Bienvenue sur Come4News

C4N, le site des nouvelles
Où rien n’est artificiel,
Où chacun écrit selon son humeur
Où certains manient la plume comme des escrimeurs.

Dans les commentaires
s’épanouissent les débats
pas moyens de nous faire taire
Et parfois les mots deviennent combat

Alors, il y a les modérateurs
Qui viennent mettre de l’ordre
Effacer les messages des râleurs
Tancer ceux qui veulent mordre

Il y a les habitués
Ceux qu’on reconnaît dès la première ligne
Qui à Come4news ont juré fidélité
Et dans leurs écrits toujours restent dignes

Il y a aussi ceux qui travaillent dans l’ombre
Qui parfois mettent un mot, une explication,
Ceux grâce à qui sont publiés des articles en grand nombre
Ceux qui réparent, dessinent, font marcher les applications

Depuis peu il y a un coin pour les poètes
Là où chacun peut venir s’épancher
Ordonner les mots, en faire une ariette
Et de tous les coeurs être les archers

Il y a Fabien Bardoux,
Un président discret
Mais qui sans rien dire a un oeil sur tout
Très peu le connaissent, sa vie est un secret
Parfois, il nous envoie un petit mot sympa
Quand on l’appelle, il est toujours là.

Maintenant il y a un jury
Qui par des primes encourage les auteurs
Il lit tout, personne n’est à l’abri
Et choisit ceux qu’il estime être à la hauteur

À l’origine, nous n’étions qu’une poignée
Nous voilà maintenant des milliers
Et même si certains nous ont abandonnés
Chaque jour plus nombreux sont ceux qui viennent publier.

44 réflexions sur « Bienvenue sur Come4News »

  1. Salut Lecandide,

    toute cette ode reflète parfaitement l’évolution de C4N, il ne manquerait plus que l’ami Jiminix pour nous mettre cela en musique !

    Michel

  2. [b]MAGNIFIQUE !!!

    Quelle belle ode à C4N, cher Candide.

    Vous et Michel étiez déjà présents quand j’ai rejoint ce petit coin de paradis, où j’évacue au gré de mes humeurs, mes joies et mes colères.

    J’ai l’habitude de dire que je suis née sur C4N et que j’y mourrai.

    Jamais je ne trahirai ceux qui m’ont accueillis un jour de Novembre 2007, où comme tout débutant, je me suis vue refuser, mes premiers écrits, puis petit à petit est venue la reconnaissance des anciens d’abord, puis de tous ceux qui visitent le site.

    C4N est une grande famille où les trois mousquetaires que sont Fabien Bardoux, Bruno Moreau, et Mickaël Flamant sont présents tous les jours avec une discrétion remarquable, mais ne nous laissant jamais devant des problèmes non résolus.

    Cher Candide, on y fait de belles rencontres sur C4N, et ce n’est pas vous qui me direz le contraire….
    MERCI

    Sophy [/b]

  3. @sophy,
    [quote]on y fait de belles rencontres sur C4N,[/quote]
    je confirme et signe!
    Un site sur lequel il se passe toujours quelque chose!

  4. [b]@raisinfraise,
    Vous faites, vous aussi partie, de mes « belles rencontres », et vous le savez.

    Ce que j’aime sur C4N c’est la diversité des thèmes abordés.
    il y en a pour tous les goûts.[/b]

  5. Il y a aussi « le Candide »
    qui,sans le connaitre vraiment
    partage avec nous son chant
    et nous fait découvrir son pays
    par un poème,par un article
    ou parfois par un cri!

  6. [quote]Quand je pense que je suis incapable d’écrire des rimes.
    Suis nulle !![/quote]

    Quand je pense que je suis incapable d’écrire sur la politique ou sur les mathématiques…
    suis nulle aussi!!

    Sophy,ma Pénélope perturbée
    je suis consciente de ta détresse
    sache que pour écrire des vers
    il faut lire beaucoup de livres
    et ne pas les choisir,à tort et à travers…! 😀 😀

    Tous ce que tu lis
    viendra envahir ton esprit
    et à l’heure de ton trépas
    la poésie viendra comme une musique
    soulager tes maux ici bas! 😀 😀

  7. [b]POUH, à l’heure de mon trépas.

    Ben, pour moi, j’espère bien que c’est pour dans longtemps, mon trépas.

    Dommage pour les rimes, mais j’ai encore de beaux jours devant moi, enfin j’espère.

    Et puis comme dirait Sarkozy : « Moi j’aime la Politique »
    Je précise que c’est le seul point commun que j’ai avec ce Monsieur…

    Mais j’aime surtout « Les hommes ou femmes Politiques », juste pour les égratigner en me moquant…

    Mais j’ai mes révoltes également, souviens toi La foufounista, notre premier rendez vous…[/b]

  8. [quote]Mais j’ai mes révoltes également, souviens toi La foufounista, notre premier rendez vous..[/quote]

    oui,je me souviens…
    j’étais naïve en ce temps là…
    depuis que j’écris sur C4N
    je mène mieux ma barque!

  9. [b]Naïve ?

