La sexualité étant un sujet prédominant pour la vie et dans la vie, je m’en vais de ce pas étudier cela d’un peu plus près… Alors il y a ceux qui sexe juste pour le plaisir des organes génitaux, et ceux qui sexe pour savourer l’art de la relation sexuelle.
J’ai posé la question à quelques personnes. J’ai demandé :
« Où commence et où s’arrête le sexe pour le cul et où commence et où s’arrête le sexe dans son art ?
Et là j’ai eu en réponse : « Vers l’infinie et au-delàààààààà (Buzz l’éclair) ». Avec le sourire, je demande si c’est une réponse pour la partie deux de mon article (l’art du sexe)… Et cet homme de me répondre « les deux mon capitaine ^^ ». Ah ! Ah ! Ah ! Effectivement, sa réponse peut entrer dans les deux versants de l’histoire du sexe. Cet homme m’a ensuite expliqué que ma question était difficilement posée. En effet « on peut n’avoir que des aventures et en faire un art, ou bien ne faire l’amour qu’à sa femme comme un pied toute sa vie… ». Cette réponse est parfaite. A elle toute seule, elle pourrait conclure cet article. Mais rien que pour vous faire plaisir (cérébralement), je vais développer en m’aidant de témoignages que j’ai récoltés sur le chemin.
Voici le point de vue d’Ismael : « Je n’ai pas beaucoup le temps-là, je suis occupée à niquer » (Exemple de l’impulsion bestiale). Il remarque tout autour de lui que la routine s’installe vite dès qu’il y a des enfants et que le sexe devient un moyen de réconciliation. «C’est un moyen d’évacuer le stress, une vie sans sexe ne vaut rien. L’homme produit des spermatozoïdes 24h/24, je te laisse imaginer la pression. C’est aussi un moyen de séduction dans le sens où tu crois que c’est juste pour une nuit et le miracle se produit : une parfaite harmonie avec ta partenaire. Mais comme toutes les relations, la routine prend toujours le dessus. » (Réponse contradictoire : le monsieur a besoin de « se vider » mais rêve de rencontrer l’âme sœur)
Je lui réponds : « Tu penses que la routine prend toujours le dessus ? N’est-ce pas parce qu’il y a confusion entre habitude et rituel ? »
Ismael : « Habitude ou rituel sont assez proches tu ne trouves pas ? Une fois que tu as tout essayé, faut être très imaginatif pour ne pas tomber dans la routine, car après ça devient une habitude ou un rituel, comme tu veux. »
Moi : Tu peux avoir l’habitude de prendre une douche tous les jours et de temps en temps savourer le rituel d’un bain… Tout dépend pourquoi tu fais le sexe, si c’est pour déstresser ou si c’est pour communier l’amour à deux corps.
Ismael : « Tu compares une douche et un bain au sexe ? Tu veux dire être à voile et à vapeur ? Trop peu pour moi. »
Moi : Non, je comparais l’acte produit dans la répétition du « devoir pour » et l’acte produit dans la commémoration des émotions. Dans le ressenti total, celui qui est vibratoire en entier et pas seulement dans les organes génitaux. C’est la différence entre l’orgasme et le nirvana. C’est comme ça perso que je compare le sexe juste pour le cul et l’art de la sexualité sacrée.
Patricia : « Je dirais que c’est un jeu avec un prix de présence… Avec les années, quand tu es avec la même personne, tu as moins le goût… Mais vive le Q ! Qu’on est beau tout nu !»
Cath : « Entre le sexe et le cul, il n’y a pas loin… Mais pour être sérieuse (pour une fois), je n’ai aucune idée précise sur la question, c’est tellement fonction des partenaires en présence, tellement fonction de phéromones, tellement fonction de « feeling » que ça m’est terriblement difficile d’avoir un avis tranché. »
Patricia : « Il y a une différence entre se dépêcher de faire le Q et prendre le temps de le faire. »
Moi : « Et tout ce qui mérite d’être fait mérite d’être bien fait ! »
Ophélie : « Pour moi, il y a le sexe physique (le cul pour le cul, avec ou sans orgasmes, et sans autre préoccupation que le plaisir de soi et du partenaire, et même avec une personne qu’on aime), et le sexe cérébral (sexe toujours, plaisir de soi et plaisir du partenaire… avec en plus cette sensation de communier avec la personne. Plus qu’avec le plaisir charnel car il y a les sentiments, les émotions et la sensation de n’être plus qu’un). Du coup, là où commence le cul ce serait disons juste l’instinct et le besoin quasi animal, le sexe pour le sexe (même en couple d’ailleurs et malgré les sentiments, cette fameuse pulsion). Et là on débute « le sexe dans l’art », on sait lorsque l’on recherche plus que ce petit plaisir, pour en avoir en plus la satisfaction de posséder l’autre et d’être possédé. De connaitre chaque partie du corps de l’autre et de découvrir toujours un moyen autre de lui donner plus. Bref ce besoin non plus par la pulsion mais de manière artistique tout comme l’artiste d’aller toujours plus loin dans son « œuvre ».
Cathy : « Tiens, un jour j’ai entendu dire que les femmes font l’amour avec ceux qu’elles aiment et que les hommes aiment celles avec qui ils font l’amour… A méditer »
Moi : « Dans la sexualité, ou l’on cherche à "avoir" du sexe juste pour le plaisir du cul, ou bien on EST dans la symbiose de l’alchimie cellulaire au moment présent. »
Chiara : « Le sexe est quelque chose qui est absolument nécessaire pour compléter le rapport homme-femme, mais ça doit être un art, une magie… on doit prendre tout le temps nécessaire pour le faire et le faire bien, on doit savoir donner du plaisir à l’autre et on doit même savoir le recevoir aussi, chose pas facile pour tout le monde… Et pour faire tout ça, l’aventure difficilement aide… au moins pour ce qui me concerne, car tu dois vraiment désirer le corps de la personne à qui tu fais l’amour… La complexité de l’acte sexuel ne peut pas se résoudre dans une aventure qui ne compte rien… quand les sentiments s’ajoutent au sexe, c’est là qu’on a le rêve et on touche le VRAI plaisir… Donc, pour moi : fantaisie, douceur mélangée à la force, temps à disposition et sentiments, font le mix parfait pour une relation sexuelle fantastique 😉
Moi : On doit savoir « donner et recevoir" je ne sais pas… Je ne vois pas le sexe ou l’amour dans le sexe comme un devoir. Je pense que l’un ou l’autre doivent être dans le ressenti et pas forcément dans l’action. Je pense que c’est le seul moment où on devrait ne pas avoir besoin de réfléchir… Mais alors il faut vraiment être avec un partenaire avec qui l’on puisse s’assembler comme un puzzle à deux pièces, et sur les trois niveaux (cérébral, cœur et corps). Ok, on peut tirer un coup juste pour le plaisir charnel sans que cela soit pervers. Et on peut faire l’amour juste pour la sensualité du contact cellulaire.
