du front populaire à la seconde guerre mondiale.
On ne peut détacher la Franc-maçonnerie de l'histoire puisqu'elle est cultivée dans les obédiences par les échanges sur les évolutions politiques et sociales, elle est le reflet des tendances cléricales, libérales ou gauchisantes.
Du 19 au 23 octobre 1921 se tient à Genève un congrès maçonnique international. La Grande Loge de France et Le Grand Orient de France signent ensembles la déclaration des principes du Congrès Maçonnique International de Genève. Cette déclaration est la suivante :
«La Franc-maçonnerie, institution traditionnelle philosophique et progressive, basée sur l'acceptation du principe que tous les hommes sur terre sont frères, a pour but la recherche de la vérité, l'étude et la pratique de la morale et de la solidarité. Elle travaille à l'amélioration matérielle et morale ainsi qu'au perfectionnement intellectuel et social de l'humanité. Elle a pour principes la tolérance mutuelle, le respect des autres et de soi-même, la liberté de conscience. Elle a pour devoir d'étendre à tous les membres de l'humanité les liens fraternels qui unissent les franc-maçons sur toute la surface du globe. La Franc-maçonnerie considérant le travail comme un devoir de l'homme, honore également le travail manuel et le travail intellectuel. Elle forme donc une association d'hommes probes libres et dévoués, qui, liés par des sentiments de liberté, d'égalité, et de fraternité, travaillent individuellement et en commun au progrès social, exerçant ainsi la bienfaisance dans le sens le plus élevé».
On ne peut qu'être d'accord avec cette déclaration, mais pourquoi tant de mystère sur ce qui se passe dans les Obédiences ? Pourquoi faut-il le secret des réunions, pourquoi faut-il être initié, autant de questions qui montrent qu'elle n'est pas devenue majeure. S'entourer de secret s'est donner des arguments à ceux qui sont contre et toutes déclarations si solennelles soient-elles ne changeront rien quand au fait qu'elle est accusée de secte même si elle œuvre pour le bien de l'humanité, ce qu'elle prétend.
La montée des périls fascistes concrétisés par les émeutes du 06 février 1934 en suite à l'Affaire Staviski, est pour la gauche l'occasion de vives réactions qui se traduisent aussi bien par une recherche de l’union des socialistes et des communistes, que par de nouveaux espoirs.
D’abord, les années 1934 et 1935 sont pour les communistes les années de la réintégration dans la collectivité nationale, mais aussi de l’antifascisme (Comité de vigilance des intellectuels antifascistes ou CVIA). En effet, les émeutes du 6 février, mais aussi la montée de l’extrême droite en France poussent les communistes à signer un pacte d’unité d’action avec les socialistes en juillet 1935. En 1935 également, la CGTU ( Confédération Générale du Travail Unitaire), qui avait fait scission avec la CGT peu après le congrès de Tours, est réintégrée à la CGT.
En 1935 s’effacent alors quelques uns des dommages créés par la scission de décembre 1920. On assiste donc à un rapprochement des socialistes et des communistes, mais qui ne se justifie pas seulement, pour les communistes en tous cas, par la menace de l’extrême droite. En effet, il y a, à partir de 1933 et 1934, un changement de la ligne politique de la IIIe Internationale, face à l’arrivée d'Hitler au pouvoir, mais aussi face à celle de Mussolini. Le parti communiste doit alors sortir de son isolement et de la logique de révolution, afin de rallier à lui le plus de sympathisants possible, et barrer la route aux mouvements d’extrême droite. Servi par la crise de 1929, qui touche la France à partir de 1931 et 1932, le PCF se fait le défenseur des «petites gens», victimes de la crise et de la paupérisation ambiante.
De plus, Thorez [1], premier secrétaire du PCF, opère un tournant nationaliste, et exalte désormais la Marseillaise. Désormais, socialistes et communistes marchent ensembles. Mais ce rapprochement se vit essentiellement au niveau des dirigeants de la gauche. Les militants, eux, se trouvent solidaires les uns des autres, socialistes, communistes, trotskistes ou anarchistes, face à la matérialisation de la lutte contre le fascisme, et la guerre d'Espagne.
Des sympathisants de toutes les mouvances de gauche, des sociaux-démocrates aux anarchistes, rejoignent les rangs des milices du POUM (le Parti Ouvrier d'Unification Marxiste organisation révolutionnaire Espagnole créée en1935, dissoute en 1937 qui a qui a participé à la guerre d'Espagne contre Franco), de la CNT (Confédération Nationale du Travail organisation anarcho-syndicaliste fondée en 1910, qui devient le principal syndicat ouvrier Espagnol) ou plus tard des Brigades internationales. La guerre civile espagnole a de lourdes conséquences psychologiques sur les militants, qui prennent alors conscience des dangers réels du fascisme, mais aussi de l’espoir que suscite une possible victoire. Espoir au sud des Pyrénées, mais aussi au nord, avec la victoire du Front Populaire.
Les élections législatives de 1936 voient la victoire du Front populaire et débouchent sur le premier gouvernement à dominante socialiste de la IIIe République. Léon Blum [2] nommé par le président de la république Albert Lebrun [3] le 01 juin 1936 devient président du Conseil. Le gouvernement est composé seulement de socialistes et de radicaux, les communistes le soutenant de l'extérieur. Ce gouvernement de Front populaire est également le premier à comprendre des femmes, alors qu'à cette époque elles ne peuvent pas encore voter en France. Plusieurs personnalités sont issues du socialisme municipal. Il comprend des francs-maçons comme Paul Ramadier [4], Camille Chautemps [5], Maurice Violette [6], Jean Zay [7].
