Nul ne peut nier les problèmes auxquels est confronté notre beau pays, la France.

Nous sommes toujours enclin à donner des leçons par ci, par là. Mais une chose est sûr, nous ne sommes pas capables de faire une profonde analyse pragmatique de la situation de notre pays. Nicolas Sarkozy avec ses discours, toujours ses discours et quelques lois pas du tout structurelles que nous attendons toujours.


Joaquin Almunia, Commissaire européen en charge des affaires économiques et monétaires lâche un laconique : « One can’t explain France’s trade deficit vis-à-vis Germany in terms of the exchange rate… ». Loin de faire l’apologie de l’Euro fort, Monsieur Almunia jette plutôt un regard critique sur la santé économique de notre pays, et de nous renvoyer à nos contradictions. A savoir, la recherche dans l’Europe et le Monde les causes de nos problèmes.

Au lieu de s'ouvrir au monde, tout ce que nous faisons en France, vise à nous renformer dans notre cocon. Au nom d'intérêts personnelles, nos politiciens oublient que les vestes, les chemises, les cravates et même les belles chaussures qu'ils affectionnent, sont pour la plupart fabriqué hors de France.

La france est doté d'une incapacité de se doter d’un tissu économique performant, composé de grands groupes dans des secteurs stratégiques couplés à une base de PME dynamiques et orientées à l’exportation.

A l’inverse, l’Allemagne, historiquement, a su créer cet environnement pour devenir, actuellement, le grand gagnant de la mondialisation commerciale (avec la Chine).

Au lieu de se plaindre de l'euro, notre objectif devait être de voir les choses avec un nouvel oeil, respecter les étrangers car le monde moderne est un mélange de mondialisation, d'ahcnages, de dialogue.

L'élection de Nicolas Sarkozy avait jadis donné de l'espoir mais, force est de constater que ce n'était qu'illusion. Ok pour les 10 milliards d'impôts et, la moralisation des échanges commerciaux, des activités financières ?

Bref, dans cinq ans, j'invite quiconque à venir me dire le contraire. je vois la France descendre d'un ou de plusieurs rangs. j'espère qu'on arrivera à rester dans le top 10 des grandes puissances.

A bon entendeur…