Cath : « Quelquefois tu as l’impression que ça va être bien et puis le lendemain matin, tu n’as qu’une envie c’est que l’autre disparaisse et de te remettre à ton ménage… Ça ce n’est pas rigolo quand ça arrive ! Et des fois c’est l’inverse, de sacrées surprises ! Des gens qui ne t’attirent pas du tout sur le plan physique et avec qui tu ne fais que bien t’entendre sur le plan humain et là : magie ! Pourtant il est petit, il n’est pas joli, il est un peu gros… Va savoir, ça marche ! »
Chiara : « Il y en a (homme comme femme) qui prennent leurs plaisirs dans la domination ou la soumission malheureusement. Le sexe juste pour le cul n’a rien à voir avec la perversion. Qui aime les aventures par contre ne peut pas être comparé à un pervers, absolument pas. Il s’amuse, il aime le sexe et c’est tout… Si dans le sexe on insère l’obligation, le plaisir est le premier à disparaitre. »
Et là nous avons Ismael qui débarque avec sa réponse fatale :« J’ai un secret pour vous les filles. Vous avez un point faible, qui vous lave le cerveau une fois qu’on y arrive. Dès qu’on vous fait grimper au plafond, vous êtes entièrement à notre merci. »
« Isma, c’est nous qu’on a le pouvoir sur vous… » S’insurgea Chiara !
« Tant que vous n’atteignez pas l’orgasme ultime Chiara. Une fois qu’on y arrive, on fait ce qu’on veut. » Rétorqua aussitôt Ismael.
C’était sans compter l’intervention de Cath : « Sans compter qu’on n’est jamais seul avec sa main droite… Donc pourquoi attendre des autres qu’ils vous donnent ce que vous pouvez obtenir tout seul ? »
Ismael : « Ça ne sera jamais la même chose ! Tu peux t’acheter le GOD ultime, il n’y a pas mieux que le serpent cyclope cracheur de foudre hé hé hé hé ! »
Po : « Je l’aurais pas dit comme Isma mais c’est à peu près ça que je pense, rien ne vaudra les caresses spontanées d’un partenaire attentionné. »
Ismael : « J’ai perdu mon romantisme au fond de l’eau Po. Comme tu le dis, il faut être deux pour danser le tango. Tout ce qui marche à pile n’est qu’accessoire. »
Po expliqua qu’ils ne faisaient pas les choses que par plaisir: « Nous, c’est surtout pour vous qu’on fait l’effort.»
Ismael : « Po vous dit la vérité. Ce qui nous importe, c’est votre orgasme. Primo, on retient la sauce, jusqu’à ce que vous soyez prête. »
Moi : Effort ? Comment ça vous faites des efforts ? C’est là où est le problème des hommes. Les mecs font une fixation sur l’orgasme et pendant ce temps-là ne savoure pas !
Po : « L’orgasme masculin est mécanique, celui de la femme est cérébral. Si l’homme décide d’en faire un art, crois-moi, c’est bien pour faire plaisir à sa partenaire, je résume ce que dis Ismael en plus poétique. Vu que vous savez le faire seule, je dis juste que c’est plus facile avec un amant attentionné, et que s’il tient 20 minutes, rappelez-vous qu’il aurait aussi bien pu finir en 20 secondes. Si ce n’est pas un sacrifice ça… »
Chiara : « La nature nous a fait différent. Oui, si on parle en général, la femme pour éprouver un orgasme doit normalement sentir quelque chose vers son partenaire, avoir des sentiments, pas forcément de l’amour, mais on s’est compris… Les hommes ne sont pas cérébraux, ils arrivent à l’orgasme beaucoup plus facilement. Et si on parle que de sexe, ils n’ont pas besoin de ressentir des sentiments vers la partenaire… Mais si on parle de sexe comme acte… Eh bien, l’homme aussi doit forcément ressentir des sentiments. Il y a des choses qu’on ne fait pas avec tout le monde… »
***
Je demande à Louloute (48 ans) ce qu’elle appelle le sexe « trash ». Elle me répond :
« Le sexe trash, c’est le sexe kleenex. Utilisable qu’une seule fois, à ne pas reconsommer. C’est un acte sexuel qui peut être complet mais on sait qu’il est jetable. Au moment où l’on retire le préservatif, l’affectif s’arrête là. On ne cherche pas à se plaire pour tomber amoureux, mais juste pour accomplir un acte sexuel des plus réussi. En clair, quand la personne passe ta porte, ça ne te fait ni chaud ni froid. »
« Où commence et où s’arrête le sexe pour le cul et le sexe dans son art ? »
« Pour moi le sexe, celui qu’on devrait pratiquer le plus souvent, c’est celui où tu es amoureux. Car il y a la complicité, le partage, le respect, l’envie de, et là c’est de l’art. C’est tout simplement une histoire de sentiments. Ma sexualité s’est adaptée à la société. Je pèse mes mots, ils sont forts, je le sais. Beaucoup essaye de se reconstruire après certains déboires, certaines ruptures, mais ils n’y arrivent pas. Cela devient un marché bestial. Ils font payer aux autres toutes leurs rancœurs. On voit ça comme un phénomène de société. Par exemple on parle de la femme cougar, celle déjà mature en âge qui va se mettre avec un « petit jeune ». Pourquoi les femmes ressentent-elles de plus en plus ce besoin ? Et bien parce que le petit jeune, bien souvent, arrive avec un passé pas trop chargé. Avec un bobo au cœur peut-être, mais c’est tout. Maintenant tout le monde s’en fout du sexe. Regarde la gay pride. Avant 3 pelés se baladaient nus dans Paris, maintenant ils sont des milliers.
Le sexe, c’est juste un besoin, pas un bonheur. Les femmes frigides ont de la chance. Quand on est dans un contexte kleenex, ça devient vital. La femme frigide n’a pas ce besoin vital.