Le Front populaire entre en fonction en succédant à celui de Laval [8] et doit faire face à une grève spontanée qui a commencé avant la formation du gouvernement. Cette grève s'étale de mai à juin1936. Elle démarre dans les usines d'aviation du Havre. Le 11 mai, 600 ouvriers et 250 employés des usines Breguet arrêtent le travail pour demander la réintégration de deux militants licenciés pour avoir fait grève le 1er mai. L’usine est occupée et les tentatives de la police de déloger les grévistes échouent, les dockers se solidarisant des grévistes. En deux jours, ces derniers obtiennent satisfaction. Le 13 mai, c'est au tour des usines Latécoère, à Toulouse, puis le 14 à celles de Bloch, à Courbevoie, d'être occupées. Le 24 mai le rassemblement en souvenir de la Commune de Paris rassemble 600 000 participants, brandissant des drapeaux rouges et chantant des hymnes révolutionnaires. Le lendemain, de nombreuses grèves débutent en région parisienne, elles obtiennent généralement rapidement satisfaction.
Pour la première fois également les entreprises sont occupées par les grévistes, qui organisent des comités de grève. On compte 12 000 grèves, dont 9 000 avec occupation, entraînant environ 2 millions de grévistes, des bals populaires sont donnés dans les usines et les Grands magasins ce qui fait dire à Simone Veil, (que l'on ne présente plus), que ce sont de véritables grèves de la joie, mais elles témoignent de la situation économique de la France de 1936.
Les accords de Matignon [9] entre le gouvernement, le patronat, et les syndicats dont la CGT, et le PCF engage tout son poids pour que les grévistes retournent le plus vite possible au travail. Ces accords sont annoncés par Roger Salengro [10] ministre de l'intérieur du Front populaire du gouvernement de Léon Blum. Cet engagement, resté célèbre par la phrase de Maurice Thorez «il faut savoir terminer une grève», traduit une volonté d’apaisement du climat social en France de la part de tous les dirigeants de la gauche, communistes compris
[1] Thorez.
Maurice Thorez, né à Noyelles-Godault, Pas-de-Calais, le 28 avril 1900 et décédé en mer Noire, le 11 juillet 1964, a été secrétaire général du PCF de 1930 à 1964, ministre de la fonction publique de 1945 à 1947 et vice-président du conseil en 1947.
L'irrésistible ascension d'un jeune ouvrier communiste de 1924 à 1930.
Timbre soviétique à l'effigie de Maurice Thorès en 1965.
Au sein du jeune parti communiste, secrétaire à la propagande de son département en janvier 1923, il devient permanent au printemps de la même année. Il fait partie de ces jeunes ouvriers que le parti voudrait former et promouvoir à des postes de responsabilité. Après plusieurs voyages à Moscou pour suivre des cours de Marxisme, Maurice Thorez impressionne également les militants du Pas-de-Calais qui le délègue au congrès national de Lyon, en janvier 1924 où il est élu suppléant du Comité directeur.
En février 1926, au 6e plénum de l'Internationale, à Moscou, il obtient la confiance de Staline, Thorez est confirmé au bureau politique, parmi 12 autres membres dont le secrétaire en titre, Pierre Sémard. Thorez, qui reste secrétaire à l'organisation est naturellement l'un des hommes forts de cette équipe. Le 22 avril 1927, le ministre de l'Intérieur avait annoncé à Alger «le communisme voilà l'ennemi». Thorez avait déjà été condamné à des amendes à cause de son action contre la guerre du Maroc. Le 30 juillet, des inspecteurs de police essaient de l'interpeler devant le siège du PC, rue Lafayette, mais il réussit à s'enfuir et passe dans la clandestinité. En 1928, Maurice Thorez est l'un des principaux dirigeants du Parti communiste, il souhaite s'ancrer dans une circonscription et son choix se porte sur Ivry-sur-Seine, une commune de la banlieue rouge, où il se présente comme député, mais sans pouvoir faire campagne, car il est toujours clandestin. Son résultat est honorable, mais il est battu, comme la plupart des candidats communistes qui paient ainsi l'isolement qui résulte de la ligne «classe contre classe».
L'équipe dirigeante communiste, jeune, issue de la classe ouvrière, est formée de révolutionnaires professionnels, bénéficiant d'une solide expérience des affrontements avec la police, de la clandestinité, mais sachant également jouer des moyens légaux, par exemple les mandats de députés pour bénéficier de l'immunité parlementaire. Ces dirigeants sélectionnés avec «clairvoyance» extrêmement brillants au départ, ont reçu en outre une solide formation théorique au gré de leurs passages à Moscou.
L'annonce du Pacte germano-soviétique, le 23 août 1939, et la déclaration de guerre, le 3 septembre, vont complètement bouleverser la situation du parti communiste. Il semble que Thorez, en vacances dans les Alpes, n'ait pas été mis au courant de la signature du pacte. À Paris, l’Humanité est saisie dès le 25 août 1939. Le 1er septembre, le groupe parlementaire communiste réuni sous la présidence de Thorez décide de voter les crédits de guerre pour réagir à l'agression Allemande contre la Pologne. Le 3 septembre 1939, Thorez répond à l'ordre de mobilisation et rejoint son régiment à Arras. Les hommes étaient en effet mobilisables jusqu'à quarante ans
.