    Ta première visite sur C4N fut pour demander une pétition, contre la parution de telles images dans les magazines.
    Tu aurais pu aller sur les articles de Anidom, beaucoup plus sérieux que celui là justement…[/b]

  10. A FEW MORE

    &…

    mettons de la musique en nos maux (ou plus de mots)
    http://www.deezer.com/fr/music/playlist/get-lazy-22246784

    De HEAD HUNTERS TO THE Kiss Smoke Tone
    Kind Of Blue
    It’ All Blue(s)
    Blue in green
    Dream on In Blue

    [b]THE BED OUTSIDE:[/b]

    [u]De la question[/u] : Pourquoi quelque chose plutôt que rien

    Du rien à la vie
    De la lutte pour la vie… à l’humain
    De l’humain à la révolution cellulaire…

    Bis repetita placem
    De la chair… à l’esprit de la chair
    De l’esprit de la chair à la peau easy de la vie
    De la peau easy de la vie… ô lyrisme de l’instant partagé

    « [i]Get Up ! Stand Up, Don’t give up the fight[/i] »

    DU NON SENS DE TOUTE CHOSE AU SENS DE NOTRE ENGAGEMENT

    ô plaisir

    paul

  11. [b]DE L’INFO AU VIDE né SENS DE PARTAGE[/b]

    lien indélébile, inhérent, liant l’observateur à ce qu’il observe,
    [i]mais je m’égare…[/i]

    se taire et acquiescer l’évidence de la PROBITé
    et laisser s’inter_pénétrer cette autre évidence

    «[i]Transmettre à autrui ce que l’on est s’avère invariablement une erreur
    Seul révéler à autrui ce qu’il est, possède une quelconque efficacité
    Mais ne rien faire est supérieur à toute autre forme.[/i] »

    que rajouter…
    rien
    restons cils en cieux

    un instant

    « [i]La perception sans parole, autrement dit sans pensée,
    est un phénomène des plus étranges.
    Cette perception est beaucoup plus acérée,
    non seulement dans le cerveau mais dans tous nos sens.
    Elle n’est pas une particularité fragmentaire du mental
    ni une manifestation des émotions.
    On peut lui donner le nom de [/i][b]probité[/b]

    – Qui parle de méditation !

    souris chair(e)s ire ronde d’elle…
    le corps beau noir au jour d’hui spectral, diable au teint … allez:
    de ce sud à dorer, avatar de l’exit stance,
    travaillant tjrs et encor à mourir en vivant,
    répondait, et_vie d’a(i)mant, à ce souffle maux dit fier…

    ah… ce souffle …
    si chair ô méditant ncp
    – essence de vie et irrémissible souffrance
    – respiR … encor et toujours

    ô plaisir

    PS:
    ab concepto,
    ô coeur de la raison…
    résonne toujours les vies denses vacuitaire

    VITE… ouvrons les yeux pour voir la lune baigner sa nudité
    dans le cas niveau 5 (agrégat consensuel ncp)

    notre ô (de là) céans illimité n’existe pas…
    mais se vit dans toute la sensualité de l’instant,
    dans l’improvisation de cet instant tanné d’éternité,
    cet éternel présent: [b]la vie[/b] !

    – instant_tanné_d’éternité

    LAME DE FOND SANS FORME

    sourire

    IN TO THE WILD

    •••

  12. Merci pour cet article et ces commentaires qui rendent C4N encore plus fière d’avoir réalisé quelque chose, un site communautaire qui plaît et où les reporters et lecteurs se sentent bien pour échanger, débattre et revenir pour le plus grand bonheur de la libre expression ….

    Merci à vous tous.

  13. Quand l’instant se crispe, face à l’androgynie de la vie, et que les eaux posées s’affrontent, les énergies deviennent hubris, et le sens du non respect de l’autre, donc de soi-même, se hiérarchise en conscience ire_réaliste, et le JE(U) du moment reste – humain, trop humain! ô si la vie qui se «vit» ncp.

    Et nous fuyons, loin de nos cathédrales de verre offertes aux quatre vents…
    offertes ô principe de mutation de toute hein ! conscience
    – immanence subtile de la chair en l’esprit de la chair:
    [i]vif argent vacuitaire[/i].

    Le tumulte devrait-il cesser de là même d’où il s’émancipa un jour:
    – du vide à la matière…
    de la chair d’où il prit conscience pour faire face à la née cécité…

    Nécessité fait loi, dit-on dans les alcôves du temps

    « ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort » N… cp

    Gardons-nous

    et

    Re – gardons nous

    avata_ludion en suspension, immergé en l’instant qui se «vit», instant nous faisant naître en chaque instant, s’éludant hors du temps, réalisant l’expérience du vivre sur ce fil invisible: tel un funambule cheminant sur cette illusion qui nous foule à chaque pas, au dessus au dessous, ni au dessus ni au dessous du tumulte: tumulte né inductif

    Si «L[i]e désir est l’essence de l’homme[/i]» et «[i]L’âme est l’idée du corp[/i]s» -« [i]Nous ne savons pas ce que peut le corps[/i]»
    «[i]Tout homme que la raison conduit désire pour les autres ce qu’il désire pour soi-même[/i]» Spinoza

    [i]« Mais en réalité, que savons-nous concrètement du corps?
    « Quel rôle joue-t-il dans une société dite initiatrice ?
    « Pourquoi a-t-on toujours privilégié la raison au corps? [/i]
    cf.[i]Le voyage initiatique du Corps de F Vincent (Ed Detrad)[/i]

    il m’appert que ce n’est pas la raison que notre conscience privilégie, mais bien plutôt, afin d’apaiser toute peur, toute angoisse, en une dés_espérance(s), notre croyance en l’indicible supra rationalité de toute supra réalité: toute métaphysique religieuse et/ou philosophique, que notre moi illusoire, au détriment du corps et/ou de sa négation, arrime, noue, lie, cheville, cloue, rive, enracine, scelle, comme finalité à tous nos espoirs… notre espérance.