Est-ce que ça va finir en partouze générale ? Internet c’est déjà un marché du sexe, la vie est devenue un marché du sexe. Le corps devient de la barbaque. Je ne me considère pas comme irrespectueuse car j’avance la couleur d’emblée. Tu ne partages que du cul, c’est bestial. »
Mais au bout d’un certain temps, le cul pour le cul ça gave. Au jour d’aujourd’hui, une soirée câline lui conviendrait plus que l’acte pur et dur. Si le mec vient avec l’intention de baiser, il est hors de question qu’il la laisse en carafe. « Il reste jusqu’au bout !» M’explique Louloutte. « Partage et respect. C’est comme un repas qu’on mange ensemble, pareil pour le sexe, ça se fait à deux. » Louloutte m’explique qu’avec le sexe pour le cul, il n’y a pas d’amour alors qu’avec le sexe dans son côté sacré, l’amour est présent. « Le deuxième fait mal car ça fini souvent mal. Le premier est un faux-semblant, une illusion, mais ce genre de pratique est une grande franchise, il n’y a pas besoin de mentir. C’est un antidépresseur, on s’en fout de ce qu’il se passe après ».
Beaucoup d’hommes lui ont reproché de jouer le rôle du mec. « Dans la sexualité, si tu es un mouton, tu te fais baiser. Pour moi c’est un contrat. 1h, 2h, 3h, qu’importe. Tu préviens que tu veux rester dans le soft en restant dans le cul pour le cul. J’aimerai être autrement, mais quand je suis love love, l’autre me martyrise l’esprit et alors tu passes ta vie à te titiller les méninges. Peut-être qu’un jour le contrat durera pour longtemps. Alors quitte à prendre ton pied, autant ne pas réfléchir. » Termine Louloutte en riant.
Pour changer, voici le témoignage d’une dame âgée de plus de 80 ans, Pépette :
« 1ère relation sexuelle à 17 ans sans savoir pourquoi cet acte. Ressenti : cette chose gênante et chaude dans mon sexe. Presque un dégoût. Il y en a eu d’autres avec des partenaires différents. Toujours une sensation d’indifférence. Je me demande pourquoi je me laisse "posséder" tout en me laissant faire. C’est à une époque où j’avais envie de fuir le cocon familial où je me sentais mal…
Une fois j’ai attendu un gars qui m’avait entraîné à l’hôtel pour avoir un rapport et qui se mariait quelques jours après. Quand j’ai appris qu’il avait abusé "disons de ma faiblesse" je l’ai giflé… Evidemment il m’a retourné le coup de bâton…
Pendant quelques années j’avais l’acte sexuel en dégoût… Pendant ce temps je me suis refait une virginité. Quand je suis partie à Dakar (28 ans) est-ce le climat ? J’étais comme un animal en rut… et mes premières relations se terminaient par des larmes…
Ensuite j’ai ressenti les premiers émois. Chaque partenaire me procurait une satisfaction différente….
Ayant beaucoup de succès et étant très sexy je me donnais le choix du partenaire. J’en ai vu des petites, des moyennes, des en virgules, en forme de carottes. Ah le partenaire qui l’avait en carotte ! Un fou rire m’a pris : je n’ai pas besoin de décrire, imaginons "la carotte"… C’est que arrivée à la profondeur "de notre bijou" il m’a fait souffrir… et ce mal je l’ai ressenti quelques jours.
Jusqu’au jour où j’ai trouvé le bon partenaire qui m’a donné les vrais plaisirs de l’acte de la chair et savoir écouter les réactions de son corps. Puis séparation… alors que le corps et le psychisme ont besoin de rapports sexuels pour notre équilibre…
Chaque homme ayant un organe plus ou moins petit, moyen, long ou large apporte à la femme un plaisir différent. D’où peut-être le besoin de changer de partenaire… A moins de tomber sur celui qui vous convient.
A bannir les jouisseurs précoces : qu’ils sont "emm…"! Ou ceux qui ne trouvent leur bonheur que dans la fellation. Qu’ils cherchent les femmes qui ne trouvent leur plaisir qu’à cela. Et elles existent…
Avec mon mari pas beaucoup de rapport, il n’allait jamais jusqu’au bout parce que mal au dos…
A 57 ans j’ai eu un amant qui avait 28 ans de moins que moi pendant 3 ans. Alors comme lorsque j’étais plus jeune, les mêmes sensations, l’équilibre, le bien-être du corps reprenait le dessus. C’est arrêté là ma vie sexuelle…
J’ai su par un couple de 80 ans qu’ils avaient des rapports deux fois par semaine. Mais je peux affirmer que mon corps à moi en a encore besoin malgré mon âge (82 ans). Mais il y a l’abstinence à cause de mes lombaires détériorées et les prothèses. Cet acte m’est médicalement déconseillé. »
Voici maintenant le témoignage de Malik (48 ans) : « Pourquoi raconter ce qu’on va faire ou ce qu’on a la prétention de faire à sa nana alors que cela concerne l’intimité ? A-t-on besoin de préciser que l’on s’est essuyé les fesses après avoir un coulé un bronze ?
L’homme prend et dispose » me dit Malik. « C’est mon objet et j’en profite à plein escient quand je le désir, sans déclic, sans regard. Juste la bestialité d’un acte qu’on veut convulsif et jouissif. Ensuite, on a la satisfaction de s’être vidé, sans même savoir si sa partenaire n’a profité ne serait-ce que d’un petit peu de bonheur. Tous les hommes ont la prétention d’être bon « sexuellement ». Mais ce sont-ils déjà posé la question si cela était vrai ou si c’était juste un rêve, une illusion ? Comment peut-on prétendre être le meilleur amant alors que nous ne connaissons même pas la personne en face de nous ou que nous ne savons pas comment aimer l’être aimé ?
Quand j’étais adolescent, j’ai bien ce souvenir où je ne pouvais pas prétendre faire l’amour. Je baisais. C’était de l’égoïsme pur. Je te pénètre, j’éjacule. Et voilà : une de plus dans mon tableau d’honneur. Alors j’imagine qu’aujourd’hui, toutes celles qui sont passées entre mes mains ont bien raison de penser que je ne valais vraiment pas le coup. Et si je pouvais revenir en arrière, ce serait à genoux que je me présenterais devant toutes celles à qui j’ai manqué de respect sans le savoir. J’ai tout connu, sauf l’homosexualité. De multiples partenaires, de la dépravation, du n’importe quoi qui nous fait croire que nous sommes un homme.
Une question subsiste aujourd’hui : Ai-je réellement un jour aimé une personne ? Ai-je réellement un jour fait l’amour ? Cela est moins sûr aujourd’hui, avec la conscience de mes actes passés.
Un jour, je donnerai à une personne toutes mes meilleures valeurs, toute ma tendresse, tout mon amour, toute mon écoute, sans jamais renoncer à croire en cette puissance qu’est l’amour inconditionnel.
