Lorsque les vétérans des derniers conflits armés choisirent le slogan «  Jamais plus la guerre », ils croyaient fermement que les hommes, témoins des affrontements sanglants du siècle dernier, travailleraient désormais à bâtir un monde où tous vivent en harmonie. Loin de prôner l’entente entre les peuples, certains dirigeants entraînent leur pays en guerre prétendant défendre la démocratie.

Les habitants de ces contrées assiégées se rebellent subséquemment contre ce peuple qui s’ingère dans la politique de leur pays. Certains soldats qui prirent part à ces assauts meurtriers tiennent aujourd’hui des conférences auprès de la nouvelle génération afin de perpétuer le souvenir de ces atrocités. Ces gestes insensés risquent de se reproduire si l’on n’instruit pas les jeunes de ces évènements dont la gravité mérite une dénonciation sur la place publique.

Advenant la détérioration des relations au niveau international, les gens au fait de ces tueries s’insurgeront contre leurs dirigeants trop enclins à déclarer la guerre avant même d’envisager d’autres solutions pacifiques. Ils réclameront des chefs d’état l’emprunt de la voie de la négociation dans leurs échanges avec d’autres nations afin que ceux-ci tentent de régler les mésententes autrement que par la voie guerrière.

 

Les jeunes désireront vivre en paix, et éliront des représentants partageant leurs convictions. Plus d’un chanteur populariseront des airs pacifiques comme le fit John Lennon  avec son célèbre «  Give peace a chance » et inciteront les gens par des musiques telle que «  La paix sur terre » de Jean Ferrat, à s’unir pour clamer qu’ils ne veulent plus de guerre, qu’ils ne veulent plus de sang.