    ô vacuité…

    [b]le corps est l’énergie, le souffle, le mouvement qui nous propulse de notre vacuité originelle en l’élan vital de toute condition[/b]

    bien à vous

    paul

  14. [quote]cinquièmevitesse à dit :
    Salut Avata,
    Bien vu cette reprise de mon texte…
    Mesdames et Messieurs, aujourd’hui grande dénonciation en place publique!!
    Tu devrais publier des articles, je suis sûre que tu aurais beaucoup de succès!!!
    Fais nous passer ton message d’indignation!!!!

    A plus[/quote]

    MON INDIGNATION chair cinquième vitesse

    [b]De l(’)avoir en lavoir… [/b] COMMUNIQUONS !
    Toutes mes plus loquaces reconnaissances à mon ex_filtreur ô sens susurreur récompensé.
    Bonne continuation à toi chair fantasque…

    Préliminaire à mon discours à venir chairs HUMANISTES

    >>.

    [i]Les mots ne sont que des symboles pour les relations des choses entre elles et nous…
    ils ne touchent jamais à quelques vérités que ce soit.
    Et le mot être, entre tous, ne désigne que la relation générale reliant toutes choses entre elles – de même que le mot non être, savoir vacuité, ne désigne que la relation entre la vie pleine de vide et ce vide plein de sens qu’il nous reste à définir (cela va de soi)
    Mais s’il est impossible de démontrer même l’existence des choses – la relation des choses entre elles -, ce qu’on appelle « l’être » ou le « non être », ne nous fera pas avancer vers une quelconque vérité.[/i]

    [i]Les mots, les idées, les concepts ne nous feront jamais franchir le mur des relations – comme lamentation je souris -, ni pénétrer dans quelque fabuleux fond originel de toute chose, et méme les formes plus abstraites de la perception sensible et intelligible : l’impermanence de toute chose, l’espace, le temps, et la causalité, voire non intelligible : le non espace et le non temps, ne nous donnent rien qui ressemble à une vérité en soi.[/i]

    l’homme cherche « la vérité » en construisant ses propres temples, il cherche l’apaisement en enterrant ses morts…
    et le « JEU) » vie sa réalité !!! – afin que toute vérité passée, présente, et à venir, se dissipe dans l’instant qui les fait naître.

    •••

    avata _con_fus_aimant_abstrait
    si… [i]si ö rang ![/i] – de toute infortune !

    PS :
    la spécificité de la « [i]condition humain[/i]e »…
    s’épuiserait-elle dans le principe méta-praxis (pas dit physique) du divin principe :
    [b]l’homme doit s’ouvrir, et ce… jusqu’au plus profond de sa néantitude, au vide – plein du sens orgasmique – que le voit naitre[/b].

    «[i]L’avantage du néant sur l’éternité, c’est que le temps ne peut l’entacher d’aucune turpitude.
    Rien ne s’explique, rien n’est prouvé, jamais, – tout se voit !!![/i]»

    ô plaisir

    l’inopérant qui s’élude en dansant sur son fil invisible

  15. [b][i]L’amour commence lorsque l’on accepte la différence de l’autre et son « imprescriptible » liberté. Accepter que l’autre soi habité par d’autres présences que la nôtre, n’avoir la prétention de répondre à tous ses besoins, à toutes ses attentes ; ce n’est pas se résigner à l’infidélité à notre égard. Non, c’est plutôt vouloir comme la plus haute preuve d’amour que l’autre soi tout d’abord fidèle à lui même ; même si cela est une souffrance, féconde. Car elle nous oblige à nous déprendre de nous même, à vivre intensément cette « dépossession » enrichissante.

    Dans la plus amoureuse étreinte, c’est un être libre qui nous étreignons, avec toutes ses possibilités ; mêmes celles qui nous échappent.[/i][/b]

    [i]«Je ne suis pas là, je ne dors pas,
    «Je suis les mille vents qui soufflent,
    «Je suis le scintillement des cristaux de neige,
    «Je suis la lumière qui traverse les champs de blé,
    «Je suis la douce pluie d’automne,
    «Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,
    «Je suis l’étoile qui illumine dans la nuit[/i]

    Je suis le trou noir de tout espace
    N’allez pas sur mes absences pour pleurer, vous lamenter…
    Mes chairs sont dansantes

    Et si votre désir est de m’éconduire … soit:
    – c’est tout à votre guise !

    Les lumières de vos rêves vous attendent… – sans doute pour éclore

    Je ne suis pas là.

    Et m’élude en silence (SI SI… )

    Dansez maintenant

    Frat

    Je rends hommage à ces Incantations indiennes (sourire cinquième vitesse)
    – galvaudées pour mon esprit alimbiqué (sourire [i]mots’art in[/i])

    alambiqué : 9 synonymes.
    Synonymes – affecté, compliqué, confus, contourné, maniéré, précieux, recherché, sophistiqué, tarabiscoté

    Bien à vous

    paul

  16. [u]the last but not least[/u]

    « [i]enivrez-vous… énivrez-vous sans cesse [/i]»
    -(…)
    [i]A Rainbow[/i]

    Words… words…
    Birds… . birds….. them ‘r all over chair ire ronde d’elle

    [b]Mais les mots de tous nos maux, (dits) cils en cieux, résonneront encor comme bruissement de fond[/b] !