Si je peux ajouter quelque chose pour conclure mon témoignage, je dirais qu’il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs. Commencer trop tôt une vie sexuelle peut faire louper pas mal de choses dans la vie. Il est nécessaire d’apprendre à se respecter soi-même et à respecter son/sa partenaire avant. Si pour peu que l’on s’intéresse à la sexualité, un minimum de connaissances est important afin de ne pas faire n’importe quoi. »
***
L’amour, quel qu’il soit, avec un grand A, dans la sexualité ou dans la spiritualité, n’est ni dans l’attente, ni dans l’exigence, ni même dans l’espérance, que ce soit physique, psychique ou énergétique.
La sexualité est tellement importante pour moi. C’est un acte sacré qui doit amener à l’union des deux âmes et le sacré mérite le respect intégral. Cette action-découverte du sacré doit être savourée. On doit prendre le temps de la connaître, de la découvrir, de l’aimer. C’est comme avec une plante, si on l’arrose trop elle pourrit, si ce n’est pas assez elle s’assèche. Il faut prendre le temps pour qu’un bonzaï pousse et devienne beau. Et bien c’est la même chose pour une relation quelle qu’elle soit. Même si j’ai peu de temps pour m’occuper de mon bonzaï, même si je sais que je vais partir bientôt loin de lui, ce n’est pas pour ça que je dois lui verser trop d’eau pour qu’il ait assez jusqu’à ce que je revienne, sinon je pourrais le noyer et il risque de mourir… Je dois au contraire savourer le peu de temps que j’ai avec lui car qu’est-ce que le temps sinon l’éternité quand on est près d’un être cher que l’on aime ? Est-ce que la patience n’est plus une vertu de nos jours ? C’est vrai que nous sommes tous menacés d’une extinction massive de l’humanité mais n’est-ce pas en partie dû à l’impatience de l’être humain ? Est-ce une raison pour manger son repas le plus vite possible sans penser à la digestion qui risque d’être plus longue et difficile.
Il faut après assimiler la matière des aliments, la dissolution des ingrédients devient plus compliquée parce que l’on n’a pas pris le temps de mastiquer, parce que l’on saute des étapes. C’est pareil avec la relation sexuelle. En aimant, il y a un échange d’énergie ; mais cette énergie doit être assimilée comme la nourriture pour que la digestion se fasse correctement, pour que les bons nutriments se répandent dans les cellules qui leur correspondent.
Voici un petit mot que m’avait glissé Thanh quelque temps avant son décès : « Pour la plupart des hommes, y compris moi-même, aimer veut dire donner et qui dit donner dit recevoir en même temps. Mais il y a un autre genre d’amour, plus subtil, plus idéaliste, l’amour qui ne demande rien en retour. Cet amour-là est si rare que je n’ai pas pensé pouvoir le retrouver à mon âge. Tu m’as fourni une vision très pure, très chaste de l’amour. »
***
Pour terminer cet article, le témoignage d’Irène (80 ans) « Voilà un thème que tient bien à mon « Pacemaker » !
Arrivé à mon âge, où les discutions tournent autour de la ménopause et andropause…
Mais sans qu’on se laisser abattre par le fatalisme, et parce que le sexe est notre philosophie de vie (car on n’est pas encore mort), car c’est bon pour le corps (tonus musculaire, cardiaque, anti-hypertension, etc.) et bon pour l’esprit (anti-Alzheimer…).
Vue que la sexualité d’un individu passe (généralement) par divers étapes évolutives : d’abord c’est pour le cul (= on obtient de l’expérience), après on essaye de rendre un « Art » (= pour combattre la routine, pfffff !). On trouve des excuses dans les enfants, patin, couffin…
Et un jour on découvre (enfin) qu’on a été victimes des états hormonaux, qui correspondent à la survie de notre espèce…
Bref, arrivé à mon âge, quand on a compris tout ça, nous nous sentons dans le devoir de conseiller les plus jeunes, à éviter tout préjugé autour de la sexualité, car ça évite les perversions, et tout sentiment de culpabilités…
Et surtout, surtout, conservez vos mains toujours bien hydratés… et pour votre sécurité, n’oubliez pas d’ôter vos dentiers ! »
Ah ! Ah ! Ah ! Sacrée Irène ! Le sexe n’est pas un jeu mais un art de vivre. Comme nous devons savoir manger, il est important de savoir aimer avec des règles de savoir-être, de respect : ni dans l’abondance, ni dans la restriction.
Le primordial n’est pas la jouissance réparatrice mais le bonheur de partager.
Ne cherchez pas le sexe comme un devoir mais plutôt comme un moyen de communication entre deux personnes qui s’aiment, que cela soit éphémère ou infini.
J’aimerai que les gens sachent que le sexe n’est pas un concours. Il n’y a pas d’amant ou de maitresse meilleurs que l’autre. Le point important est qu’il y ait connexion entre les deux êtres.
Mise en garde à tous les adolescents : vous êtes à un tournant de votre vie où vous allez rechercher le plaisir corporel. Toute la différence entre le sexe juste pour le cul et l’art de la sexualité sacrée, c’est l’amour tout simplement… Que tu aimes pour une nuit ou pour une vie importe peu, mais aime (sinon ne fait pas…)
Avec deux témoignages de dernières minutes :
Po : « Quand même je continue à penser que le sexe c’est comme la religion ou avoir un pénis, ce n’est pas parce qu’on a le droit d’être fière d’en avoir un qu’il faut le montrer à tout le monde 😉 Il n’y a pas de femme frigide mais beaucoup de mauvaises langues 😉 »
Et Vincent : « L’homme attentionné doit commencer les préliminaires dès le matin. C’est une parade nuptiale qui doit se renouveler à chaque acte. Ce n’est pas l’acte qui amène aux préliminaires mais l’inverse. La relation sexuelle, c’est comme une mayonnaise, il faut tous les ingrédients à la même température pour avoir l’émulsion… C’est une alchimie qui aboutit à un mélange des sens. Ne serais-je pas un peu rêveur ? » Me demande Vincent en souriant… Puis il ajouta que dans mon analyse, je devais distinguer le besoin physique et le besoin affectif (le type qui se vide avec sa femme et qui trouve l’affection dans les bras de sa maitresse). Il me dit qu’il y a le phalocrate (macho dominant) et l’attentionné qui n’a rien à prouver… Et pour finir il me posa l’ultime question « affirmative » : « Et pour l’homme maintenant, il y a la femme !? »
Conclusion : La sexualité n’est pas seulement une histoire de corps et de jouissance. Elle est échange, émotions et mystère… C’est une manifestation naturelle, saine et joyeuse de notre force de vie. S’unir sexuellement à un(e) partenaire, c’est manifester corporellement qu’on se livre entièrement, sans barrière (ni émotionnelle, ni mentale, ni spirituelle). S’unir sexuellement, c’est se « connaître », c’est offrir l’un à l’autre sa vulnérabilité, sans rien cacher de soi, de ses pensées ou de ses actes, pour trouver en l’autre un amour inconditionnel. Cela montre la force de l’intimité qu’il doit y avoir entre deux êtres pour qu’ils s’unissent sexuellement. C’est l’expression d’une réalité et d’un désir : vouloir connaître l’autre jusque dans son intimité la plus profonde. Être uni à lui au point que je suis en lui et lui en moi. Il y a l’aspect biologique et technique de l’acte sexuel, alors que c’est avant tout une relation d’amour qui engage.