[2] Léon Blum.
Léon Blum (9 avril 1872 – 30 mars 1950) est un homme politique socialiste. Il fut l'un des dirigeants de la Section Française de l'Internationale Ouvrière, SFIO, et président du conseil, c'est-à-dire chef du gouvernement Français, à trois reprises, en 1936-1937, en 1938 et en 1946. Il a marqué l'histoire politique Française pour avoir refusé l'adhésion à la IIIe Internationale communiste en 1920, et pour avoir été le président du Conseil du Front populaire en 1936.
Il a refusé d'aider militairement les républicains Espagnols, pendant la guerre civile en Espagne, ce qui a entraîné le retrait des communistes du Front Populaire qui était composé à la base du Parti communiste, de la SFIO, des radicaux et de Divers gauche. En juin 1937, Léon Blum démissionne du poste de président du conseil. Ses réformes auront représenté de grandes avancées sociales (congés payés, semaine de 40 heures, établissement des Conventions collectives, femmes au gouvernement, (elles n'avaient pas le droit de vote).
Élève du lycée Henri-IV, il y rencontre l'écrivain André Gide et publie ses premiers poèmes à l'âge de 17 ans dans un journal créé avec celui-ci. Il est admis en 1890 à l'École normale supérieure. Mais, il se désintéresse des cours et est exclu de Normale Sup à la fin de sa première année, ayant échoué à l'examen de la licence un échec entraînait alors l'exclusion de l'École.
Il hésite alors entre le droit et la littérature, et entreprend finalement les deux à l'université de Paris, en visant une carrière de fonctionnaire. Il fut licencié ès lettres en 1891 et en droit en 1894. Léon Blum est reçu à sa deuxième présentation du concours du Conseil d'État à l'âge de 23 ans et nommé auditeur au Conseil d'État en décembre 1895. Il y fera une brillante carrière de près de 25 ans, seulement interrompue par ses fonctions de chef de cabinet de Marcel Sembat, ministre socialiste des Travaux publics en 1916 dans le Cabinet Viviani. Il respectait la religion juive de ses pères, il se sentait juif et Français car il pensait que l'un n'empêchait pas l'autre, et, par la suite, s'engagea dans beaucoup de mouvements sionistes après la guerre.
Léon Blum se lance réellement en politique durant l'affaire Dreyfus de 1894 à 1906, y jouant un rôle actif dans la coordination des «intellectuels». Dès lors, son action militante à la SFIO commence vraiment. C'est en compagnie de Jaurès qu'il participe à la fondation de L'Humanité en 1904. Dans la guerre d'Espagne, Léon Blum fut empêché d'intervenir ouvertement par l'opposition des radicaux et du Royaume-Uni, principal allié de la France. Il dut choisir, contre l'avis des communistes, la non-intervention.
On peut noter que les rapports avec l'Italie furent beaucoup plus difficiles qu'avec l'Allemagne. Sur le plan intérieur, le gouvernement Blum parvint à résoudre la crise sociale. Mais dès l'été 1936, il dut faire face à diverses difficultés, parmi lesquelles la dévaluation du franc à cause de la situation monétaire et la politique financière en général, qui transformèrent l'inquiétude de la droite en opposition résolue.
Lors de la signature des accords de Munich, fin septembre 1938, Léon Blum n'exerçait aucune fonction gouvernementale. Il était président du groupe SFIO à la chambre des Députés et principal éditorialiste du journal Le Populaire. Son attitude a longtemps été controversée, il est tantôt qualifié de munichois, tantôt d'antimunichois. Il apparaît aujourd'hui comme acquis qu'étant intimement opposé aux accords. Néanmoins, peu de temps après, il se ravise et plus rien n'entravera ses positions de fermeté face aux fascismes, et dans la poursuite de son combat pour le réarmement de la France, au prix de la division de son propre parti.
A la Seconde Guerre mondiale Blum condamna l'attitude du PCF face au pacte germano-soviétique, attitude qui provoqua le départ d'un certain nombre de communistes qui se tournèrent vers la SFIO, avec l'aval de Léon Blum, mais contre l'avis d'autres socialistes. Léon Blum se mit aussi à dos une partie des socialistes en particulier à cause de ses positions non pacifistes.
Durant le vote des pleins pouvoirs au maréchal Pétain 10 juillet 1940, Léon Blum fit partie des quatre-vingts parlementaires de l'Assemblée nationale qui votèrent contre. À ce moment, une partie des dirigeants de la SFIO était déjà en Angleterre.
[3] Albert Lebrun.
Albert Lebrun, né le 29 août 1871 à Mercy-le-Haut (Meurthe-et-Moselle) et mort le 6 mars 1950 à Paris (XVIe), est un homme d'État et président de la République Française, c'est un monument de la troisième République.
Le président Albert Lebrun dans la cour de la Sorbonne à l'occasion de l'Exposition de 1937.
Brillant élève, il récolte de nombreux prix et entre à l'École polytechnique (Promotion X 1890), dont il sort premier, avant d'entrer au corps des Mines et de sortir également premier de l'École des mines en 1896.
Membre de l'Alliance républicaine démocratique, souvent classé à tort comme appartenant à la gauche démocratique, Albert Lebrun est un modéré du centre puis de droite, ouvert aux revendications sociales mais inquiet des menées révolutionnaires. Catholique pratiquant, il vote contre la loi sur les associations de 1901, mais pour la loi de séparation de l'Église et de l'État, et s'oppose à ses mesures les plus répressives.
