la crise universelle, une conséquence légitime du capitalisme!

 

La nouvelle hiérarchie sociale: sur la trace de la classe moyenne
Une autre conséquence du capitalisme, c’est que dans les pays du monde pratiquant ce système, on découvre une réalité choquante qui est la division de la société , non pas en trois classes comme d’habitude, mais plutôt en deux classes majeures, celle  des très riches et celle des très pauvres
Où est passée la classe moyenne? Aucune trace de ces gens qui ont toujours servi à l’équilibre social.
En fait, ces gens qui ont un niveau moyen sont ceux qui essaient toujours d’atteindre la richesse sans y aboutir et,  en même temps ce sont ceux qui luttent contre leur propre chute dans la pauvreté.
Cette classe a toujours aidé la société à  ne pas se retrouver dans la situation actuelle, c’est-à-dire cette  intensité d’où « très riche » ou « très pauvres ».
Cela ne veut pas dire que les très riches et les très pauvres n’ont jamais existé avant, mais ils étaient plutôt insérés dans un système global ternaire. Aujourd’hui, il est  clair que ces deux classes ont absorbé la classe moyenne et ont transformé la société en un système binaire.
Aujourd’hui, les gens qui disent appartenir à un niveau moyen sont devenus très rares ou même inexistants. Et même les appellations commencent à changer, les gens vous disent qu’ils « gagnent leur vie » ou qu’ils «  galèrent ».
Par conséquent, le nombre des très pauvres augmente de plus en plus et celui des très riches aussi. Et les seuls pays où les niveaux de vie se rapprochent sont ceux qui n’appartiennent pas à ce système capitaliste, par exemple, la chine, le japon…
En effet, parmi les raisons capitalistes qui ont poussé la société dans ce déséquilibre, le secteur privé qui a permis à des gens aisés ou d'u niveau moyen, de créer leurs propres entreprises et de prendre distance peu à peu de leur niveau de base, or les gens qui n’avaient pas les moyens de monter leurs propres entreprises se sont retrouvés dans une situation de dégression et ils ont fini par rejoindre la classe des pauvres.
Le capital financier est devenu dans notre société le seul critère pour accéder à la richesse, provenant d’un héritage ou d’un véritable travail, il n’est pas accessible à tout le monde et la plupart des gens ne peuvent pas posséder ce capital, c’est pourquoi on risque de se perdre dans ce système hiérarchique inégal où les vrais atouts d’un être humain ne comptent pas et ne lui permettent pas de réaliser ses rêves.
Ce déséquilibre social est devenu aujourd’hui de plus en plus inquiétant car les gens n’ont pas peur de devenir riches, bien au contraire, ils ont peur de la précarité qu’est devenue la bête noire de notre siècle.