Parce que l’acte sexuel engage l’être dans sa totalité et qu’il est conçu pour être un acte d’amour vrai.
Bonjour Nathalie Aime…..Encore une fois dans vos articles, on sent l’investissement personnel….
Un bon point pour toi….une fois de plus….
Bonjour Liberti(n)us… Comme tu peux le constater, je n’ai pas chômé… 😉 Cet article devrait intéresser plus d’une personne…
Merci à la modération…
Pour une fois qu’il n’y a pas de pub sous un article, je suis trop contente ! ;D
Tiens tiens, à ton âge je n’aurais pas cru que tu avais une telle expérience en sexualité. Il est vrai que tu as questionné des gens de tous âges. En tous les cas tu t’es encore bien investi dans cet écrit. Je te tire mon chapeau rouge que tu as vu chez moi. J’aimerais rencontrer cette pépette qui a vécu également Dakar. Si on se revoie tu me donneras des détails …
Continue tes écrits tu nous fascines.
Une grosse bise.
Eleina ! Je suis choquée ^^ Comment ça à mon âge blablabla ?! Je n’ai mis que les témoignages des autres lol ! Merci pour votre commentaire ! Et oui je vous raconterai tout en détails la prochaine fois… Hi hi hi !
Joli article!!…….BRAVO! 😉
Merci [b]Ch.[/b]! 😀
[b]Sincérité ! tout respire la sincérité dans cette prose, la règle du jeu de vie est aussi l’imagination de l’une et de l’un, réciproques, et à des millions de kilomètres des recettes toutes faites, qu’il vaut mieux éviter même d’aborder. C’est un peu comme lire les dernières pages d’un roman et se gâcher le plaisir, que dis-je la jouissance de la découverte. [/b]
Oups ! Irène un de mes témoins vient de me dire qu’elle avait 80 ans et non pas 40 !
Bonjour Zélectron ! Et oui la sincérité ! Ces témoins m’ont tous raconté leurs expériences dans leur vérité à eux. Chacun a été honnête et je les en remercie pour ça. Comme tu le dis, aucune recette n’est toute faite. Les bases sont identiques mais le petit truc qui va faire toute la différence c’est toi qui l’ajoute…
Je viens de voir que Mozarine désapprouve mon article. J’aimerai savoir pourquoi ? Parce que cela parle de sexe tout simplement ? Il ne me semble pas vulgaire et le but était justement de faire comprendre aux gens la grande différence (et l’intérêt) de passer du sexe juste pour le cul au sacré de la relation sexuelle. Alors là j’avoue que je ne comprends pas. Mozarine j’aimerai une petite explication si tu veux bien, merci !
[quote]fusion : La sexualité n’est pas seulement une histoire de corps et de jouissance. Elle est échange, émotions et mystère… C’est une manifestation naturelle, saine et joyeuse de notre force de vie. S’unir sexuellement à un(e) partenaire, c’est manifester corporellement qu’on se livre entièrement, sans barrière (ni émotionnelle, ni mentale, ni spirituelle). S’unir sexuellement, c’est se « connaître », c’est offrir l’un à l’autre sa vulnérabilité, sans rien cacher de soi, de ses pensées ou de ses actes, pour trouver en l’autre un amour inconditionnel. Cela montre la force de l’intimité qu’il doit y avoir entre deux êtres pour qu’ils s’unissent sexuellement. C’est l’expression d’une réalité et d’un désir : vouloir connaître l’autre jusque dans son intimité la plus profonde. Être uni à lui au point que je suis en lui et lui en moi. Il y a l’aspect biologique et technique de l’acte sexuel, alors que c’est avant tout une relation d’amour qui engage.
Parce que l’acte sexuel engage l’être dans sa totalité et qu’il est conçu pour être un acte d’amour vrai.[/quote]
En effet ,je n’aime pas le titre et la façon « cavalière » de parler du sexe!Chez nous en Belgique ,on ne parle pas d’une manière si crue!
Mais je suis tout à fait d’accord avec le fond de l’article et la conclusion!
Tu as raison Mozarine, les témoignages sont peut-être un peu cavalier comme tu dis… Le titre est un peu choc, c’était le but recherché. J’ai mis des mots vulgaires en mots clés pour que ceux qui tapent ça sur google tombent sur quelque chose de constructif plutôt que destructif. Et oui le plus important est l’idée de fond et la conclusion… Merci de m’avoir répondu Mozarine 🙂
coucou l’aventurière bien aimée :
La touche à tout de C4N, qui réussi très bien a accaparer son public, et c’est tant mieux, tant elle le mérite.
Tu sais bien que je ne vais pas passer à côté d’un article sur la sexualité sans y mettre mon grain (pas de beauté), de sel.
Quand la tendresse, ou l’Amour est présent dans un relation en couple (mari-femme-maîtresse-amant) je ne fait pas la différence (je sens que je vais affermir ma réputation) :
[b]TOUT est permis !
[/b]
Pas de tabou si le consentement est mutuel.
J’ai d’ailleurs une expression que j’emploie toujours :
Au moment de l’acte sexuel : on ferme UNE porte (imaginaire), et là si l’on aime le « sexe », l’imaginaire prend une place importante !
On ouvre cette porte dès que les ébats amoureux sont terminés.
Il faut une bonne dose de complicité, et beaucoup d’attaches dans d’autres domaines pour en arriver là.
La vie reprend son cours, on partage à nouveau les joies, les soucis, les découvertes etc, etc..
La sexualité fait partie de notre vie, apaise les pulsions, élimine toute l’électricité accumulée.
Un homme ou une femme frustré dans sa relation sexuelle, devient une aigrie.
Sachez aussi, que pour retenir un Homme, il n’y a pas que les bons petits plats, comme disaient nos grand-mères, et si j’étais vulgaire, je dirai qu’une femme peut aussi retenir son « homme » par la Q…..
Sur ce je me retire et je crains le pire….
Je vais signer tout de même
SOPHY
Salut Sophie ! Mais non mais non ! Personne ne dira rien de ton grain de sel ! 😉
Je retiens de ton commentaire « il faut une bonne dose de complicité ». C’est exactement le mot « Complice ». Sans complicité, il me semble difficile de pouvoir se laisser aller à quelque chose de VRAI.