Le 10 mai 1932, après l'assassinat de Paul Doumer, il est élu président de la République, et réélu le 5 avril 1939. En 1936, opposé au Front populaire, il accepte néanmoins, après avoir tenté de l'éviter, de nommer le chef de la majorité, Léon Blum, à la présidence du Conseil et signe «la mort dans l'âme», comme il le dit, les grands textes de cette majorité politique, sans se priver régulièrement de faire des remontrances au Gouvernement et à ses ministres sur la politique conduite.
En mai 1940, avec Paul Reynaud, il est partisan du départ pour l'Afrique du Nord et est opposé à l'armistice. Il est cependant conduit, devant le courant majoritaire, à appeler le maréchal Pétain à la présidence du Conseil et le met en garde, en vain, contre l'influence néfaste de Pierre Laval.
Il refuse de démissionner, obligeant ainsi Pétain à le contourner par le vote des pleins pouvoirs, qui l'écarte de fait du pouvoir. Il se retire alors à Vizille (Isère) chez son gendre, Jean Freysselinard. Placé en résidence surveillée par les Italiens, ces derniers, au moment de quitter la région, lui conseillent sans succès de partir car les Allemands vont venir les remplacer. Contacté par la Résistance pour une exfiltration en Algérie, peut-être parce que Roosevelt voulait le remettre en fonction comme président pour écarter le général de Gaulle qu'il n'aimait pas, Lebrun refusa. Mais Hitler préféra le faire enlever par la Gestapo avec André François-Poncet, envoyé en Autriche de septembre à octobre 1943, il y retrouve de nombreux hommes politiques également pris en otage.
Lorsque sa santé se dégrade, il est renvoyé en France. Le mandat de président de la République d'Albert Lebrun finissait le 5 avril 1946. Le général de Gaulle le reçoit le 13 octobre 1944. D'après le récit que de Gaulle en fait dans ses Mémoires de guerre, durant l'entrevue, le président Lebrun lui indique son approbation,
«J'ai toujours été, je suis en plein accord avec ce que vous faites. Sans vous, tout était perdu. Grâce à vous tout peut être sauvé. Personnellement, je ne saurais me manifester d'aucune manière, sauf toutefois par cette visite que je vous prie de faire publier. Il est vrai que, formellement, je n'ai jamais donné ma démission. À qui d'ailleurs, l'aurais-je remise, puisqu'il n'existait plus d'assemblée nationale qualifiée pour me remplacer ? Mais je tiens à vous attester que je vous suis tout acquis.»
Suit un échange de points de vues sur les évènements de 1940 au cours duquel le président formule ses profonds regrets d'avoir nommé le maréchal Pétain président du Conseil, le 16 juin, à la suite de la démission de Reynaud, indiquant que ce qui avait emporté sa décision (comme celle et de la majorité du Conseil des ministres) fut la position catégorique de Weygand concernant la demande d'armistice, alors que de son point de vue et de celui de quelques autres (Reynaud, Jeanneney, Herriot, Mandel et de Gaulle) la poursuite de la lutte aurait été possible depuis l'Afrique du Nord et l'Empire. Il déclare à ce sujet,
«Ah ! quel malheur quand, dans l'extrême péril, ce sont les généraux qui se refusent à combattre !».
Le général prend congé en remerciant le président Lebrun. Il commente cet entretien ainsi, « Au fond, comme chef de l'État, deux choses lui avaient manqué, qu'il fût un chef, qu'il y eût un État».
Cette dernière citation est à replacer dans le contexte des institutions de la Troisième République, le président de la République n'avait alors qu'un pouvoir limité, le pouvoir exécutif étant détenu par le président du Conseil, et dans celui de la période d'effondrement de l'État, de juin 1940, ainsi de ce que l'on sait de la politique du général de Gaulle concernant les pouvoirs présidentiels et les institutions de la République. Il est témoin au procès de Pétain (23 juillet-15 août 1945).
La suite au dossier 12, La Franc-maconnerie sur les autres personnalités du Front populaire, et les accords de Matignon.
Au vu de l’histoire, les francs-maçons ont raison de s’entourer de discrétion quant à l’appartenance de tel ou tel… quant à se dévoiler eux-mêmes rien ne leur l’interdit. Ce que vous appelez le « mystère sur ce qui se passe dans les Obédiences » et « le secret des réunions » se trouve sur tous les rayons de la FNAC, il suffit de se déplacer ! Que la FM n’adhère pas au « politiquement correct » du « tout transparent », « du télé réalité » etc, etc… je l’en félicite ! elle montre par là sa grande maturité. D’ailleurs qui s’indigne lorsque les délibérations des Conseils d’Administration d’actionnaires du CAC40 sont tenus secrets ? que les journalistes y sont tenus à la porte. Qui les qualifie de sectes ? Qui s’indigne de ne pouvoir pénétrer comme dans un moulin dans les monastères chrétiens ou bouddhistes ? etc… etc… nous pourrions multiplier les exemples qui font que les francs- maçons ont raison de rester discrets… ont raison de ne pas tenir compte du « chien qui aboie » tout en continuant leur chemin. Que ceux qui l’accusent de secte continuent… Ils en ont le droit et cela continuera encore de faire sourire les francs-maçons. En sachant que « le Sage s’éloigne de la bêtise non par haine mais par dignité ».
elle œuvre pour le bien de l’humanité, ce qu’elle prétend.