    >>>… [i]I hate to see things done by halves.
    If it be right, do it boldly, if it be wrong leave it undone isn’t it.
    The early bird gets the worm.
    For the outer sense alone perceives visible things
    and the eye of the heart alone seeds the invisible[/i]…

  17. Quid… peau éthiquement lacunaire

    et je m’immiscerai comme une ombre-phosphorescente…
    multitude interdépendante – assaillant d’hivers – mes amis des T:
    Transe Tactile se mêlant ô vivanT de TouT insTanT Tanné d’éterniTé

    NB :
    ces assaillants dits vert sont ce mes silences adamantins
    (de toute immersion)
    Sont ce ces vides d’absinthe luminescente:
    énergie latente et patente, partout et nulle part,
    qui trace en nos consciences l’épure même de notre existence

    ô vacuité

    paul

  18. [b]Quid de l’inopérant…[/b]

    l’in_opérant est « sans idée », il ne conçoit pas… il traverse.
    son action est une régulation, son « juste milieu » n’a rien d’une demi mesure :
    c’est une façon d’être — dédoublé aux extrêmes en s’inclinant vers aucun d’eux. elle ne s’arrête pas, ne se fixe pas, ne poursuit rien, ne prêche rien. Elle s’engage et se retire, elle peut être rapide et très lente, elle évolue selon les situations et les circonstances parce qu’il pense que tout est flux. Process… – simplement.
    Il s’écoule et ne va nulle part.
    Là… là-bas, il est là , il sera là-bas… sans cesse le même, et jamais le même, uni-directionnel et multi-directionnel à la fois, il faut correspondre à son [i]immanence[/i] en étant comme lui: sens … et non sens .
    il ne fixe pas un horizon au regard, une essence à la vérité, son unité est celle du tissus commun à toutes choses. Le réel, en lui, est immédiatement là, mais le religieux, le kabbaliste, (l’initié aujourd’hui spéculatif), dans les flammes de l’enfer, de la tradition hermétique, de l’athanor, en quête de vérité, de savoir, ou/et de pureté, [b]ne le voient pas[/b].

    Il faut le réaliser pour le ressentir.

    l’in_opérant ne discourt pas, ne discute pas, il procède par allusions.
    Ni relativiste Ni sceptique, ses manifestations sporadiques sont liées par un fil in_apparent continu.

    Il rappelle que tout est impermanent… état transitoire.

    Capter, laisser passer sans mystère, voilà son rythme…

    il s’agit d’embrasser une globalité passagère : l’ainsi T – s’entend – de l’être né de n’être rien.

    [b]∂e l’éloge de l’infini[/b] – merci Phil

    sourire
    &
    bien à vous

    l’inopérant

  19. Fabien, Michel, Bruno

    mes bras s’entrouvrent…

    me vient une idée chair(s) décisionnaire(s).
    -peut-être (pourriez-vous ouvrir une rubrique:

    [b]…………… TRIBUNE LIBRE – IN TO THE WILD …………….[/b]

    (just a concept)

    A ce propos…

    l’apparence de ce site: Bleu Blanc Rouge, s’il se veut républicain (est-ce la raison) est bien triste,

    – je vous proposerai bien, par-delà – mais l’incluant cette symbolique – une étude d’efficience plus…
    percutante, sobre et expressive, bien en ses chairs et ajusté à votre corps de charge esthétique.

    euh… vie d’amant j’ouvre cette proposition à tous ceusss qui voudraient s’impliquer.

    bien à vous

    avata

    PS:
    Quid du qui…
    pourrait me m’expliquer pourquoi cette propose – même au cas où elle ne vous interessait pas – a été…

    DISONS:
    [b][i][»ÛÁØ] –∆ Ÿªï∏ Ô¥ Ω·flÎÍ |Óf›⁄¢√∫™ ı•¿®™ Ÿªï∏ ô€Ω ·flÎÍË| Ó› ⁄¢√∫ı ∞
    [b]° ~ °[/b] ..{}. ∑•“‘{¡Çø} — ®Â Úºîπô Ò∂ƒfiÌÏ ¬µ©… Ù‹◊ß~?[/i][/b] … [b]modéré[/b]

  20. • [b][iTextes sous]copyleft[/i][/b] de Créative Commons

    – [url]Creative Commons[/url] propose des contrats-type pour la mise à disposition d’œuvres en ligne. Inspirés par les licences libres, les mouvements open source et open access, ces contrats facilitent l’utilisation d’œuvres (textes, photos, musique, sites web…).

    Toute exploitation d’une oeuvre (hors domaine public et exceptions) nécessite d’obtenir l’autorisation des titulaires de droit avant de pouvoir la reproduire, la diffuser sur les réseaux peer to peer ou autrement, ou l’adapter.

    [u][b]En revanche, les licences Creative Commons autorisent à l’avance le public à exercer ces actes[/b][/u],
    – selon certaines conditions (voir les 6 licences disponibles à partir de l’interface « Choisissez votre licence »)

    Il ne s’agit pas d’assurer une protection technique aux œuvres placées sous licence Creative Commons,
    mais d’offrir plus de droits au public en l’informant que certaines utilisations sont consenties à titre gratuit.