Merci pour ton passage ici et pour avoir donné ton avis. 😀
« j’ai eu à pensé que le monde avaient changer,met hélas;le sexe n’a fait que empiréz la névroses colectives,et des insatisfaits partouts sur la planete;nous sommes les vertebrés,les plus verssatilles du genres humains…les bonobos sont moins compliqués.et plus consensuel.
[b]boniface zebo correspt de press[/b]: apprends d’abord à écrire si tu veux te faire comprendre !
Boniface, vous avez certainement raison… L’homme est un animal et quelque fois on se demande lequel est le plus humain… Comme vous dites, tout tourne autour du sexe et cela engendre des insatisfactions qui engendre des dérives bien souvent… Beaucoup ne savent plus se contenter d’aimer tout simplement, ils ont alors besoin de se sentir « pire qu’une bête »…
[quote]TOUT est permis !
Pas de tabou si le consentement est mutuel.
[/quote]
Voilà quant à moi ce que je pense de la sexualité.Il y a bien des façons de se rendre heureux: certains ont besoin de plus de spiritualité, d’autres non. Il n’y a pas de jugement de valeur à avoir, il faut simplement se respecter et respecter l’autre.
Et moi je retiens cela Siempre : [b] »Il faut simplement se respecter et respecter l’autre. » [/b] ;D
Reiki Usui Shiki Ryoho
Sexe : Mesdames, 10 bonnes raisons de faire l’amour
1/Le sexe vous fait perdre du poids
On ne va pas s’en cacher, faire l’amour ça fait du bien ! Et si vous n’êtes pas adeptes du sport de chambre, voici 10 bonnes raisons pour vous y mettre !
Rien de tel que de s’amuser (et de prendre du plaisir) en faisant du sport ! Faire l’amour est excellent pour votre activité cardiaque. Cela permet aussi de tonifier tous les muscles du corps. Cela semble dur à croire mais en faisant l’amour vous brûlez près de 150 calories en une demi-heure. Donc faire l’amour 3 fois par semaine vous permet de brûler au total 600 calories. Et c’est tellement mieux qu’un régime !
2/Le sexe est un anti-douleur naturel
Vous connaissez le « Pas ce soir chéri, j’ai mal à la tête »? Ce n’est plus une excuse valable dorénavant. En effet, des études ont montré que l’orgasme était un anti-douleur très puissant car il libère des toxines, connues pour soulager la douleur et donc les maux de tête.
3/Le sexe déstresse
Avoir régulièrement des rapports sexuels apaise et diminue le stress. Il procure épanouissement et confiance en soi. Une récente étude menée à Scotland a démontré que les personnes sexuellement actives sont plus aptes à garder leur sang froid et à gérer des situations de stress.
4/Le sexe améliore votre sommeil
Le manque de sommeil a un impact négatif sur notre quotidien. Pour combattre l’insomnie, les experts recommandent, entre autre, d’arrêter l’alcool et la caféine, de regarder moins souvent la télé et de prendre un bain avant de se coucher. Faire l’amour peut être rajouté à cette liste de conseils pour bien dormir. Les hommes s’endorment presque instantanément après, et les toxines libérées au moment de l’acte ont un effet tranquillisant sur les femmes.
5/Le sexe protège de la grippe et l’asthme
Selon des chercheurs, faire l’amour au moins une à deux fois par semaine augmente la production d’anticorps (les immunoglobulines A) qui nous protègent des infections virales comme la grippe. Le sexe est aussi un antihistaminique naturel : il combat l’asthme et le rhume des foins.
6/Le sexe est bon pour le coeur
Une relation sexuelle est bénéfique pour votre coeur. Une étude réalisée à l’Université Queen de Belfast montre que faire l’amour trois fois par semaine réduit de moitié le risque d’attaque cardiaque ou d’AVC. Chez les femmes, le sexe augmente la production d’estrogènes, connus pour lutter contre les maladies cardiaques. Et il y a de bonnes nouvelles pour votre homme aussi : une autre étude publiée dans le Journal d’épidémiologie et de santé communautaire affirme que le sexe deux fois ou plus par semaine réduit le risque de crise cardiaque fatale, de 50% de plus, par rapport aux hommes qui ne font l’amour qu’une fois par mois.
7/Le sexe vous donne confiance
Qu’y a-t-il de plus épanouissant qu’une relation physique saine et heureuse ? Il n’y a pas de plus grande motivation à rester en forme quand on doit se montrer nue au lit. Vous faites donc plus d’efforts pour vous sentir bien dans votre corps : vous vous forcez à faire de l’exercice, à bien manger et à adopter un planning beauté strict (poils, cheveux, peau etc.) Vous vous sentez mieux et fière de votre corps !
8/Le sexe vous rend jeune
Le sexe ne vous fait pas seulement sentir plus jeune : la recherche montre qu’il peut réellement ralentir le processus de vieillissement. Lorsque vous atteignez l’orgasme, le corps sécrète la DHEA, une hormone connue pour améliorer la santé du système immunitaire, la réparation des tissus qui aide à garder une peau jeune. La DHEA favorise également la production d’autres hormones comme les œstrogènes, qui peut prolonger la vie par l’amélioration de la santé cardiovasculaire. C’est donc prouvé, le sexe rajeunit !
9/Le sexe tonifie votre bassin
Les exercices de Kegel, du Dr Kegel, consistent en la contraction puis la relaxation des muscles du bassin. Les experts recommandent aux femmes de les pratiquer quotidiennement pour se préparer aux contraintes de la grossesse. Cependant, le problème c’est qu’ils doivent être exercés quotidiennement pour être vraiment efficaces. Heureusement, il y a une autre façon de renforcer ces muscles, en effet, sans vous en rendre compte, en faisant l’amour vous tonifiez votre bassin. Et plus les muscles sont fermes, meilleur est le plaisir.
10/Le sexe est un anti-dépresseur
Le sexe est une cure instantanée contre les petites dépressions. Il fait circuler l’endorphine dans le système sanguin, produisant un sens d’euphorie et vous laisse avec un sentiment de bien-être. De plus, selon une étude, le sperme, absorbé dans le corps humain aide la femme à réguler ses hormones et donc réduit le risque de maladie mentale. – avec Patrick Harnist, Paquita Estebana, Jean Philippe Chevillard, Christian Battesti, Jean-Louis Sanchet, Ulysse Vasileva, Jean Claude Massi, Patricia Faure et Maryse Ducatillon.
Mesdames… et Messieurs !
Le regard d’un ange.