ELLE LE PRETEND …
MAIS EN REALITE DERRIERE LE VOILE DE LA BIENFAISANCE,
IL S’AGIT D’UNE PRISE DE POSSESSION OCCULTE DU POUVOIR…
D’UN GROUPEMENT D’INTERET …ET PAS SEULEMENT EN FRANCE
il serait completement idiot de croire à la bonté générale
de cette organisation . Comment croire en effet que la franc-maçonnerie
c’est comme la Croix-Rouge ou l’Armée du Salut ?!!!!!!!
Pq tant de mystères? La réponse et simple parce que les francs-maçons ont été régulièrement persécutés……….(cf la seconde guerre mondiale….)Pq devraient-ils se mettre la corde au cou…….
Cela me semble assez élémentaire….
>:( >:( >:(
EFFECTIVEMENT , IL VAUT MIEUX METTRE LA CORDE AU COU AUX AUTRES ET LES FAIRE MARCHER
A VOLONTE EN FAISANT CROIRE QU’ON EST MAGNANIME !!!!piège diabolique !
A propos Torquemada n’était pas franc-maçon mais un chrétien pur jus…..
Bravo, Anido, pour ce 12ème chapitre consacré à la Franc-maçonnerie…
Je sais, [i]voir ton chapitre 11[/i], que la [b]Cagoule [/b]n’étant pas une obédience de la [b]Franc-maçonnerie[/b], était une structure fasciste et criminelle, qui, dès le départ, à lutté aussi bien contre les [b]Juifs [/b]que contre les [b]Franc-maçons[/b], les [b]Communistes[/b] et les adversaires du [b]Fascisme[/b] ! Mais, je suis assez étonné que tu n’en parles pas, d’autant que la [b]Cagoule[/b] a fait parler d’elle pendant cette période allant de 1930 à 1939, et, d’autant que certains [b]Cagoulards[/b], choisirent la Résistance, et, que d’autres, dont[b] Eugène Deloncle[/b], choisirent, [i]continuant leur répression contre tous les membres de la [b]Franc-maçonnerie[/b][/i], la [b]Collaboration[/b] auprès du [b]Maréchal Philippe Pétain[/b] et auprès de [b]Pierre Laval[/b] !
Au fait, j’aimerais te recommander,[i] si tu ne l’as pas lu[/i], et recommander à tous tes lecteurs/commentateurs, la lecture de ce livre de [b]Dominique Wenner[/b] : [i]« Histoire de la Collaboration »[/i], publié en 2000 par les [b]Éditions Pygmalion/Gérard Watelet[/b]… Il raconte les origines du déclenchement de la [b]IIème Guerre Mondiale[/b] et de l’occupation de notre Pays par l’Allemagne Nazie…
Avec toute mon amitié,
[b]Dominique[/b]
Torquemada n’était pas chrétien , c’était le premier Grand Inquisiteur de l’Inquisition espagnole :
n’essayez pas de nous faire prendre des vessies pour des lanternes , Diabolicus !!!!!
Comme quoi la quête de la puissance est très bien partagée et on sait qui est derrière :
Le cornu !
Bravo, [b]Anido[/b], pour ce 12ème chapitre consacré à la Franc-maçonnerie…
Je sais, [i]voir ton chapitre 11[/i], que la [b]Cagoule[/b] était une structure [b]fasciste [/b]et criminelle, qui, dès le départ, à lutté aussi bien contre les [b]Juifs [/b]que contre les [b]Franc-maçons[/b], les [b]Communistes[/b] et les adversaires du [b]Fascisme[/b] ! Mais, je suis assez étonné que tu n’en parles pas, d’autant que la [b]Cagoule [/b]a fait parler d’elle pendant cette période allant de 1930 à 1939, et, d’autant que certains [b]Cagoulards[/b], choisirent la Résistance, et, que d’autres, dont [b]Eugène Deloncle[/b], choisirent, continuant leur répression contre tous les membres de la [b]Franc-maçonnerie[/b], la [b]Collaboration [/b]auprès du [b]Maréchal Philippe Pétain[/b] et auprès de [b]Pierre Laval[/b] !
Au fait, j’aimerais te recommander, [i]si tu ne l’as pas lu[/i], et recommander à tous tes lecteurs/commentateurs, la lecture du livre de [b]Dominique Wenner[/b] : [i][b]« Histoire de la Collaboration »[/b][/i], [u]publié en 2000[/u] par les [b]Éditions Pygmalion/Gérard Watelet[/b]… Il raconte les origines du déclenchement de la [b]IIème Guerre Mondiale[/b] et de l’occupation de notre Pays par l’Allemagne Nazie…
Avec toute mon amitié,
[b]Dominique[/b]
Torquemada était un moine dominicain,il était donc bien ……un chrétien.
Veritas en plus de vos autres qualités(sic)vous êtes un menteur…..
[b]Bonjour à tous[/b],
Merci de poster vos commentaires, j’ai peu de temps pour y répondre puisque j’écris et je publie, l’article suivant est d’ailleurs en ligne, [u][b]le dossier 12.[/b][/u]
[b]Dominique[/b]
tu me dis bravo [b]c’est très gentil[/b], mais que dois-je te dire [b]toi[/b], avec un seul article tu fait mieux que moi en [b]11 articles[/b]. Tu as [b]32 votes[/b] et moi à peine [b]7 à chaque article[/b] quand au nombre de commentaires, [b]je n’ose pas comparer[/b].
