Le "suicide" du juge bernard Borrel continue d’alimenter la chronique. Près de douze ans après les faits, bien des interrogations subsistent.
Le magistrat a bel et bien été assassiné. L’homme clé de cette énigme est le président djiboutien Ismael Omar Guelleh …
Le magistrat a certainement été la victime de son acharnement à découvrir les manipulations du président djiboutien. La fameuse affaire du "Café de Paris" reste d’actualité 17 ans après. Un haut lieu de la communauté française qui n’a servi que de paravent à une politique de répression. Le juge Borrel avait-il mis des noms sur ce pseudo-attentat à la grenade ? …
Guélleh enchaina les arrestations massives dans les rangs de ses opposants bien évidemment. Certains moisissent toujours dans les géôles de Djibouti dans les secret le plus total. L’impartialité de Guélleh éclate en plein jour. Répression, tortures, la panoplie parfaite du petit dictateur …
Sans l’entêtement de la veuve de Bernard Borrel cette affaire aurait fini par tomber aux oubliettes. Elle a toujours réfuté la thése du suicide qui se confirme maintenant. Une affaire qui présente bien des similitudes avec un autre grand ‘suicidé" : Robert Boulin …
La raison d’Etat aurait-elle intercédé pour minimiser la participation de Guélleh et de son entourage ? Militairement, Djibouti est un lieu stratégiquement crucial. Une raison qui pourrait être la signification d’un tel imbroglio. Un magistrat est tombé en exercant son métier. La France va-t-elle enfin se décider a prendre les mesures qui s’imposent ? Les assassins courent toujours mais le commanditaire de cette éxécution pavoise …
Justice doit être faite. La veuve de Monsieur Bernard Borrel la réclame depuis bientôt douze ans …
Le prénom du Juge Borrel est Bernard et non Pierre
Je rectifie simplement le prénom du Juge assassiné à Djibouti. Il s’agit de Bernard Borrel et non Pierre Borrel.
ARRETONS DE FANTASMER!
On voit bien quelqu’un qui connaît bien l’affaire borrel! quelques faits :
– M. Borrel était un brillant juge français parachuté bizarrement à djibouti en tant qu’obscur conseiller technique du ministre de la justice pour aider à la rédaction d’un code pénal, enquêter à djibouti n’était pas dans ses prérogatives. car pour enquêter sur quelque affaire que ce soit un juge a toujours besoin des forces de police ainsi que de pouvoirs lui permettant de perquisitionner, de mettre en garde en vue…
– Le gouvernement français devait fermer en 1997 la base militaire de djibouti et c’est sur les pressions de l’armée française que’elle a connu un délai de grâce. toutefois les effectifs ont été largément réduits passants de 6000 hommes à moins de 3000, dont la majeure partie est constituée d’unités tournantes qui ne séjournent que de 3 à six mois à djibouti. donc l’argument de dire que la base militaire est tellement importante pour la france qu’elle ne peut rien faire contre djibouti est fallacieux!
– c’est la raison pour laquelle djibouti a invité les américains à s’installer dans les camps fermés par la france. et c’est parce que les américains se sont installés que soudain le boulet qu’on voulait saborder est devenue un site stratégique à ne jamais quitter.
-et la france qui soudain dans un sentiment de jalousie devant la perte de son « pré carré » orhestre depuis une campagne de calomnie contre djibouti, c’eest étrange non?
– ne pas oublier que mme borrel a elle même accrédité la thèse du suicide pendant deux ans avant de porter plainte pour assasinat.
– enfin assissinat ou suicide, il est clair de voir où est le pouvoir dans cette affaire. d’un côté un lobby constitué par les soutiens de mme borrel qi trustent les médias, en particulier canal et itélé, avec des journalistes-mercenaires recrutés pour l’occasion. avec des témoins providentiels qui pour espèrer avoir la nationalité belge, ou pour au moins ne pas se faire reconduire à la frontière, sont prêts à témoigner qu’ils ont tout vu; et des syndicats de magistrature tout entier acquis à sa cause.