Un jour ou tout n’était qu ‘hasard et probabilités.
Elle m’apparut dans toute sa volupté.
Je su à cet instant qu’elle serait ma bien aimée, si j’y mettais tout le courage d’une armée.
Belle, douce mais simple à la fois,
Elle avait la force de cette foi,
Qui lui permettait de lire dans mon cœur et d’y apporter ce grand bonheur.
D’une simplicité, d’une humanité rare, je lui portais tous mes regards.
De celui qui découvre un ange, je voulais que ma vie change.
Je lui porta les égards, de celui qui voit un ange.
Un ange dont le regard, jamais jamais ne dérange.
*L’Amour Naît d’un regard, Vit d’un baiser et Meurt d’une larme.
»La vie ne peut être comprise qu’en remontant à sa source première. Cette source est à jamais douce et sans fin. » Swâmi Râmdâs « On ne badine pas avec l’amour. » Alfred de Musset
Bonjour Nathalie , il semble que Facebook et Come4news soient plus addictif que le sexe, néanmoins malgré ma dépendance,je vous embrasse cordialement sur la bouche….
a+
ET PENDANT CE TEMPS…IL Y A UN TRAFIQUE DE FEMMES,
D’HOMMES ET D’ENFANTS VOUES A L’ESCLAVAGE SEXUEL…
Voici un texte que j’ai envoyé ce samedi, 6 oct. 2012
au Journal « la Gauche Libéral »
rubrique n*73
En ce qui concerne le trafique de femmes, d’hommes et d’enfants voués à l’esclavage sexuel…je suis persuadé que sous le couvert de clubs mondains, du Playboy Club, du célèbre Club de Rome, ainsi que de sectes occultes, ce genre de trafique humain doit se passer entre certains membres pervers…
Les points chauds comme Las Vegas, Pigalle à Paris, le Red-Light à Amsterdam et ailleurs où la débauche a cours, sont
des lieus propices aux disparitions d’individus pour la traite, l’esclavage et abus de la personne…Et c’est dans les clubs de danseuses et danseurs nus, ainsi que dans les services d’escortes que ça se passe…
Puis, il y a les défilés de modes (femmes, hommes et enfants) qui se déroulent dans les grandes villes du monde entier,
où de riches proxénètes achètent les vêtements d’apparat » modèles inclus. »
http://www.gaucheliberale.org/post/2008/12/06/La-lutte-contre-la-pornographie-est-elle-justifiee2
[b]A Mademoiselle
Oui, femme, quoi qu’on puisse dire
Vous avez le fatal pouvoir
De nous jeter par un sourire
Dans l’ivresse ou le désespoir.
Oui, deux mots, le silence même,
Un regard distrait ou moqueur,
Peuvent donner à qui vous aime
Un coup de poignard dans le coeur.
Oui, votre orgueil doit être immense,
Car, grâce à notre lâcheté,
Rien n’égale votre puissance,
Sinon, votre fragilité.
Mais toute puissance sur terre
Meurt quand l’abus en est trop grand,
Et qui sait souffrir et se taire
S’éloigne de vous en pleurant.
Quel que soit le mal qu’il endure,
Son triste sort est le plus beau.
J’aime encore mieux notre torture
Que votre métier de bourreau.
Alfred de Musset [/b]
Bonjour Libertinus… ;)Et oui, l’addiction de C4N peut être encore plus forte que celle de la reproduction… Si votre baiser pouvait être magique et me transformer en une femme comme j’aimerai l’être… Les rêves font vivre…
[b]Sunraypq[/b] Et pendant ce temps… le pire se passe partout dans le monde. Je sais, je connais, j’ai vu. Que cela soit en Asie, dans les pays de l’est ou ici en France.
Oui nous pouvons avoir honte que l’esclavage sexuel existe encore de notre époque. Et plus ça avance plus ça empire. J’ai eu l’occasion dernièrement de découvrir des femelles orang-outang, droguées, prostituées, rasées et même maquillées. Les hommes n’ont plus de limites… Ils ont perdu leur statut d’homme, je les relègue au rang de « bête »
Si j’étais présidente, ces gens-là me traiteraient sûrement de dictateur car je ferais une véritable razia. Il y aurait des morts c’est sûr mais combien d’innocents de sauvés ensuite. Oui voilà une raison pour laquelle je n’hésiterai pas à tuer si j’étais présidente. Les pervers et les pédophiles : dans la fosse commune !
Zélectron… que votre âme est poétesse… Mais c’est qui le bourreau dans l’histoire pour vous ? La femme ?
Sunraypq, OUI la guerre contre la pornographie est justifiée car tant qu’il y aura des connards qui auront besoin de film de Q pour s’exciter, il y aura des connards qui enlèveront et/ou imposeront à femmes et enfants. Donc oui oui et encore oui pour cette lutte.
[b]petit rappel…
Soljenitsyne disait: on asservi bien mieux les peuples avec la pornographie qu’avec des miradors[/b]
[b]la pédophilie n’est-elle pas la porte d’entré majeure à l’homosexualité ?[/b]
L’amour de la sagesse est la porte d’entrée principale qui mène à l’esprit.
PH
[b]Zélectron[/b] a dit : [i] »petit rappel…
Soljenitsyne disait: on asservi bien mieux les peuples avec la pornographie qu’avec des miradors »[/i]
Comment peut-on soumettre un peuple avec de la pornographie ? Parce qu’une partie de lui aime ça ? C’est plus facile d’aimer le sexe que d’aimer des miradors c’est sûr. Mais aimer le sexe est un piège. Aimer l’autre qui nous fait face et s’unir à lui par le sexe est quelque chose de beau contrairement à son inverse…
[b]Zélectron [/b]a dit : [i] »la pédophilie n’est-elle pas la porte d’entré majeure à l’homosexualité ? »[/i]
Oui et non, enfin je ne sais pas… Quand vous parlez d’homosexualité, j’ai tendance à voir cela entre deux hommes alors que c’est pareil avec les femmes. Je ne pense pas qu’aller avec des enfants puissent donner envie d’aller avec quelqu’un de son propre sexe. Maintenant à l’inverse, l’homosexualité (homme-homme) refoulée pourrait amener à la pédophilie, cela semble plus probable. Mais je n’ai pas toutes les connaissances dans ce domaine pour décrire le pourquoi du comment exacte.
[b]Philippus[/b] a dit : [i] »L’amour de la sagesse est la porte d’entrée principale qui mène à l’esprit. » [/i]
Ca c’est une phrase sage ! L’Amour de la sagesse ! Oui ! Je vote POUR ! 😀
Si tout le monde travaillait sur lui-même avec pour but l’évolution vers la sagesse, il ne s’en porterait que mieux !