[u][b]Alors bravo, mille fois bravo Dominique [/b][/u]
[u]Tout cela, ne me paraît pas sérieux ![/u]
La Cagoule comme je te l’ai écrit je ne l’ai pas prise en compte, j’ai bien assez de travail avec ces dossiers d’autant que je n’ai pas terminé. Elle n’apportera rien de plus à ce que j’écris, et si certains veulent avoir des infos, je pense qu’ils sont assez grand pour les trouver.
[b]TRIPLEBUSE[/b],
Rien n’empêche d’écrire sur la Franc-maçonnerie, je le fais en tant que profane. Il est certain que le secret dans les obédiences n’est peut être plus ce qu’il était, il n’en reste pas moins vrai que n’est divulgué que ce qui a peu d’importance et ne compromet pas le secret des conversations.
Ce que je fais est autre chose, c’est une recherche sur la toile qui se veut multiformes et ce que je publie est le résultat de cette recherche avec mon analyse. Cela vaut ce que l’on veut bien lui accorder, mais c’est vu sous un autre angle que celui écrit dans un ou des livres.
Pour ce qui concerne le secret, reportez-vous à mon préambule, vous prenez le train en marche, cette étude sue la Franc-maçonnerie forme un tout, et prendre un article sans voir les autres est une faute. Dans un livre vous le lisez du départ à sa fin faite donc de même avec ces dossiers.
C’est vrai que le secret est partout mais, il se trouve que pour cette Franc-maçonnerie, il ne soit pas accepté par tous, pourquoi par ce qu’elle a de tout temps cultivé le secret, ce qui n’est pas le cas des exemples que vous citez.
[b]Veritas[/b],
Personne en effet ne peut croire que la Franc-maçonnerie est une œuvre de bienfaisance, c’est un lieu ou des lieux d’échanges d’idées sans plus. Il n’en reste pas moins vrai que beaucoup d’avancées sociales ont germées en Maçonnerie, et dans ce cadre, elle est utile.
Il ne faut pas non plus croire que tout est parfait, on doit y trouver les mêmes proportions de faux personnages, de pédants, de prétentieux, qu’ailleurs même si pour y rentrer il faut être coopté et répondre à l’enquête qui est faite.
[b]Libertinus,[/b]
Je suis contre le secret, [b]mais je dois dire qu’il est utile[/b] si les portes sont grandes ouvertes il n’est plus possible de réfléchir, [b]la réflexion impose le secret[/b], sans cela c’est la dérive, il n’y qu’à regarder ce que les gens écrivent dans les commentaires de certains journaux en ligne pour être fixé sur leur valeur.
[u]Je suis fatigué, et d’autres commentaires m’appellent sur d’autres sites.[/u]
Avec toute mon amitié,
Anido.
rien n’est parfait certes : « Il ne faut pas non plus croire que tout est parfait ».
Le problème c’est que c’est une société de pouvoir occulte et que beaucoup y sont pour en user et en abuser ! VOILA LE VRAI FOND DU PROBLEME .
Un jour la Franc Maçonnerie sera mise à découvert, et on découvrira que ceux qui occupent les étages du sommet ne poursuivaient pas les objectifs affichés par ailleurs.
Quand on a besoin du secret, c’est qu’on a beaucoup à cacher…
Ce qui se développe dans l’ombre n’a pas la qualité de ce qui naît de la lumière.
De plus, a t-on besoin d’attendre de faire partie d’une société secrète pour agir dans le bien de tous ? Certainement pas. Il n’y a même pas besoin de se faire élire pour servir ses compatriotes…
[b]Véritas[/b] bonsoir,
Tout à fait, c’est pour beaucoup un tremplin pour accéder à un poste.
La connaissance de personnalités influentes constitue un attrait, sans cela quel serait l’autre intérêt ?
Ëtre initié, se prêter à un rite qui peut être dégradant, accepter une enquête sur sa famille, payer une cotisation qui peut être élevée pour deux réunions à trois par mois dans lesquelles il faut écouter et attendre son tour pour parler je suppose, s’il n’y a pas de contrepartie, je n’y vois pas l’intérêt.
Anido
BAH, OUI !!!!!!!
Le [u][b]POUVOIR[/b][/u] , vous dis-je !!!!
[b]jmarc2006[/b] bonsoir,
Dans la Franc-maçonnerie, je suppose que l’on y retrouve la composition sociale de la France, c’est à dire de tout.
Comme je l’ai écrit à Véritas il y a une enquête de voisinage, auprès de votre famille qui normalement devrait conduire à accepter franc-maçons ceux qui répondent à cette enquête, mais ce n’est que de la théorie, ensuite comment est appliqué l’ordre dans les obédiences ?
[u][b]Le Grand Maître n’a-t-il pas tous les pouvoirs ?[/b][/u]
Tout à fait de votre avis, on peut faire le bien sans être dans uns société sécrète, mais la portée n’est pas la même [u][b]dans la Franc-maçonnerie elle est politique[/b][/u].
Anido
[b]Anido[/b],
[b]il est tout à fait dommage que tu ne fasses pas autant que moi… Tu mériterais d’avoir autant, [u][i]sinon plus[/i][/u], de votes, de commentaires, de lectures ! Je me demande, bien que je n’en n’écrive jamais, si les lecteurs sont plus intéressés par le People que par l’Histoire de notre Pays… Pourtant, ce qui s’est déroulé dans les années 30 et 40, mais également dans les années précédentes et dans les années suivantes, peuvent permettre une analyse très précise de tous les évènements qui peuvent se dérouler à l’heure actuelle !