– cela donne à quelques opposants de pacotille le droit de calomnier un peu plus djibouti. je comprends mme borrel qui, elle, voit le jackpot financier,
– enfin ne pas oublier que cette affaire, de la découverte du corps à ce jour, a été dans les mains de la france : gendarmes français pour rédiger le pv lors de la découverte du corps, autopsie par un medecin français dans un hôpital français, instruction de l’affaire par des juges français…alors suicide ou pas, cela reste une affaire franco-française.
– mais bon il est de bon aloi d’accuser le plus faible, djibouti aurait été une monarchie pétrolière prête à acheter des airbus ou des chars par centaines, je pense que cette affaire aurait été autrement plus sereine.
allez voir ailleur
en faite vous savez quoi , ni le president geulleh ,ni aucun menbre du gouvernemt n est coupable dans cette histoire .
donc ils faut que vous sachiez que quelque soit les mesures de la france , djibouti est un etat souverain , independant et va se defendre .
et sacher que nous , la population nous allons defendre notre president jusqu’au dernier et nous vous rassurons que vous allez voir des surprises . donc attention ou vous mettez les pieds .
et nous savons que vous avez essayer de tue le president guelleh dans plusieurs tentatives
donc nous vous attendons avec pied ferme
Djibouti gronde
Deux manifestations ont été organisées dimanche dans le sud de Djibouti à l’appel d’un collectif d’associations pour protester contre l’enquête de la justice française sur la mort d’un juge français il y a 12 ans à Djibouti, ont rapporté les organisateurs et la police.
Elles surviennent au lendemain d’une manifestation qui a rassemblé samedi des milliers de personnes dans la capitale Djibouti.
Environ 3.500 personnes – selon les organisateurs – ont participé à une marche dimanche matin à Ali-Sabieh, principale ville du sud du pays, à une centaine de km au sud-ouest de la capitale.
Les manifestants ont scandé des slogans hostiles à la France, tels que « A bas la justice française! » ou « Halte à la campagne de dénigrement des médias français! », ont rapporté des organisateurs de la marche, joints par l’AFP par téléphone depuis la capitale.
D’autres manifestants brandissaient des pancartes sur lesquelles on pouvait notamment lire: « Le peuple djiboutien a assez subi les dérives de la justice et des médias français ».
Une seconde manifestation a rassemblé environ 4.000 personnes selon les organisateurs (3.500 selon la police) dans la localité d’Arta, chef-lieu de district situé à environ 30 km au sud de la capitale.
Les manifestants se sont notamment rassemblés devant le siège du conseil régional d’Arta.
Le responsable du district d’Arta, Hassan Darar Houffaneh, des membres du conseil régional et plusieurs parlementaires, ont pris part à cette marche, selon les organisateurs.
« Nous sommes là pour exprimer notre soutien à notre président (Ismaël Omar Guelleh, ndlr) et à nos dirigeants qui n’ont rien à se reprocher », a commenté M. Houffaneh.
« Djibouti est un Etat souverain. Nous ne pouvons donc tolérer davantage les agissements scandaleux de la justice française », a-t-il ajouté.
Les deux manifestations étaient terminées en fin de matinée.
Les relations entre la France et la République de Djibouti – ex-colonie française qui abrite la principale base militaire française en Afrique – sont empoisonnées depuis des années par l’affaire de la mort du juge français Bernard Borrel en 1995 à Djibouti.
Djibouti a conclu à un suicide dans cette affaire, mais l’enquête française privilégie la thèse d’un assassinat.
Fin août, le procureur général de Djibouti, Djama Souleiman, et le chef des services secrets, Hassan Saïd, proches du président Guelleh, ont été renvoyés pour la première fois devant la justice française dans ce dossier.