[i]la sagesse [/i]
le commencement de la sagesse , c’est la crainte de l’Eternel.
Craindre l’éternel dans l’amour et la sagesse n’est plus de la crainte mais la reconnaissance en soi de la partie divine qui existe bien. A coup de versets ou de paraboles est plus à craindre que par l’évolution individuelle, l’histoire le montre encore aux aveugles.
PH
libre à vous , cher ami !
chacun est responsable de sa destinée eternelle !!!
Le destin ou la destinée… C’est ce qui empêche malheureusement des millions de gens sur le plan religieux d’évoluer. Il en est de même souvent chez les Musulmans je le soulève.
Donc cher véritas si vous tamponnez les gens par la destinée, n’attendez rien des gens qui ne vont pas dans votre sens, laisser les suivre ce destin. Cela soulève alors la notion de vie différente imposée aux hommes selon votre logique mais qui laisse alors le destin ouvert à une suite pour assurer la justice divine. La réincarnation pourquoi pas…
Votre destin serait de juger donc, par votre logique ou pensez-vous pouvoir évoluer vers ce que Jésus invitait plus sagement comme direction à prendre, donc bien par son propre libre arbitre afin de forcer le destin, outil bien pratique des pouvoirs temporels…
Le monde ou l’univers s’inscrit dans une destinée, nous suivons le mouvement n’étant qu’une petite partie matérielle par notre physique, mais le libre arbitre serait par quoi selon vous ?
PH
Nathalie
Vous dites que la guerre est justifiée contre la pornographie, mais comme tout abus ou excés, il serait bien de concevoir encore la cause des tabous sexuels que l’on traîne depuis des siècles et des siècles. Le sexe, bien que chose naturelle pour le physique à toujours été caché par des incompréhensions sur des textes religieux sans plus d’approche de l’esprit sur ces sujets. Pour rappel l’église en occident est la principale cause de ces conséquences qui désormais se nomment pornographique par un libéralisme de la communication, visuelle depuis quelques temps. En tous les temps le sexe s’est imposé comme extrème mais en cachette car l’humain ne peut faire abstraction d’une partie naturelle de sa personne. La prohibition sexuelle est impossible, nous le voyons bien au niveau des religieux qui s’abstiennent par le résultat et les conséquences, parfois extrèmes… (bien que beaucoup de curé avaient leur bonne ou leur femme secrète…
Pour rappel les Evangiles disaient que les apôtres ou ceux qui représenteraient ensuite les propagateurs du message devaient prendre femme et avoir famille, afin de comprendre la vie au même niveau que tous…
PH
[b]Véritas[/b] a dit : [i] »la sagesse
le commencement de la sagesse , c’est la crainte de l’Eternel. » [/i]
Véritas, est-ce que « crainte » est égal à peur pour vous ?
[b]Philippus[/b] a dit : [i] »Craindre l’éternel dans l’amour et la sagesse n’est plus de la crainte mais la reconnaissance en soi de la partie divine qui existe bien. A coup de versets ou de paraboles est plus à craindre que par l’évolution individuelle, l’histoire le montre encore aux aveugles. »[/i]
Pouvez-vous développer svp ?
Philippus, oui la pornographie n’est qu’une communication visuelle de ce qui existe déjà. Je ne dis pas qu’il faut nier l’existence de la sexualité. Simplement ce que un trouve « normal » ne le sera pas forcément pour l’autre. Et malgré le rond blanc « interdit au moins de 16 ou 18 ans », tous les parents ne sont pas suffisamment attentionnés auprès de leurs enfants afin de leur éviter de voir ce qu’ils ne sont pas encore en âge de « voir ». Partant de là, quand on voit ce que certaines scènes « montrent », trouvez-vous « normal » que des enfants fassent leur éducation sexuelles sur ce genre d’exemple comme la violence sexuelle qui soumet ? Après on se demande pourquoi des gamins de 14 ans commencent à violer des fillettes de 12 ans ?!
Quant aux histoires religieuses… effectivement il y aurait certainement moins de soucis si les curés pouvaient prendre femmes… Pourtant Jésus aussi avait une femme mais je ne sais pas pourquoi, jamais ils ne voudront le reconnaitre !
Craindre Dieu au sens des textes, c’est craindre nos propres conséquences issues du manque spirituel de l’individu. L’évolution au sens spirituelle pour l’homme, par le savoir spirituel, permet de se retrouver en accord intérieur avec la partie divine et donc avec l’univers. Du moins en fonction de chacun. Tout est énergie. Les anciens textes parlaient de craintes envers la notion divine pour canaliser les groupes (d’ou les interdits et obligations aussi), mais la notion positive des mots existe aussi sur le plan du libre arbitre par les notions de paradis par exemple. L’homme est dans une suite évolutive sur terre afin de se révéler vers une évolution, celle de son esprit, son entité plus réelle que le simple corps qui nous héberge en une vie. Qui suis-je ou vais-je que fais-je est bien la question fondamentale à l’homme et nous allons bien dans une direction déterminée, même si au niveau des groupes il y aurait un retard évident.
Pour tenter de faire simple à ce niveau….
PH
Nathalie
La sexualité, ou le cinéma X voire la pornographie reste de la sexualité (ce que font les gens sur le plan intime disons avec certes moins de romantisme) maintenant en ce qui concerne la violence sur ce sujet, comme pour tout autre sujet cela reste à dénoncer.
La guerre est violente, nous en avons des tonnes chaque jour dans l’info en images, n’est-ce pas plus cela qui crée la violence banale désormais qui ne met plus de limite à « certains » jeunes… La découverte de la sexualité et des choses du sexe est-elle en elle-même dangereuse… question du message qui est donné dans l’image plus certainement.
Pour info entretenir la guerre dans le monde c’est inciter des milliers de jeunes chaque années qui n’ayant pas plus d’esprit que face à un film porno, s’engagent pour devenir les pires monstres, mais sous couvert de la même société…
PH
[i] « la sagesse
le commencement de la sagesse , c’est la crainte de l’Eternel. »
Véritas, est-ce que « crainte » est égal à peur pour vous ?[/i]
Nathalie, la crainte c’est d’abord le respect
et eventuellement la peur dans le cas du
non-respect et cette crainte-là est une Grâce de Dieu ,
dans la mesure où la foi dans sa Parole à propos des
jugements à venir subsiste.
Il aurait pu endurcir le coeur, mais cette foi-là l’en
empeche et Il la respecte: car Dieu fait grâce aux humbles ,
mais il resiste aux orgueilleux.
le pire des orgueils , c’est l’orgueil spirituel,
dont Lucifer est le type.