Amicalement,
Dominique[/b]
« Je suis partout » a précédé Pétain.
Exact, [b]Veritas [/b]! L'[b]hebdomadaire [i]« Je suis partout »[/i][/b] a été lancé le 29 novembre 1930 par l’éditeur [b]Arthème Fayard[/b] !
« Torquemada n’était pas chrétien »… « n’essayez pas de nous faire prendre des vessies pour des lanternes ! » : Eh oui… voilà où nous en sommes en 2009…!!! Raison de plus pour les FM de fermer les portes à la bêtise et au vulgaire… ils ont mille fois raisons !
écrire que « Torquemada était chrétien » , c’est exactement comme si j’écrivais que la chanoîne du Latran est chrétien !!!!!
le chanoîne …excusez-moi ….je m’énerve !!!!!!!!
Vous énervé?! On se demande bien pourquoi……Maintenant Sarkosy est aussi un ….chrétien….En politique être chrétien, cela peut aider aussi !Mais chuuut…..
Pendant ce temps…que dirait Georges Clémanceau surnommé le Tigre de ceci:
[b]Le Panna National Park, l’une des principales réserves de tigres indiennes, a admis ne plus avoir de tigres. Le parc de 542 km², situé dans l’Etat du Madhya Pradesh, contribuait à l’objectif de sauver le fameux tigre du Bengale de l’extinction. Il s’agit de la deuxième réserve en Inde à voir son nombre de tigres réduit à rien, après Sariska au Rajasthan,[/b] a rapporté mardi la BBC.
[b]Veritas,
Le Président Nicolas Sarkozy a toujours été un Catholique… Qui plus est, il est pratiquant !
Puis, Torquemada était bien Chrétien, de religion catholique…
Donc, pourquoi, en ce qui concerne le Président Nicolas Sarkozy, avez-vous utilisé le terme [i] »MAINTENANT »[/i] ?
J’ai vraiment la nette impression que, pour vous, « être Chrétien », c’est une tare ! Mais, vous qui êtes Membre [i] »éclairé »[/i] de l’Église Pentecôtiste, n’êtes-vous pas vous même un Chrétien ?[/b]
il ne faut pas confondre l’étiquette et l’objet !
Il ne faut pas amalgamer les inquisiteurs et les va-t-en guerre
avec les disciples de Jésus .
Il ne faut pas mélanger les vierges folles et les vierges sages !
il ne faut pas confondre la multitude et le petit troupeau !!!!!
[b][u]Je veux bien, Veritas, mais vous avez l’art et la manière de ne pas répondre aux questions posées[/u] :[/b]
[i]- Vous qui êtes Membre [b] »éclairé »[/b] de l'[b]Église Pentecôtiste[/b], n’êtes-vous pas vous même un [b]Chrétien[/b] ?
– Pourquoi, en ce qui concerne le [b]Président Nicolas Sarkozy[/b], avez-vous utilisé le terme [b] »MAINTENANT »[/b] ?[/i]
Actes des Apôtres : ch 11
21 La main du Seigneur était avec eux, et un grand nombre de personnes crurent et se convertirent au Seigneur.
22 Le bruit en parvint aux oreilles des membres de l`Église de Jérusalem, et ils envoyèrent Barnabas jusqu`à Antioche.
23 Lorsqu`il fut arrivé, et qu`il eut vu la grâce de Dieu, il s`en réjouit, et il les exhorta tous à rester d`un coeur ferme attachés au Seigneur.
24 Car c`était un homme de bien, plein d`Esprit Saint et de foi. Et une foule assez nombreuse se joignit au Seigneur.
25 Barnabas se rendit ensuite à Tarse, pour chercher Saul;
26 et, l`ayant trouvé, il l`amena à Antioche. Pendant toute une année, ils se réunirent aux assemblées de l`Église, et ils enseignèrent beaucoup de personnes.[b] Ce fut à Antioche que, pour la première fois, les disciples furent appelés chrétiens.[/b]
27 En ce temps-là, des prophètes descendirent de Jérusalem à Antioche.
28 L`un deux, nommé Agabus, se leva, et annonça par l`Esprit qu`il y aurait une grande famine sur toute la terre. Elle arriva, en effet, sous Claude. «
[b]Veritas[/b],
Merci, je vous prie, de bien vouloir répondre à mes questions :
[i]- Vous qui êtes Membre « éclairé » de l'[b]Église Pentecôtiste[/b], n’êtes-vous pas vous même un [b]Chrétien[/b] ?
– Pourquoi, en ce qui concerne le [b]Président Nicolas Sarkozy[/b], avez-vous utilisé le terme [b] »MAINTENANT »[/b] ? [/i],
ce, en toute franchise, ce, en toute honnêteté !
Il est donc inutile de nous faire des rappels aux [b]Évangiles[/b] en nous écrivant [i][b]« Actes des Apôtres : ch 11 »[/b][/i] , qui n’a aucun rapport avec l’article de [b]Anidom Nidolga[/b] : [b][i]« La Franc-maçonnerie, dossier suite 11, [u]du front populaire à la seconde guerre mondiale[/u]. »[/i][/b] !