Des mandats d’arrêt internationaux, valant mises en examen, avaient été délivrés le 27 septembre 2006 par la justice française contre ces deux responsables, soupçonnés d’avoir exercé des pressions et des menaces sur deux témoins djiboutiens.
Le collectif organisateur des manifestations de samedi et dimanche – qui regroupe des associations culturelles, sportives ou de jeunes – a en outre appelé le gouvernement djiboutien « à rompre sa coopération culturelle avec la France », dénonçant une « campagne odieuse » de Paris dans l’affaire Borrel.
les vraies cause de l’assassinat du Juge Borrel et des attentats qui ont déstabilisé la paix dans le monde
Comment Madame Borrel, que je connaîs et que j’aime bien, puisse s’attendre que Sarkozy, qui est lui-même accusé pour ses vrais (voir les têtes de Sarkozy et Chiracouille à l’époque
de la révélation de ses comptes) Clearstream, prevenant du plus grave complot de l’histoire, pour lequel son mari a été assassiné ?
Du 1 au 21 oct. 1995, nous avons été ma famille et moi, mis sous contrat d’assassinat par le gouvernement (ce qui nous a été révélé par Laurent Fabius) ; sachant que M. Borrel a été tué le 19 oct. 1995 pour la même raison.
Selon Mme Borrel, dans l’agenda (à cette même date) de son mari, M. Borrel avait noté de sa propre main, qu’il est chargé sur un problème de brevet (d’invention), mais elle fait fausse route en comptant sur Sarkozy qui est noyé dans la corruption provenant de ce complot.
Pour comprendre la vraie cause de l’assassinat du Juge Bernard Borrel, et de plusieurs autres personnes, mais aussi des attentats et des guerres qui ont déstabilisé la paix dans le monde, je vous prie de consulter mes sites suivants, et de voir sur google les thèmes reportés ci-après, et je vous prie d’envoyer à toutes vos relations dans le monde entier les adresses de mes sites, pour faire sauter tous ces criminels qui se croient les maîtres du monde :
N’hésitez pas aussi d’imprimer toutes les pièces officielles qui sont sur mes sites et qui prouvent tous les aspects du complot, et de ses conséquences : assassinats (dont l’assassinat du juge Borrel), attentats successifs (dont ceux des 11 et 21 sep. 2001, 11 mars 2004, etc. etc.), et les deux guerres successives à ce jour, qui ont déstabilisé la paix dans le monde :
googleswiss.com/corruption
googleswiss.com/ferraye
Faire sur Google successivement tous les thèmes suivants :
L’affaire Ferraye
Ferrayé Elf
Ferrayé Leuna
Ferrayé Leuna
Ferrayé Ertoil
Ferrayé Kofi Anan
Ferrayé Boutros Boutros Ghali
Ferrayé Borrel (assassiné le 19 oct. 1995)
Ferrayé Sarkozy
Ferrayé Sirven
Ferrayé Bush
Ferrayé Rumsfeld
Ferrayé Bertossa
Ferrayé Levavasseur (assassiné le 2 mars 2003)
Ferrayé Safra (assassiné en 1999)
Ferrayé Sanchez (assassiné le 15 mai 2001)
Ferrayé Stern (assassiné en 2004)
Ferrayé 11 Bseptembre 2001 (attentat WTC)
Ferrayé 21 septembre 2001 (attentat Toulouse)
Ferrayé Jacques Flury (assassiné en juin 1996)
Ferrayé Hariri (assassiné)
Ferrayé UBS
Ferrayé SBS
Ferrayé Crédit Suisse
Ferrayé Al Sabah
Ferrayé Marie Laforêt (corrompus 200 millions FS)
Ferrayé Helmuth Kohl
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Ferrayé extinction des puits
Ferrayé Koweït
Ferrayé ONU
Ferrayé Irak
Ferrayé Webster (un des fondateur de la CIA)
Ferrayé Bush
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