont plus solides que bien des adultes ne l’imaginent. Il faut leur parler et les laisser en parler.
Bonsoir tout le monde !….[b]& SIEMPRE[/b] en particulier,
[i]
« Les enfants sont plus solides que bien des adultes ne l’imaginent. Il faut leur parler et les laisser en parler. »
[/i]
Hé oui…peut-être en cause la simplicité de l’enfant face à l’inextricable complication du monde adulte.
Quant à la souffrance, m’est avis que tous les acteurs du séisme affectif souffrent.
[quote]Quant à la souffrance, m’est avis que tous les acteurs du séisme affectif souffrent. [/quote]
Oui, cela me semble vrai, Nadine ! Le divorce est assimilé à un deuil, point de vue dégats psychologiques…
@Siempre,
oui, vous êtes dans le vrai, c’est le deuil d’un (ou d’une) vivant(e) ce qui d’une certaine façon est pire que la mort.