Il y a quelques semaines seulement la croissance Produit Intérieur Brut (PIB) de la France pour le premier trimestre de cette année était annoncé en grande pompe à 0,63%, provoquant un regaint de fierté au sein du gouvenement, mais aussi une levée de boucliers de la part de celui là même lorsque publiant ses prévisions annuelles, L'INSEE annonçait un chiffre plus faible que les prévisions gouvernementales (+1,6 contre une fourchette comprise entre +1,7 et °2%).
Sauf qu'aujourd'hui cette croissance au premier trimestre 2008 a été revue à la baisse, à seulement +0,5%. Cela tient principalement à la consommation des ménages ainsi qu'à l'investissement des entreprises non financières, qui se sont finalement révéllées plus faibles que prévu.
Si cette correction des chiffres peut parraitre assez faible, elle risque tout de même d'avoir pour conséquence une croissance plus lente que l'espérait préalablement le gouvernement. Rappelons que pour cette année il tablait sur un chiffre compris entre +1,7 et +2%. L'INSEE elle estime qu'elle ne dépassera pas les 1,6%.