    Les licences Creative Commons contribuent à diminuer les coûts de transaction : distribution, recherche automatique d’oeuvres, information sur le régime des droits, négociation en cas d’utilisation commerciale après l’option « Pas d’Utilisation Commerciale », rédaction d’autorisations d’utilisation ou de remix, procédure…

    Le site du Ministère de la Culture propose des fiches expliquant le droit de la propriété littéraire et artistique applicable en France par défaut http://www.culture.gouv.fr/culture/infos-pratiques/droits/

    [url]http://fr.creativecommons.org/index.htm[/url]

    —————————————————

    merci à vous pour votre travail de citoyen reporter

    ô plaisir

  21. Le principe du copyleft [°] (généralement traduit en français par « gauche d’auteur ») [i]est de combattre le feu par le feu. Le [b]copyleft[/b] utilise le copyright et le détourne pour garantir la liberté de l’oeuvre ou du logiciel.

    Cela peut sembler étrange, et pourtant c’est tout simple.

    Une licence copyleftée donne à tout le monde la permission d’exécuter le logiciel, de le copier, de le modifier et de distribuer des versions modifiées, mais elle interdit d’y ajouter des modifications propriétaires ou de réutiliser des parties de code dans un logiciel propriétaire. La liberté du logiciel est donc garantie à quiconque possède une copie et en devient indissociable.

    La licence copyleftée la plus connue est la GNU GPL [°°], pour GNU General Public License. Elle est issue des efforts de la FSF et sert de base légale au projet GNU. Mais de nombreux logiciels non GNU l’utilisent pour protéger les libertés des utilisateurs[/i]

    http://www.gnu.org/copyleft/copyleft.html
    http://www.gnu.org/copyleft/gpl.html

    [u]merci à mon ami ®o©ßo[/u]

  22. [b]Re: ti dialogue imagé pour en (dé) finir: le…[/b] [b]facétieux[/b]

    – >> Quel méandre de la conscience permettent aux gens de se voiler la face…
    – >> Si tu te mens à toi même…
    – >> Que tu sois ce que tu es ne fait pas de toi celui que tu crois être…

    – >> Si j’ai plaisanté c’est pour mettre un peu d’humour dans ce qui… s’entend – cils en cieux – , et se « vie » sous rire

    – >> Parfois dans l’histoire de l’humanité un peu d’humour a généré de l’affection de la part de celui qui plonge… – en son silence.
    – >> N’importe qui peu plonger (?)
    – >> On finira tous par plonger
    – >> Sous terre…
    – >> Sous terre ? – sous rire… sous silence
    – >> Alors autant rire un peu en cours de route.
    – >> Tu ne sais pas ce que tu dis.
    – >> Si, si…
    – >> Je sais que tu penses savoir ce que tu dis, sans le dire (mais tu ne le dis pas)
    – >> Non je sais ce que je dis, je n’en connais pas les_sens, mais je sais ce que je ne dis pas (?)
    – Pas_rôle qui vaille- c’est ce que tu veux dire ?
    – >> le sens… les sens ?
    – >> Oui, c’est ça le sens… ∂e l’essence… ô phénomène : Li et Shi se confonde
    – >> Oui, mais tous le monde ne sait pas ce qu’il veux dire.
    – >> Si… je sais que j’ignore ce que » JE « veux dire.
    – Les gens pensent savoir ce qu’ils veulent dire. Est-ce que tu ressens ça ?
    – A savoir que… lorsque le silence arrive, tu pars dans ce foutu voyage intérieur en plein milieu de quelque chose… quelque chose vide de sens, mais plein d’en >> VIE

  23. [b]So,[/b]

    je vous (re)° propose une virée dans les manèges du temps

    • [u]INTRO[/u] Rédactionnelle

    sur les bords de l’abîme, un peuple s’inventait.
    les regards implicites étaient multitudes. les silhouettes s’entrelaçaient… les corps, juste vêtus du regard des autres, ne semblaient que lucioles débordantes de vie.
    et l’esprit de ce temps embrasait ce grand vide naissant.
    au plus profond de nos abysses d’autres immensités venaient s’y perdre, s’y confondre. un vortex illimité ingurgitait des pensées à longueur d’infini(e) – je féminise -, et, s’infinissait sans cesse. Je ne pouvais me dégager de cette trame qui évoluait à sa guise… s’[i]involuant[/i] en elle-même, elle [i]s’involutait[/i] dans sa permanence [i]miséricordieuse[/i], pour se faire, se défaire, et (se) parfaire sans doute (en)son impermanence évolutive ; elle (immuable en ses transformations) m’englobait, elle me digérait comme je la digérais à présent. nous étions un… et nous n’étions rien. juste un rien d’énergie, parti de rien (-) du tout…

    le temps s’exfiltra…

    [u]CHAP I[/u]

    je restai ainsi suspendu à mon silence.

    Si je suis dans l’instant de ma conscience me dis-je, ma perception est échange d’information pour trouver au pire le consensus, au mieux l’empire des sens, si si…. Compromission ? Non point ! la raison ordonne, et cette raison là, à bien scruter son fondement, on n’y trouve pas même une once de nous-mêmes, juste un prêt à penser savamment inoculé. je vous fais pas de dessin !

