Le dollar américain poursuit sa baisse face aux autres monnaies, enregistrant un nouveau cours plancher record en tombant à 1,5431 dollar pour 1 euro sur le marché des changes vendredi 7 mars.
Beaucoup de spécialistes rendent la Banque centrale européenne (BCE) responsable, en grande partie, de cet effondrement du dollar face à l'euro à cause de sa politique primordialement anti-inflationniste en maintenant le niveau des taux d'intérêt à 4 %.
Pourtant, la BCE ne fait que ce qu'on lui a demandé, c'est-à-dire de juguler la hausse des prix provoquée par une flambée du prix du baril de pétrole ainsi qu'une envolée de la valeur des aliments de base depuis l'explosion de la demande provoquée par leur utilisation dans la fabrication de carburant.
La BCE a justifié son action en signalant que l'ensemble des gouvernements européens lui a demandé d'empêcher les revendications salariales visant à contrer les effets de la réduction du pouvoir d'achat. En effet, un euro fort permet de diminuer l'impact de la hausse des prix et évite d'entrer dans la spirale inflationniste qui associe la hausse des salaires à l'augmentation du coût de la vie.
Cependant, un euro fort est en même temps l'ennemi d'une croissance qui peine à décoller en ce début d'année. Pourtant, même si l'euro s'approche dangereusement d'un sommet qu'il ne devrait pas franchir, une monnaie forte peu aussi être synonyme d'une croissance confortée, pour autant que les pays exportateurs de matière première prennent la décision d'être payé en euro et non plus en dollar ce qui devrait, par exemple, faire baisser le cours du pétrole puisque l'augmentation du prix de celui-ci n'est pas due à une crise de la production, mais bien à la faiblesse du dollar.
C'est ce que voudrait rappeler la Banque centrale européenne en soulignant que les années de plus forte croissance aux États-Unis étaient associées à un dollar fort et que ce sont les exportations qui font qu'une monnaie s'apprécie et non l'inverse.
Selon les spécialistes, si les pays de l'OPEP n'ont pas encore franchi le pas d'abandonner le dollar pour l'euro, c'est seulement pour des raisons politiques, mais si la chute du billet vert se poursuit, ils devront inexorablement y venir… entérinant ainsi la fin du règne du dollar.
dollar
la roue tourne… bah! av/DSK en avant-garde pour qques temps… on est peinard…???
ca serait une premiere qui plus est libera plusieurs economies .
Le Dollar
Le dollar est avant tout le résultat des spéculateurs qui n’ont pas sus a qu’elle
moment il allait trop loin et l’incapacité général de Bush j’espère que ses soutien
de l’opep vont se réveiller avec la gueule de bois .
DANS LA MAIN DE DIEU
On attend l’arrivée de la statue de fer et d’argile mélés: l’Euro-Méditerrannée…l’empire romain va renaître, les rois de l’orient vont faire du grabuge…et puis ce sera la fin à Jérusalem.
C’était prévu : lisez dans la Bible le Livre du Prophète Daniel et puis la suite:
« Dans les temps de ces rois, le Dieu des cieux suscitera UN ROYAUME QUI NE SERA JAMAIS DETRUIT, et qui ne passera pas sous la domination d’un autre peuple; il brisera et détruira tous ces royaumes là, et lui même subsistera éternellement. C’est ce qu’indique la Pierre (CHRIST) que tu as vu se détacher de la montagne (Dieu)sans le secours d’aucune main, et qui a brisé le fer, l’airain, l’argile, l’argent et l’or. Le grand Dieu a fait connaitre au roi ce qui doit arriver apres cela. Le songe est véritable, et son explication certaine ». ch 2 v 44 & 45 voir aussi ch 7 et ch 12
« Les pays de l’OPEP n’ont pas encore franchi le pas d’abandonner le dollar pour l’euro »
Mais ils y pensent de plus en plus sérieusement !
Extrait d’un article du Monde le 31/03/2008
« Le premier ministre du Qatar, Hamad Ben Jassim Ben Jaber Al-Thani, a indiqué à Reuters qu’il étudiait la réévaluation de sa monnaie, le riyal, qu’il estime sous-valorisée de 30 %, tout en préférant agir de concert avec les autres pays du CCG, qui ont pour objectif de se doter d’une monnaie unique en 2010.
Cette autonomisation monétaire renforce la tentation de négocier l’or noir dans d’autres devises que le billet vert, présentes en Russie et plus affirmées chez les ennemis déclarés des Etats-Unis, comme l’Iran ou le Venezuela. L’Iran a annoncé le 17 février l’ouverture des premières activités de sa Bourse du pétrole basée sur l’île de Kish, une zone franche, dans le but de coter le baril de pétrole et les produits chimiques en rials iraniens.
Mais revoir le système de cotation du pétrole, dominé par les places de Londres et de New York, et changer les règles des économies dollarisées du Golfe n’est ni simple ni sans risques. Outre les implications politiques, renoncer progressivement au billet vert pourrait accélérer sa chute, et donc éroder la valeur des avoirs des pays pétroliers encore majoritairement libellés en dollars… »
Le jour où les pays du golfe abandonneront le dollar dans les échanges pétroliers LE DOLLAR NE VAUDRA PLUS RIEN.