Dans son [b]Préambule[/b], l’[b]Article 1er de la Constitution de la Vè République[/b], qui stipule très clairement : [i][b]« La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée. La loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales »[/b][/i], renforce, [u][i]de facto[/i][/u], la [b]Loi du 9 décembre 1905 [i]relative à la séparation des Églises et de l’État[/i][/b], dont le [b]décret d’application[/b] a été publié au [b]Journal Officiel du 11 décembre 1905[/b]
[url]http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/eglise-etat/sommaire.asp[/url]
Il faudrait que vous vous en souveniez et que vous restiez dans le vif du sujet de cet excellent papier !
Nous parlons du mot « chretien », Mr Dutilloy ; je remonte donc à l’origine de ce mot
qui est très galvaudé et employé à tort et à travers, puisqu’on dit que le chef de l’inquisition Torquemada était un chretien …ce que je ne crois pas selon les critères de l’Evangile. Il défendait sa religion en chassant les juifs et autres :
en cela il se comportait en chef de la secte catholique.
Maintenant que je le sois , je ne le nie pas et j’essaye d’être tous les jours de rester fermement attaché au Seigneur qui vit dans mon âme.
Maintenant , puis que vous me demandez de parler en toute honnêteté , je vous laisse libre de croire que je suis un menteur , comme l’affirme sous cet article VOTRE GRAND AMI Libertus alias Libertinus . CA NE ME FAIT NI CHAUD NI FROID ! TRES BONNE JOURNEE!
[b][u]Veritas, ce n’est pas moi qui ai écrit que vous étiez un menteur ! Je ne l’aurais jamais fait et je ne me le permettrai pas… Alors, ne venez pas me parler de Libertinus[/u] :[/b] [i]si vous avez des reproches à lui faire, je vous invite à vous adresser à lui et non à moi, puisqu’il n’a eu besoin d’aucun intermédiaire pour s’adresser à vous ![/i]
[b][u]Maintenant, je vous ai posé deux questions ! Or, je m’aperçois que vous n’y avez toujours pas répondu… Cependant, Véritas, [i]et là je me permets de l’écrire[/i], vous voulez toujours nous imposer votre Bible, vos Évangiles, votre « vision » Pentecôtiste du Christianisme[/u] :[/b] [i]pourquoi ne respectez-vous pas la [b]Laïcité de l’État[/b] ? Pourquoi nous faites-vous toujours des rappels à la [b]Bible[/b] ou aux [b]Évangiles[/b] ? Pourquoi ne respectez-vous pas nos croyances, nos non-croyances, nos athéismes ?[/i]
[b][u]Je constate d’ailleurs, puisque cela vous fait ni chaud ni froid (!), que vous êtes très susceptible, mon Cher Veritas[/u] :[/b] [i]ce n’est pas très chrétien, n’est-ce pas ?[/i]
non au contraire, puisque ça ne me fait ni chaud , ni froid ! et à propos de la Bible, sachez que c’est le LIVRE LE PLUS LU DANS LE MONDE !
sur ce très bonne journée MAINTENANT, Mr Dutilloy !
[b][i]Veritas,
je sais que la Bible est le livre le plus lu dans le Monde entier ! Vous ne m’apprenez absolument rien !
Mais, je constate que vous fuyez le débat et que vous n’avez toujours pas répondu à mes deux questions précises !
Passez une bonne nuit !
Cordialement,
Dominique Dutilloy[/i][/b]
C’est maintenant que « Véritas » nous annonce qu’il est chez les pentecôtistes, il fait son « coming out » !!! lui qui se veut le pourfendeur des sectes !!!! MDR !
La Franc-maçonnerie et la séparation des églises et de l’état…
En France, environ 1 Français sur 500 est franc maçon. Dans ma région, le Languedoc Roussillon, en Corse, c’est 1 sur 100…
Environ 50 %…
des politiciens de haut niveau,
des juges,
des avocats,
des magistrats,
des hauts gradés de l’armée,
des hauts gradés de la police,
des hauts gradés de la gendarmerie,
des hauts fonctionnaires de l’état,
sont francs-maçons…
Accepteraient-ils que ce soient des curés, qui soient dans cette situation, à leur place?
non!
Il paraitrait que ce serait le franc-maçonnerie qui serait à l’origine de la séparation de l’église et de l’état… Elle le revendique encore, ne serait-ce comme exemple pour l’Europe dans son ensemble, en considérant que notre système politique serait de meilleur de cette Europe… Je n’en suis pas du tout convaincu! Concernant la démocratie, en analysant mes « affaires politico-juridico-mafieuses », je pense que nous n’avons à donner des leçons à personne!
Au passage, à lire le blog « Hiram.be », blog de surveillance du web et de propagande maçonnique à l’adresse suivante:
http://www.hiram.be/?start=20
article intéressant … « Institut d’Etudes et de Recherches Nord Europe », en fait une organisation franc maçonne Française qui cache sa vocation dans son titre… Amener toutes les élites des états Européens à se doter d’une organisation franc-maçonne similaire à celle existante en France!
Ma conclusion, en 2009, c’est que cette situation Française m’apparaît anormale au nom de la séparation des églises et de l’état Français et qu’il faudra me démontrer, bien que je sois non croyant, que les états qui ont une référence aux églises ancestrales dans leur système politique, sont moins vertueux que le nôtre, que le PIB serait plus faible et qu‘on y vivrait moins heureux.
Je vous invite à lire la suite sur ce blog pour en savoir plus…
http://lamafiadanslesuddelafrance.blogs.nouvelobs.com
Jean-Pierre CHOQUER