Voici un marché bien insolite, mais qui s’avère fructueux: celui de l’adultère, et nombreux sont ceux qui en profitent.

14 % des Français avouent être infidèles, voici une population qui est intéressante pour un nouveau marché qui émerge, celui de l’adultère. Si auparavant les seuls qui bénéficiaient de l’infidélité étaient les détectives privés qui prouvaients la faute ou les avocats, bien d’autres ont investis le juteux marché. Internet a bien sûr eu un rôle primordial, assurant la discrétion requise pour de telles situations.

 

De nos jours il y a des sites de rencontre pour les infidèles, qui assurent discrétion et rencontres éphémères entre personnes adultes consentantes, et les clients mâles restent plus nombreux que les femmes. Il y a aussi des sites internet qui donnent la possibilité de fournir des alibis aux personnes qui ont du mal à mentir, ou en manque d’imagination. C’est ainsi que convocation à des formations, des stages ou mails du supposé patron sont envoyés, des preuves qui donnent un alibi à montrer au partenaire cocu. C’est bien beau d’être infidèle, mais trouver l’endroit adéquat pour franchir le pas n’est pas si évident, et les grands hôtels ne veulent pas louer pour 2 ou 3 heures, ou alors cela coute le même prix qu’une nuit. Là encore un site internet s’est spécialisé dans la réservation de chambre à prix réduit pour quelques heures, toujours discrètement. Autre business qui profite de l’adultère, celui des « tentateurs » ou « tentatrices », parfait pour celles ou ceux qui veulent se débarrasser d’un mari ou d’une femme encombrante, et qui pousse à l’adultère afin de demander le divorce.

Malsain tout ça? Un peu quand même, disons que cela vise à banaliser l’adultère. En attendant tout cela fait que des petites entreprises ne connaissent pas la crise, si certains ont de l’argent à dépenser dans tout cela, ils ont bien raison.