L’aire de notre planète est de moins en moins respirable. Le niveau de pollution ne cesse d’augmenter et les sources de pollution vont de paires. Depuis un certain nombre d’années, on réalise que notre biosphère est devenue empoisonnée par des gaz dévastateurs appelés :gaz à effet de serre(GES). L’une des causes de cette tragédie est le pourcentage grandissant de dioxyde de carbone dans l’aire. Mais récemment, on s’est rendu compte que cela n’est pas la seule source de détérioration de l’environnement.

Depuis un certain temps, on entend parler, dans les médias, de l’augmentation impressionnante du méthane dans les gaz à effet de serre. Voyez-vous, le méthane aurait apparemment un effet 21 fois plus dévastateur, pour l’environnement, que le dioxyde de carbone. D’où vient ce méthane?

De notre assiette bien sûr. En effet, se sont les animaux comme le bœuf, et le porc, qui produisent d’énormes quantités de CH4. L’origine de ce gaz chez animaux est due à la dégradation des aliments dans leurs intestins. À cet endroit, on peut retrouver une certaine température qui favorise la fermentation des gaz comme le CH4. Ainsi, 15% à 20% des la production mondiale de méthane est due aux animaux.

La viande d’un kilo de veau rejette dans l’atmosphère autant de GES qu’un trajet automobile de 220km; un bœuf, 70km. Mais alors, la solution serait-elle de devenir végétarien? Peut-être pas! En effet, l’Australie nous a informés d’une possibilité éventuelle : manger du kangourou. En effet, le kangourou ne produit quasiment pas de méthane durant son cycle alimentaire.

Le tout serait du à une bactérie présente dans ses intestins qui réduirait la production de CH4. L’animal fut pendant longtemps la principale source de viande du pays, mais il a tranquillement été remplacé par le bœuf. Selon le gouvernement australien, le retour aux vieilles traditions est prévu pour 2020.Voilà donc une solution possible au problème. Suffirait d’exporter du kangourou comme biens d’autres éléments que nous exportons nous-mêmes.