La secrétaire d’Etat Américaine Hillary Clinton effectue en ce début du mois d’Août 2009 à partir du 03 Aout une tournée d’une dizaine de jours dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne, où l’influence de la chine s’est fortement accrue ces dernières années.
L’ancienne First Lady devra trouver un langage juste pour convaincre ses interlocuteurs qu’elle n’est pas venue seulement pour leur faire la morale ou une leçon, trois semaines après l’appel à davantage de responsabilité et moins de corruption lancé par Obama Barack lors de sa visite au Ghana. Il s’agira du plus long périple d’hillary Clinton depuis sa nomination à la tête de la diplomatie américaine en début d’année, et certainement l’un des plus délicats.
Le président Américain en l’occurrence Obama Barack a beau dire que le continent africain constitue l’une des priorités de sa politique étrangère, cette profession de foi laisse sceptique bon nombre de politiciens de la région, qui voient l’énergie et l’argent dépensés par les locataires de la maison blanche dans des gros dossiers tels que la crise économique, l’Afghanistan, l’Irak ou autre du proche Orient. En outre, les chefs d’Etat et de gouvernement du continent d’Afrique attendent plus que des promesses. Ils veulent des engagements précis et en matière d’investissements.
"J’ai vraiment le sentiment, lorsque j’interroge les gens en Afrique, que l’Amérique et l’Afrique se parlent mais ne s’entendent pas", analyse Bronwyn Bruton, du conseil des relation internationales.
"Il existe côté africain une forte demande en investissements, par opposition au développement. C’est vraiment là-dessus que doit porter l’effort de l’Administration du Président Américain, surtout si elle veut concurrencer la Chine", ajout-il.
Peu regardant sur les références démocratiques des pays concernés, Pékin a effectué une percée remarquable en Afrique, en investissant massivement, notamment dans les ressources de pétrole et l’eau, pour étancher la soif énergitique d’une économie en pleine expansion.
Pour Johnnie Carson, le "M.Afrique" du département d’Etat, parler d’une rivalité entre les Etats – Unis et la Chine sur le terrain africain relève d’un "paradigme de la Guerre froide". Mais, ajoute – t – il "J’espère que les Etats – Unis ne cherchent à donner de leçons à personne". "Je pense qu’il est important de respecter les gouvernements africains et leurs dirigeants, de travailler en collaboration pour solutionner les problèmes et les défis auxquels ils sont confrontés", souligne le Secrétaire d’Etat – Adjoint aux Affaires Africaines.
Sur plusieurs des pays choisis par Hillary Clinton, trois (03) à savoir l’Afrique du Sud, le Nigeria et l’Angola figurent parmi les premières puissances économiques du continent Africain.
Hillary Clinton se rendra aussi au Cap Vert, en République Démocratique du Congo (RDC)n Liberia et au Kenya. "Les relation avec ces trois pays ont été vraiment négligées ces dix dernières Années", note la directrice du programme Afrique au Centre d’Etudes Stratégiques et Internationales Cooke Jennifer, Mme Cooke Jennifer. L’Angola notamment, s’est hissé au rang des pays qui comptent en Afrique grâce à son pétrole , et Waschington peut tenter là – bas de contrecarrer la présence grandissante de la Chine. Les Etats – Unis importent 7 pour cent de leur pétrole d’Angola. En Afrique du Sud,
La Secrétaire d’Etat Américaine pourrait accentuer la pression américaine sur les dirigeants de Pretoria au sujet du Zimbabwe, Kansteiner Walter, ancien spécialiste de l’Afrique au sein de l’Administration Bush, juge favorablement la politique africaine du Président Américain, mais estime qu’elle doit faire preuve de plus de fermeté vis – a – vis du gouvernement Sud – Africain. "Je crois que nous (l’Administration Bush) avons trop souvent laissé la bride sur le cou à Pretoria sur le Zimbabwe. (L’Ancien Président Sud – Africain) Mbeki Thabo nous avait dit qu’il allais s’en occuper et n’a rien fait" rappelle – t – il. Les observateurs se posent la question : La Secrétaire d’Etat Américaine va – t – elle arrivé à satisfaire les ambitions du locataire de la Maison Blanche ?
nous-africains il serait temps de penser aux etats unis d’afrique,nous avons la plus grande diaspora en amerique,et le continent est telement vaste,et gorger de richesses,que nous souhaitons,qu’une chose,l’union,il y est des blessures,que l’ont ne peut,absoudre,le pillages a trop durer,BARACK-OBAMA-nous interppellent,a,une responsabilliter africaine,la visite de Mè-CLINTON EST une avancee pour ce qu’est l’afrique sur le plan,strategique,economique,et emergeant,il est temp de parler a egaliter,l’afrique est riche de sa culture,de son sol et de sont peuples dans sa diversite…le message du ghana ne droit pas rester une rhetorique!!!
[b]MedL[/b]
Je vous retrouve avec un article très intéressant car informatif (pour moi)
Malheureusement la politique Internationale, et en particulier les rapports entre les États-Unis et l’Afrique, à part vous ire pour être informée, je ne serai pas en mesure de vous commenter!
J’espère que des confrères plus à même de juger cette Politique viendront sous votre article!
Des nouvelles d’Afrique sont toujours les bienvenues
Cordialement MedL
Sophy
Je vote bien sûr
[img]http://www1.bestgraph.com/gifs/animaux/abeilles/abeilles-02.gif[/img] Bonjour Medl,
Je vous souhaite la Bienvenue sur le site de C4N.
J’ai eu plaisir à lire votre article. Et si je ne peut débattre sur le sujet, il me semble que l’Afrique ce grand continent qui possède de nombreuses ressources (mines, pétrole, gaz), est gêné dans son développement par les conflits.
Un vote Super.
Amicalement.
ANDREA.