    [b]- Faites donc revenir l’HUMANISTE.[/b] (sens générique)
    Les présents de ce vieux singe humaniste sont gages de mépris me dis-je.
    Séduction oblige ! qu’il choisisse entre mon estime ou ma femme, et, si ma femme y consent, qu’elle le comble de mon estime, mais de grâce, qu’il cesse avec ses présents pleins… de sens sûr.

    Silence en mes chairs, que le tumulte s’installe.

    les choix s’arrachent de nos doutes pensai-je,
    – venez-vous circonscrire à notre indécision avata, et tout abandonner à ce vieux singe avant que vous ne lui tranchiez la tête.

    SILENCE… et quittons cette pensée, me rassurai-je.
    dépouillons-nous de cette chaine, et enchainons-nous à tous les pas de traverse, dispersons toute destiné au vent solaire et cheminons cette nuit avec nos ailes de l’en-vie sous la lune assombrie…

    je vous propose l’esquisse (pour les plus téméraires) d’un cadavre exquis
    [u]thématique[/u]: l’HUMANISME

    un esquif nous est enquis
    je me charge des voiles…

    [b]nous ne voyagerons pas en galère [/b]

    HISSONS LA GRAND VOILE, LARGUONS LES HUNIERS…
    et bâbord avant, au portant, laissons tous nos maux rejoindrent en silence nos horizons sans faim

    avata

  24. Avec 449 articles parus sur C4N ce jour (et quelques autres en ligne ailleurs faisant référence à [i]Come4News[/i]), je me sens encore ici assez « petit nouveau ».
    Au 500e, j’en serais peut-être aussi de mon petit poème (en prose).
    En tout cas, merci aux prédécesseurs, à Sophy et d’autres pour leurs encouragements, et à bientôt de nouveau sur [i]Come4News [/i](il m’arrive d’être absent, aussi car mal équipé pour une semaine ou deux, mais j’y reviens toujours).
    Je serais absent de Paris ce soir, donc je n’interviendrais pas lors du colloque Mediapart et Social Media Week sur les relations entre rédactrices, journalistes, et comités de lecture. Mais si quelqu’un· peut y représenter C4N… Voir en ligne le programme.

  25. [u]bis repetita placem[/u]

    ô sens propre ici chair cinquièmevitesse
    (cf. le sens figuré sur ton fil souriant: [i]je suis un journaliste citoyen.[/i] – bizz)

    sourire du ti diable au teint cils en cieux, lâme usée de toute intercession, et en instance d’effilage chez le GRAND Rémouleur pas_tenté.
    – les flammes (de la vie) ont eu raison de son obstination à nous faire passer pour des anges au fil de l’eau bénite.

    les racines dans l’eau, et la tête sur le fil du rasoir de la grande faucheuse, affinons donc ensemble l’esprit de nos chairs à lâme ailée plus que tranchante.

    et communiquons… ô monde ! notre sourire informatif: au_temps de nous-mêmes… que de cela même qui s’observe, se voit et se VIE

    bise tranchée chair Tom.

    ô plaisir de vous lire

    paul_le_poulpe … ô vie tentaculaire en toute vacuité

  26. Subodorant, sur ton fil chair candide – Tradition et Modernité Oblige (ncp) – , comme une fraîcheur originelle baignant du sud et du grand orient tous les oxydants horizons, me serait-il possible, avec les quelques patients du verbe qui ne détesteront pas de se reconnaître, d’arpenter ta luxuriante demeure pour, sans bacchanale, s’y abandonner allègrement – simplement vêtu du regard de l’autre -, au(x) prolégomène(s) de la question initiale, prévalent à l’initiatique. Pourquoi vouloir devenir journaliste… & Pourquoi rester rester ?

    – De la valeur de toute tradition… sourire
    (cf. ô dessus : (…) et COMMUNIQUONS au monde notre sourire informatif: autant de soi_même… que de ce qui s’observe, nous interroge , et se « vit »

    Ici, les nés nus phares – hydrocotyles – coexistent à l’ombre des bougainvillées, et les lotus, s’épanouissent aux cotés des edelweiss ; les uns sirotent leur nutriment exotique, cils en cieux, baignade illimitée, d’autres, en séance des_veilles, à la lueur de leur fragrance luminescente, projettent leur facétieux « JEU » d’ombre, certains autres cogitent à leur amendement pour ne plus avoir à photosynthétiser la lumière que 32h / semaine , et fêter équinoxe et solstice : les racines dans l’eau d’ici, et les pétales dans l’eau de là ; ici, chair promeneur, ton sourire se pèse à l’aune de toute inconséquence – conséquemment, soit scrupuleux de ce devoir qui règle ainsi tes droits. Ou le vice versa… soit scrupuleux de ce droit qui résoud ici tes devoirs.

    l’abscons revêt le plus souvent la couleur émeraude des rivages du grand sud… – rivages au sable blanc sur lesquels l’océan se repose ; profitons de cet instant, la brise du matin s’exhale du grand orient, le compromis est affaire de… subtil arrangement, larguons les huniers, hissons la grand-voile ; nos mises en mots seront les brises qui feront surfer cet esquif, au bastingage miroitant sur l’horizon , sur l’origine de nos questionnements

    bien à tous

    paul_le_poulpe

  27. lâche toi…

    ON AIME ça mon CHAIR poulpe

    Et vie d’amant

    La pieuvre in blue water
    Ta pôtesse sous roche, alors ne fait pas l’anguille

    Deep deep breath à tous les humains sur et sous terre, et nageons en surface un instant !!!

