Les enseignants tunisiens du secondaire ont entamé aujourd’hui une grève de deux jours pour dénoncer la précarité de l’emploi et exiger la réintégration de trois de leurs collègues arbitrairement licenciés, selon eux, a-t-on appris de sources syndicales.

A l’appel de leur syndicat, les enseignants entendent exiger la réintégration de trois de leurs confères « licenciés arbitrairement » et l’annulation de « mutations disciplinaires » qui ont concerné une centaine d’autres, selon un communiqué du syndicat.

Les grévistes demandent une révision des modes de recrutement pour mettre fin à la « précarité de l’emploi et aux atteintes aux libertés syndicales », selon leur syndicat.

Au premier jour, la grève a été suivie à plus de 68% en moyenne des effectifs estimés à 70.000 enseignants, a indiqué Frej Chebbah, dirigeant du syndicat. (AFP –  16 janvier 2008)

Les enseignants tunisiens du secondaire ont entamé aujourd’hui une grève de deux jours pour dénoncer la précarité de l’emploi et exiger la réintégration de trois de leurs collègues arbitrairement licenciés, selon eux, a-t-on appris de sources syndicales.

A l’appel de leur syndicat, les enseignants entendent exiger la réintégration de trois de leurs confères « licenciés arbitrairement » et l’annulation de « mutations disciplinaires » qui ont concerné une centaine d’autres, selon un communiqué du syndicat.

Les grévistes demandent une révision des modes de recrutement pour mettre fin à la « précarité de l’emploi et aux atteintes aux libertés syndicales », selon leur syndicat.

Au premier jour, la grève a été suivie à plus de 68% en moyenne des effectifs estimés à 70.000 enseignants, a indiqué Frej Chebbah, dirigeant du syndicat. (AFP –  16 janvier 2008)

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