D'année en année, le progrès technologique s'améliore constamment. Que ce soit pour les sports, l'automobile, la médecine et l'informatique, en l'espace de quelques jours seulement, il y a de la nouveauté. Ce progrès est plus souvent qu'autrement positif pour les gens qui l'utilisent. J'en ai vécu une expérience personnelle lorsque j'ai fait corriger ma vision à l'aide de la dernière technologie possible


Dans la médecine visuelle, il y a deux technique qui permettre de corriger la vue des patients. Il s'agit de la technique de surface (P.R.K.) et la technique L.A.S.I.K. qui possède deux options. La technique de surface, qui est la plus risquée, est que, à l'aide d'un scalpel, il faut enlever une couche de la cornée et ensuite appliquer le laser afin d'amincir une partie de la cornée, le stroma. Pour la technique L.A.S.I.K. , il s'agit de couper une fine lamelle de la cornée avec une lame d'acier et d'appliquer ensuite le laser qui corrige la vue. La deuxième option du L.A.S.I.K. est d'utiliser un laser pour couper la cornée à la place d'une lame. C'est pourquoi cette technique est la plus sécuritaire. Portant des lunettes depuis l'âge de 4 ans, j'ai toujours dit que j'allais un jour me faire opérer. Par contre, il était impossible dû à la forme de mon œil de me faire opéré jusqu'à ce que la dernière technologie, n'utilisant aucune lame dans mon œil. Grâce à l'avancement de la technologie, j'ai pu le faire au moment approprié. Au lendemain de cette opération, tout va bien. J'aimerais encourager ceux qui ont peur et leur dire que la possibilité d'échec est mince, sinon nulle avec la dernière technologie. Les coûts sont élevés, mais sa vaut la peine. Parlant d'argent, je crois que cette chirurgie devrait être couverte par les assurances. À force de payer des lunettes à chaque deux an, au coût de 500 $ et plus la paire, ils devraient assurer la chirurgie. Pour terminer, l'avancée de la technologie change le bien-être du quotidien de ceux qui en font usage. Il ne faut donc pas continuer de mettre de l'argent dans les recherches.  Sébastien Bergeron