  28. [b]XIIIème feuille modéré(e) [/b]

    sous rire de lâme usé(e)
    From a few leaks to Cathar acte to come…

    [b]Wiki knowledge to Edge leaks in cataract.[/b]

    [b]TRIBUNE LIBRE[/b] — feuille modéré
    [b]Religion… Idéologie… Nationalisme… même combat
    
De la supra rationalité à la supra_réalité… le monde bloque sur toute méta_physique.
    Ô_raison funeste. [/b]

    De la Lumière des lumières…
    De la philosophie critique de la raison à la révolution cellulaire :
    – pouvons-nous rester en toute espérance ?

    Et pendant ce temps des résolutions bafouées…
    De la colonisation… ô attentat !
    Des attentats… ô colonisation !
    – cercle sans fin, dont toutes les faims d’espérance se conjuguent toujours… ô présent bafoué

    Le « [i]peuple élu[/i] » semble bien finir par s’illusionner , et la jeunesse Gazaouite aussi! En êtes-vous si sûr ?
    cf. le manifeste de la jeunesse de gaza.
    [url]http://rocbo.lautre.net/spip/spip.php?article608[/url]

    [b]De la pensée aux ‘idéologisme(s) , nationalisme(s) sous couvert de RELIGION… BASTA !!![/b]
    – entend-t-on en vruissement imperceptible dans le corps de toute raison résonante

    Ô Raison funeste, que ne m’as-tu éclairé de l’esprit de ta chair, en mon corps, toujours bafoué mais intègre…

    Ô PROBITé !!!

    De la chair à l’esprit de la chair,
    De l’esprit de la chair à la peau_easy de la vie,
    De la poésie de la vie… ô lyrisme de l’instant partagé
    le corps est l’énergie, le souffle, le mouvement qui nous propulse de notre vacuité originelle en l’élan vital de toute condition, notre engagement.

    De l’espérance à l’espoir… tout n’est-il point déjà dévoilé ?
    De l’espoir en la vacuité, voilà que les codes se compliquent, me rétorquerez-vous.
    – mais j’y reviendrai(s), très prochainement, s’il m’est loisible de le faire ici.

    Et pourtant : considérant encor le Moyen Orient: ô Jérusalem! carrefour potentiel de toute multitude, bigarrée de toutes les raisons, résonant en silence en l’esprit de tes chairs avenantes…
    – Me suis-je emporté ?! Je tempère:
    Qui parlera toujours et encor d’espoir ? Quand l’action est aliénée par l’esprit de l’intérêt (de quelques uns( ?), de nous-mêmes ( ?)!
    – Je vous le demande.

    [b]DREAM ON IN BLUE![/b]

    [i]La spécificité de la « condition humaine » s’épuiserait-elle dans le principe méta-praxis ([i]pas dit physique[/i]) du divin principe : l’homme doit s’ouvrir, et ce…. jusqu’au plus profond de sa néantitude, au vide – [i]plein du sens orgasmique[/i] – que le voit naitre. L’avantage du néant sur l’éternité, c’est que le temps ne peut l’entacher d’aucune turpitude.
    Rien ne s’explique, rien n’est prouvé, jamais – tout se voit !!! [/i]
    Si… si ô rang – de toute infortune!

  29. [u]Notons [/u]:
    [i]L’AMOUR… commence lorsque l’on accepte la différence de l’autre et son « imprescriptible » liberté. Accepter que l’autre soi habité par d’autres présences que la nôtre, n’avoir la prétention de répondre à tous ses besoins, à toutes ses attentes ; ce n’est pas se résigner à l’infidélité à notre égard. Non, c’est plutôt vouloir comme la plus haute preuve d’amour que l’autre soi tout d’abord fidèle à lui même ; même si cela est une souffrance, féconde. Car elle nous oblige à nous déprendre de nous même, à vivre intensément cette « dépossession » enrichissante.
    (Dans la plus amoureuse étreinte, c’est un être libre qui nous étreignons, avec toutes ses possibilités ; mêmes celles qui nous échappent).[/i]

    avata pour les âme_ usé(€)s
    paul_le_poulpe – en stand by sur Paname: ville des lumières obscures !
    – et la nuit brille de mil’éclats… Dors ! Dors mon ami(e), cils en cieux.

    [b][i]« Je ne suis pas là, je ne dors pas,
    «Je suis les mille vents qui soufflent,
    «Je suis le scintillement des cristaux de neige,
    «Je suis la lumière qui traverse les champs de blé,
    «Je suis la douce pluie d’automne,
    «Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,
    «Je suis l’étoile qui illumine dans la nuit»*[/i][/b]

    Je suis le trou noir de tout espace
    N’allez pas sur mes absences pour pleurer, vous lamenter…
    Mes chairs sont dansantes

    Et si votre désir est de m’éconduire … soit
    – c’est tout à votre guise !
    Les lumières de vos rêves vous attendent,
    – sans doute pour éclore

    Je ne suis pas là.

    Et m’élude en silence.

    Dansez maintenant!

    j’ai dit
    *Je rends hommage à ces Incantations indiennes.

    [u]conclusion:[/u]
    – Il m’appert que ce n’est pas la raison qui fut l’outil privilégié par la conscience humaine, mais bien plutôt une spiritualité fonctionnelle et supra rationnelle: métaphysique religieuse ou philosophie métaphysique – dans l’oubli (ou la négation du corps) – de ce « MOI – (JE) » illusoire, toujours prêt à arrimer… nouer… lier… riveter… clouer… cheviller… enraciner… sceller… toutes ses peurs, ses angoisses, en l’espérance d’une finalité toujours prête à ordonner la finalité anthropologique de ces chairs.

    [u]Et ici et maintenan[/u]t
    Que cette nouvelle révolution (5771è de l’année hébraïque, 5107è année indienne du Kali Yuga, 4708è de l’année chinoise, 2553è de l’année bouddhiste, 2137 pour les bouddhistes tibétains, 2011è de tradition chrétienne, 1431è de Hégire, 1389è de l’an iranien, 218è du calendrier républicain, (…) de gaïa autour du soleil soit pour tous un joli tour de man_âge.
    – il faut… bien vivre pour bien mourir.

    Alors que tout contenant inclut son contenu, l’homme chercherait-il à inclure ce qui le contient ?

    [b]Ô vacuité[/b]

  30. [b]Religion…

    Les définitions qui ont été proposées reprennent le plus souvent l’idée selon laquelle la religion est un système de croyances.

    Bien que l’idée de religion semble avoir une histoire propre à l’Occident, ce terme a aujourd’hui des équivalents dans toutes les langues. Le cas, échéant, des néologismes ont été créés. Ces termes disposent de leur propre étymologie et ils n’ont pas nécessairement exactement les mêmes connotations ni la même portée d’une langue à l’autre, de la même manière que le terme religion n’a pas toujours eu exactement la même signification dans l’histoire occidentale.

    Les définitions de la religion qui l’envisagent à partir de l’idée de croyances ou de la présence d’un élément surnaturel dans le monde établissent une distinction entre ce qui d’un côté serait de l’ordre de savoir scientifiques et vérifiés et de l’autre un donné inaccessible à la raison.[/b] (Source: wiki_knowledge)

    Dans le sens du mot de bien des maux…

    Sens étymologique:

    • reli_gare : ce qui relie, unit en une même croyance, foi.

  31. Vous pouvez à votre convenance, chair le candide, dégazer ces [i]extravagances audacieuses[/i] (à lire les com) si, si!
    – Si elles vous semblent trop blasphématoire ou incongru(es) au sein de votre feuille.

    Salutation sincère et amicale
    si cela s’avère le[b] K[/b]… désolé pou cette gêne occasionnée.

    Recevez et acceptez toutes mes excuses

    à vous lire

    paul

    paul

  32. pour le plaisir…
    [url]http://rocbo.lautre.net/spip/spip.php?article612[/url]

    merci à mon aml [b][i]®o©ßo[/i][/b]

    bien à tous

    avata_le_poulpe

  33. [u]suggestion prosaïque[/u]:

    il serait sans doute loisible et intéressant, qu’au lieu de jongler entre les onglets de la une, inofs du jour et débats, nous puissions par une fenêtre déroulante, en cliquant simplement sur les rubriques en page de LA UNE, avoir le déroulant des 20 ou 30 derniers articles qui s’illuminent ; enfin disons qui apparaissent.

    c’que j’en dis n’est pas formel, juste une pro_position d’animateur de commentaire trop audacieux, ou, de chemin faisant… des_espérés.

  34. la dolce notte

    [quote]révérence ultime… si si,

    la prison c’est nous-même…. jamais les autres !

    tit rappel (non anecdotique)
    [quote][i]nos devoirs citoyens. ( Ceux de s’efforcer de comprendre le monde qui nous entoure et que nous devrions plus activement façonner, à moins de choisir de s’en retirer, ce qui est une manière de ne plus en être otage.[/i][/quote]

    Act on ! in a blue way

    avata_le_poulpe

    [/quote]

  35. je dépose à tes pieds, chair candide, l’exergue de:

    [url]http://www.come4news.com/celle-qui-sen-allait-nue-comme-laverse-698134[/url]

    afin de ne pas trop encombrer de l’autre coté du miroir.

    – Celle qui s’en allait—-nue—-comme l’averse
    il n’y a plus rien à zapper, la lune est sauvage (wild_moon), et je retourne à mon silence. avec l’indicible présence de tout ces maux. l’ombre d’Héra plane maintenant en vol libre ; le corps beau noir de lumière dépassant la limite qu’elle ne pouvait définir. m’inclinant devant tant de débordement à dépasser les miennes, dont j’assume encor la responsabilité.
    Puissiez-vous partager à présent toute mon indulgeance.

    La lumière sauvage vient de l’intérieur, et quand l’esprit de la chair se déchaîne… les solutions ne sont jamais les chaînes, ni le vide (pas encor).

    & the wind the wind is blowin’ thru my flesh the wind is blow in !

    FOOL MOON TONIGHT ! (quasi)

    paul_le_poulpe
    le sus_nommé_tuco_benicio_pacifico_juan_carlos_ramirès_avata

    notons:
    il est toujours opportun d’exprimer ses passions… ses pulsions… même mal driver, et d’avancer sur le fil du rasoir de l’exit_stance, intègre! Intègre pour avoir sous les yeux le résultat de l’instant dans lequel on se trouve.

    ∂e l’impermanence de toute chose à la vacuité de toute chose…

    bien le bon soir, notte, matin, jour

    paul

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